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SOMMAIRELa réaction d’un manipulateur quand on le se passe-t-il lorsqu’on quitte un manipulateur ?Comment le manipulateur vit-il la séparation ?Voici les 6 réactions du manipulateur quand on le quitte 1- le manipulateur joue la le manipulateur vous culpabilise de partir3- le manipulateur vous fait de nouvelles promesses4- le manipulateur vous fait du chantage5- le manipulateur vous confronte à vos valeurs6- le manipulateur PN vous sortira le grand jeu de la séductionPourquoi un manipulateur se met-il en colère quand on le quitte ?Que va faire un manipulateur pour se venger ?Voici les 5 choses que le manipulateur va faire pour se venger Comment réagir au moment de quitter un manipulateur ?Voici quel devrait être votre état d’esprit 12 points au moment de couper définitivement les ponts avec une personne qui vous pourrit la vie La réaction d’un manipulateur quand on le quitte. Que se passe-t-il lorsqu’on quitte un manipulateur ? Si vous quittez un manipulateur, dans un premier temps, celui-ci fera tout ce qu’il peut pour vous faire revenir sur votre décision. Et si vous ne revenez pas en arrière, le manipulateur fera encore tout son possible pour vous pourrir la vie et se venger… La réaction d’un manipulateur quand on le quitte Voyons tout d’abord la première réaction du manipulateur quand on le quitte. Si vous êtes dans la situation de vouloir ou de devoir quitter un manipulateur, cette personne, vous manipulant depuis un certain temps, elle vous connaît particulièrement bien et elle sait ce qui fonctionne avec vous. Elle sait donc précisément sur quel bouton appuyer pour vous faire douter, vous faire revenir vers elle, pour vous culpabiliser, pour vous faire le chantage affectif auquel elle sait pertinemment que vous ne pourrez pas résister… Dès lors, si vous quittez réellement cet homme manipulateur ou cette femme manipulatrice, attendez-vous à différents types de comportements. Voici les 6 réactions du manipulateur quand on le quitte 1- le manipulateur joue la victime. Il vous dira par exemple ce genre de phrases “que vais-je devenir sans toi ?” “tu sais bien que sans toi, je ne suis rien…” “je suis complètement dévasté !” “je ne vais jamais pouvoir surmonter ton départ… » “ne me quitte pas ! s’il te plait, non, ne me quitte pas…” en suppliant, presque en pleurant. L’effet que cela produira chez vous est que vous aurez l’impression d’être un bourreau sans cœur et sans pitié. Vous allez vous sentir comme si vous étiez la mauvaise personne c’est-à-dire celle qui le persécute et qui va lui détruire sa pauvre vie… lui qui a toujours été si serviable, si fidèle, si respectueux et si aimant ! Bref, il inverse subtilement les rôles. Vous finirez par croire que vous êtes horrible de le quitter “Oh, le la pauvre, c’est vrai, je suis trop cruelle…” “je ne peux pas lui faire subir ça…” “c’est vrai, il elle a réellement besoin de moi…” ”j’exagère…” “j’ai honte de ce que je fais” Sans vous en rendre compte, il vous balade de nouveau en vous faisant prendre malgré vous! le rôle de persécuteur puis celui de sauveur… Bien évidemment, au moment de quitter le manipulateur, vous ne prendrez AUCUN des 3 rôles psychologiques du triangle de Karpman persécuteur, victime ou sauveur. 2- le manipulateur vous culpabilise de partir Par tous les moyens possibles, le manipulateur va vous faire regretter ce que vous êtes en train de faire “as-tu pensé à l’équilibre de nos enfants ?” “et tes parents, que vont-il penser de toi ?” “comment peux-tu faire vivre cela à ta pauvre mère… ? Elle qui est déjà si malade…” “un jour, tu vas t’en mordre les doigts et le regretter…” “tu n’as pas assez réfléchis” “tu n’as pas écouté mes conseils” “tu devrais faire preuve d’un peu de bonne volonté…” ”tu n’étais rien avant de m’avoir épousée…” “c’est toi qui as mal interprété ce que j’ai dit…” “tu es bien trop émotifve” “et tu fais quoi de tous les bons moments que nous avons passés ensemble ?” “si tu m’avais vraiment aimée, tu ne ferais pas ça…” etc. Le manipulateur culpabilise En vous culpabilisant et en faisant preuve de mauvaise foi, le manipulateur va essayer de vous faire regretter votre choix. Il va rejeter toute la responsabilité sur celui ou celle qui le quitte. Il va tenter de vous convaincre que c’est vous qui avez tort. Son but ultime sera de vous faire revenir dans la relation. Pour réussir et quitter un manipulateur, il est recommandé de NE surtout PAS culpabiliser ! Mais ce n’est pas tout ! Car si le manipulateur ne parvient pas à vous culpabiliser par des reproches, il prendra un rôle encore plus persécuteur en devenant carrément autoritaire, agressif et physiquement violent. A ce moment-là, le manipulateur vous accablera de reproches, de blâmes mais aussi de critiques personnelles voire d’insultes. Une chose sera certaine pour lui c’est vous qui ne voulez rien entendre et c’est encore vous qui ne comprenez JAMAIS rien ! Son unique but est que vous vous soumettiez totalement à lui. Et bien sûr que vous changiez d’avis. Voilà quelle est la véritable réaction d’un manipulateur quand on le quitte. 3- le manipulateur vous fait de nouvelles promesses Vous quittez le manipulateur et assez étrangement mais logique du point de vue de la manipulation, sa réaction immédiate sera de vous parler de projets futurs avec de belles promesses et de nouvelles résolutions bien évidemment !. Quand on ignore un manipulateur et qu’on le quitte, il se comporte en niant la réalité qui se présente à lui votre décision de partir et il va plutôt se projeter dans le futur pour vous faire croire que ce n’est qu’une nouvelle dispute entre vous comme vous en avez connu bien d’autres par le passé. Le manipulateur vous dessine alors un nouveau et beau chemin à construire ensemble à partir de cette dispute actuelle qui sera ben voyons! la dernière. En quelque sorte, le manipulateur va dérouler son talent de beau parleur pour vous couvrir de belles promesses et en particulier celles dont il sait très bien que vous ne pourrez pas résister comme réaliser un de vos rêves les plus chers. En agissant de cette façon, le manipulateur tente de brouiller votre plan de départ, il va aussi altérer votre capacité de raisonnement, affaiblir votre détermination à le quitter pour au final réussir à vous influencer dans SON propre intérêt votre intérêt à vous étant de partir loin de lui. 4- le manipulateur vous fait du chantage “si tu pars, alors… patati et patata !” “si tu me quittes, je vais me suicider” “sache que tu vas me le payer très cher…” “Je vais raconter ça de toi à machin…” “cette fois, je vais trouver quelqu’un qui m’aimera vraiment et qui portera une réelle attention à moi !” “si tu me quittes, tu ne verras plus les enfants…” “fini les belles vacances à l’hôtel sur mon compte !” 5- le manipulateur vous confronte à vos valeurs En quittant ce manipulateur, vous allez peut-être vous retrouver en contradiction avec vos engagements passés. Vous aviez peut-être des projets communs qui ont été décidés mais qui dû coup ne pourront pas se réaliser… projet professionnel, projet d’enfant, de voyage, de déménagement,…. Vous pouvez là aussi compter sur le manipulateur pour vous rappeler tous ces engagements de sorte que vous vous sentiez dans l’obligation morale de rester auprès de lui. Comment réagit le pervers narcissique quand on le quitte ? 6- le manipulateur PN vous sortira le grand jeu de la séduction Comme au début de la relation, le manipulateur pervers narcissique va réagir quand on le quitte et redevenir un être extrêmement gentil, séducteur et charmeur. C’est le grand retour temporairement ! du prince charmant des débuts. Au moment de la rupture, le but du manipulateur sera aussi de vous montrer de vous faire croire surtout qu’il a changé et qu’il n’est plus le même… qu’il est ENFIN devenu celui que vous rêviez qu’il soit ! Il va raconter n’importe quoi promesses du moment que cela corresponde à ce que vous attendez de lui ou d’elle depuis si longtemps ! Comment ne pas être sous le charme, vous qui avez espéré ce changement depuis si longtemps ? Mais si vous quitter le manipulateur, souvenez-vous que ce n’est ABSOLUMENT PAS le moment de commencer à croire tout ce qu’il vous raconte. Claquez-lui la porte au nez; le moment de la séduction est terminé! Rappelez-vous aussi qu’une personne normale ne change pas facilement et un manipulateur ne change que rarement et très difficilement voire jamais. Si vous vous êtes déjà demandé comment finissent les manipulateurs, la réponse est simple ils restent et resteront eux-mêmes, de simples manipulateurs ! Pourquoi un manipulateur se met-il en colère quand on le quitte ? Lorsque vous les quittez, les manipulateurs vont généralement se mettre en colère et parfois même entrer dans une rage folle. Pourquoi ? Parce que, comme je l’explique dans cet article, les personnes toxiques et les manipulateurs sont des gens qui ne s’aiment pas faible estime de soi, qui n’aiment pas ce qu’ils font sentiment d’avoir échoué et qui n’ont pas confiance en eux – la manipulation n’est qu’un moyen pour eux de surmonter tout ce mal-être. Alors si vous les abandonnez, c’est un peu comme si vous leur envoyiez le message suivant “tu es une merde, je ne t’aime pas et vivre avec toi n’a aucun intérêt, retourne au diable…”. La réaction d’un manipulateur démasqué est donc d’être vexé. En conséquence, il va se sentir inférieur à vous, un moins que rien… et c’est tout le contraire de ce qu’il a tenté de faire en vous manipulant – vouloir être supérieur, se sentir intéressant et aimé. La perte de contrôle sur sa victime qui s’échappe est insupportable à vivre pour tout manipulateur. Que va faire un manipulateur pour se venger ? La vengeance du manipulateur Supposons que vous ayez surmonté les comportements du manipulateur que nous venons de voir plus haut et que vous quitter effectivement le manipulateur. Que va-t-il alors se passer ? Simplement ceci le manipulateur n’acceptera pas ce rejet ; il aura de la rancune contre vous puis il se vengera. Il va continuer à vouloir attirer votre attention sur lui, même après la rupture. Concrètement, Voici les 5 choses que le manipulateur va faire pour se venger 1- il va se mettre à vous critiquer aux personnes de son et de votre entourage critiques, diffamations, ragots, calomnies,… pour abîmer votre image et vous faire passer pour la méchante personne ! 2- il va leur faire croire qu’il s’inquiète pour votre bien-être mental afin de passer à leur yeux pour une personne bienveillante à votre égard 3- A l’aide du mensonge, en racontant des fausses histoires, il vous fera passer pour une personne diabolique, monstrueuse et impitoyable. 4- le manipulateur va vous dénoncer et vous entraîner avec lui jusque dans les tribunaux une façon de faire durer la relation 5- Si vous avez un ou plusieurs enfants, il fera du chantage, du dénigrement et tout ce qu’il peut pour vous tourmenter et vous pourrir l’existence. 6- le manipulateur pervers narcissique dangereux et blessé par votre départ fera alors tout ce qu’il peut sans limite dans le seul but de vous faire REVENIR dans sa vie coups de téléphone jours et nuits, demande d’explications, alcoolisation, chantage affectif, menace de suicide, fausses promesses, effractions, messages sur les réseaux sociaux, harcèlement, procédure pour vous priver de la garde des enfants… Tout d’abord, avant de se libérer d’un manipulateur, il faudra se protéger et bien préparer son départ. Bien comprendre les mécanismes de l’emprise psychologique. Arrêter de culpabiliser car il ne faudrait pas que la période après-rupture soit plus difficile à vivre que la période de relation avec le manipulateur. Voici quel devrait être votre état d’esprit 12 points au moment de couper définitivement les ponts avec une personne qui vous pourrit la vie Quitter un manipulateur 1. Vous le faites en pensant à VOUS, pour prendre soin de VOUS, pour être honnête avec vous-même et renforcer votre estime de soi, 2. Vous savez que ce n’est pas égoïste de penser à vous, 3. Vous laissez la personne manipulatrice livrée à son sort elle avec ses problèmes et vous ne lui faites plus confiance dans ce qu’elle vous dit, 4. Vous n’êtes pas obligé de souffrir à cause de cette personne toxique, 5. Vous vous fichez de ce que les autres pensent, lien pdt peur regard 6. Vous avez bien conscience que cette relation fondée sur la manipulation et le chantage affectif ne vaut pas la peine, 7. Vous ressentez la joie d’être enfin libérée, 8. Vous n’oubliez pas la souffrance que la personne vous a fait vivre, 9. Mais vous ne gardez aucun sentiment négatif comme la culpabilité, la haine, le ressentiment ou la vengeance, 10. Vous pardonnez tout pour vous libérer de la douleur et de tout le mal que l’on vous a fait, 11. Vous vous isolez pour réfléchir sur vous-même et prendre soin de vous et ce sera le meilleur moyen de guérir d’une relation difficile, 12. Vous faites le plein d’énergie positive et vous attirez ainsi de nouvelles relations, plus saines avec des personnes qui vous respecteront. . Auteur de cet article Michaël LIZEN - Copyright ©2020 All Rights Reserved - Tous Droits Réservés .
Monfils m'a avoué que sa mère regrettait de m'avoir quitté. Après m'avoir fait tant souffrir, c'est elle qui souffre du manque de gentillesse, de tendresse, d'amour de son nouveau compagnon qui n'a vu en elle qu'un moyen de satisfaire sa sensualité. Quand je pense qu'elle m'a reproché d'être trop sentimental, trop attentionné, trop
Il est difficile de rompre avec un pervers narcissique, mais il est encore plus difficile de maintenir la rupture avec un pervers pervers narcissique est un personnage à la limite du mystique, on a tous en tête cette image d’un monstre planifiant chacune de ses actions dans un seul but te le pervers narcissique est une personne extrêmement faible, malade et qui est tout autant dépendant de toi que tu ne l’es de ce guide consacré au pervers narcissique et à la rupture avec cette personne, tu vas pouvoir découvrir comment stopper l’emprise qu’il a sur toi pour enfin passer à autre chose dans ta avant tout, c’est quoi un pervers narcissique ?1. C'est quoi un pervers narcissique ?Pervers narcissique définitionLe pervers narcissique n’existe pas en tant que tel la perversion narcissique n’a jamais été un trouble clinique reconnue, la seule pathologie reconnue qui s’en rapproche le plus est le trouble de la personnalité narcissique associé à un autre ce qu’on appelle la comorbidité la présence d'un ou de plusieurs troubles associés à un trouble ou une maladie primaire.Ce qui se rapproche d’une définition clinique d’un pervers narcissique, c’est le trouble de la personnalité narcissique accompagné du trait de caractère car le pervers narcissique est une personne inadaptée à la vie en DSM IV Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, manuel qui recense l’ensemble des maladies mentales, définit la personnalité narcissique comme ayant un sens grandiose de sa propre importance ; étant absorbé par des fantasmes de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté ; pensant être spécial et unique ; ayant un besoin excessif d’être admiré ; pensant que tout lui est dû ; exploitant l’autre dans les relations interpersonnelles ; manquant d’empathie ; enviant souvent les autres ; faisant preuve d’attitudes et de comportements arrogants. Le patient ayant une personnalité narcissique présente au moins cinq des symptômes alors, d’où provient l’origine du terme “pervers narcissique”, et qu’est-ce que ça signifie ?Le concept même de perversion narcissique à été pour la première fois évoqué par le psychiatre Paul-Claude Racamier dans son ouvrage “Entre agonie psychique, déni psychotique et perversion narcissique” parue en définition du pervers narcissique est alors la suivante une personne nourrissant son narcissisme grâce au narcissisme de l’ pourquoi l’assemblage de ces deux termes “pervers” et “narcissique”, et quel rapport avec le narcissisme et le narcissisme de la victime ?Pour mieux comprendre, il faut dans un premier temps passer par la définition de chacun de ces de pervertir Faire changer quelqu’un en mal, rendre mauvais ; Détourner quelque chose de son sens ou de ses de narcissisme Admiration, contemplation de soi-même ; Fixation affective à définition, une relation quelle soit amoureuse ou amicale est toujours tournée vers l’ le pervers narcissique, c’est l’inverse il va pervertir la relation normalement tournée vers l’autre en la retournant vers le terme de perversion reconnaître un vrai PN d’un faux PN ?Pour reconnaître un vrai pervers narcissique d’un faux pervers narcissique, il faut d’abord prendre conscience qu’il existe une multitude de traits de caractère chez quelqu’un qui peuvent ressembler au comportement d’un pervers est d’ailleurs courant de confondre un pervers narcissique avec une personne ayant simplement ce qu’on appelle un type d’attachement pervers narcissique est un terme qui fait vendre il suffit de voir le nombre de livres existant sur le sujet, attention aux amalgames les symptômes qui y sont souvent décrits représentent 95 % de la population, pourtant, seulement moins de 3 % de la population serait atteinte de ce qu’on appelle couramment la perversion est important de ne pas faire des généralités faire des reproches à une personne et ne pas aimer avoir tort ne signifie pas que la personne est atteinte de perversion de la sorte est ce qu’on appelle l’effet Barnum. Mais alors, comment reconnaître un vrai pervers narcissique d’un faux pervers narcissique ?“Un pervers narcissique est mégalomane, pense être spécial et unique, d’où sa certitude d’avoir des droits spéciaux et sa légitime » transgression des lois et règles ; éprouve le besoin excessif d’être admiré ; est obsédé par son image sociale et tient à se faire passer pour irréprochable ; fait preuve d’un égocentrisme forcené ; exploite l’autre et est indifférent à ses désirs et besoins ; vampirise l’énergie d’autrui, le bouffe », l’épuise ; est totalement dénué d’empathie, fait preuve de froideur émotionnelle ; souffre d’insatisfaction et d’envie chroniques ; use de dénigrement insidieux, souvent sous couvert d’humour ; inverse les rôles, culpabilise autrui tout en se victimisant et en se déresponsabilisant ; est incapable de se remettre en cause ou de demander pardon sauf par pure stratégie ; s’inscrit dans une stratégie d’isolement de sa proie ; s’inscrit dans un déni de réalité ; maîtrise le double jeu charmant, altruiste en société et tyran destructeur en privé ; alterne le chaud et le froid ; souffre d’anxiété profonde ; ressent le besoin compulsif de gâcher toute joie autour de lui ; éprouve un soulagement morbide, une jouissance quand l’autre est au plus bas ; communique de façon floue il abuse d’injonctions paradoxales et distille la confusion.”Source Le décodeur des pervers narcissiques de Valérie GUELOT et Hélène Pourquoi un PN agit de la sorte ?Le pervers narcissique est une personne qui cherche principalement à obtenir des informations positives sur problème, c’est que c’est central dans sa personnalité, que sa demande est excessive et qu’il va rejeter le négatif sur lui de façon beaucoup trop cherche donc à obtenir des retours positifs sur lui-même par tous les moyens et évite des retours négatifs sur lui-même par tous les moyens c’est la seule constante l’heure où j'écris ces lignes, on ne sait toujours pas pourquoi un individu devient pervers une des maladies les plus difficiles à guérir il n’y a encore aucune thérapie qui fonctionne pour soigner ce pervers narcissique à un très gros problème d’amour-propre car, contrairement à ce que l’on pourrait penser le pervers narcissique ne s’aime pas en tant que personne, il n’aime QUE son pour un pervers narcissique est qu’il doit apprendre à être narcissique d’une façon saine l’amour de soi dans l’espoir de guérir de son oui, l’amour de soi est un élément important pour la santé mentale de chaque individu c’est un pilier très important de l’estime de ok, on ne sait pas pourquoi une personne devient comme ça, mais est-ce que l’on sait pourquoi une personne AGIT comme ça ?Cette légende selon laquelle le pervers narcissique est ce monstre qui planifie chacune de ces actions sur les X prochaines années n’est qu’un fantasme de l’imagination le pervers narcissique est une personne malade, faible et qui n’a aucune estime de ne sait même pas en soi que ses actions font mal à l’autre c’est sa façon de faire et il n’en connaît pas d’ pervers narcissique pense qu’il ne peut pas être aimé pour ce qu’il est vraiment et, pour palier à ça, il va projeter une image de lui faussé de la réalité tout en projetant chez toi tout ce qui ne va pas en luiC’est son moyen de défense qu’il s’est créé pour palier à son problème d’ faire simple, le pervers narcissique va déverser en toi tout ce qu’il considère mauvais chez Le pervers narcissique après une rupture leur comportementLe comportement d’un pervers narcissique après une rupture est bien souvent digne d’une pièce de théâtre des lettres d’amour enflammées suivi de très près par des reproches sont des choses très communes, et c’est ce qu’on va voir dès maintenant grâce au témoignage de D. que je remercie chaleureusement pour avoir partagé son témoignage de le témoignage de D., que j’ai coaché et qui m’a gentiment fait part de son témoignage de sa rupture avec un pervers narcissique."Je pense que les personnes qui ont du mal à se relever et à dire non, sont soit dépendantes affectives, soit étaient en relation depuis déjà quelques temps et donc le manipulateur a utilisé ce temps pour les isoler et leur faire perdre leur confiance en elles. Pour peux qu'elles manquaient déjà de confiance lors de leur rencontre... C'est sur que s'en défaire est alors une autre paire de mon cas, je peux parfois manquer de confiance en moi mais j'ai néanmoins la lucidité de mes valeurs. C'est très important et surtout je sais vivre seule. Mon âge fait aussi mon expérience. J'ai 39 ans. Je sais qui je suis. J'ai vécu certaines choses qui m'ont permis de savoir relativiser et aussi n'ai surtout pas peur de dire Non, stop ! Même si cela veut dire être seule à nouveau. Je préfère être seule que mal beaucoup de victimes de manipulateur sont dépendantes affectives et la solitude leur fait très peur. Dès que j'ai compris par instinct et observation que l'homme que je fréquentais était menteur, avait un masque, cachait sa véritable personnalité malsaine, et n'était pas sincère dans ses intentions et sentiments, il ne pouvait plus y avoir de retour en arrière pour l'ai pris entre quatre yeux, je lui ai fait part de mes doutes, de mes ressentis, de mon sentiment anormal d'insécurité en sa présence et de ma perte de confiance. Je lui ai fait comprendre que j'étais en pleine réflexion quant au devenir de notre sûr il ne l'a pas supporté, il a d'abord tenter de me faire passer pour une déséquilibrée, ayant peur de l'engagement, peur de me laisser pleinement aller à l'amour etc. Que de blabla, pour tenter de me rabaisser et me faire porter la culpabilité sur cette situation. Sauf qu'il ne savait pas que je n'étais pas celle qu'il croyait en se mettant avec moi. Je pense qu'il a mal calculé, jaugé, je peux paraître très crédule car je suis une femme avenante, douce compréhensible et très psychologue. Seulement c'est sans compter sur mon expérience de vie, mon intuition, mon sens de l'observation, ma psychologie justement et surtout mon assurance. Il s'est attaqué à une femme sûr d'elle. Et ça il ne l'avait pas prévu et c'est ce qui m'a sauvé je lui ai dit fermement que je mettais un terme à la relation, il ne l'a pas accepté. Et il s'est alors persuadé que je faisais une pose. Il ne supportait pas l'échec. Il continuait à m'envoyer des textos mielleux, d'amoureux transit près à changer, ayant eu un électrochoc à l'annonce de la rupture et désireux de se racheter. Et puis en voyant que je ne répondais pas, car coûte que coûte il faut couper le contact dès la décision prise de rompre, il a changé de stratégie. Il m'a alors accusé d'avoir moi un problème, me trouvant toutes sortes de défauts etc pour tenter de me faire cela ne pouvait pas marcher puisque je me connais suffisamment et ai suffisamment confiance en moi pour ne pas tomber dans son piège. Enfin il a essayé par divers moyen de manipulation et psychologie inversée de me faire douter et de me faire revenir... Il a aussi tenté de se servir de la fausse mort de sa mère un mensonge inventé de toute pièce en se faisant passer pour un ami qui me prévenait par mail de cette fausse tragédie. J'ai bloqué son mail ainsi que celui de son soit disant s'est alors servi de la mort de mon père récemment décédé en m'assurant que mon père serait venu lui parler et lui demander de prendre soin de moi etc. C'est très grave vraiment je n'en revenait pas de voir jusqu'où il était près à aller. J'ai gardé tous les messages. Au cas où il m'aurait fallu porter a aussi tenté de se servir de la maladie de mon tu l'auras compris je suis tombée sur un cas. Moi qui ne savais même pas ce qu'était un manipulateur et encore mois pervers narcissique... Ca m'a endurcie sur ça et c'est une bonne chose je les sent de loin grâce à a tenté beaucoup de choses... En bien sûr bloqué son numéro. Je l'ai bloqué des réseaux alors qu'il a tenté la lettre manuscrite dans ma boîte aux n'a pas marché mais je garde cette lettre tellement elle est à mourir de sont très théâtraux. En le lisant j'avais l'impression que nous avions vécu des années ensemble. J'étais morte de rire c'était alors qu'il a tenté la dernière option, il connaissait mes horaires de piscine et savait à quelle heure je rentrais et que je sortais ma chienne directe en rentrant. Il est venu alors que je sortais yana vers 21h dans la résidence dehors alors qu'il faisait nuit. Je n'ai pas apprécié c'était encore intrusif et culotté mais ils n'en ont que faire ces gens là. Ils ont un vrai a tenté de s'expliquer. Encore en vain. Je n'ai assurément pas parlé car je savais qu'il ne fallait surtout pas accepter de dialogue avec un manipulateur c'est tout ce qu'il attend pour embrouiller et semer le doute dans les l'ai laissé me dire ce qu'il avait à me dire. Et il a bien vu que je me fichais de lui et ne croyais en rien ce qu'il me racontais. Alors blasé il a terminé en me disant qu'il n'insisterai plus, qu'il était désolé pour le harcèlement et qu'il allait me laisser tranquille pour de bon cette fois ci. ce n'était que la 5 ème fois qu'il me sortait le même baratin. En gros c'est très simple nous sommes sortis ensemble en novembre 2017, 3 mois après ma première séparation avec J., et début mars 2018 je le la dernière tentative de communication vaine de sa part remonte juillet 2018. Depuis, je n'ai plus aucune nouvelle. Mais ce sont des personnes pleines de ressources. L'essentiel dans cette histoire c'est que j'ai su m'entourer, j'en ai parlé. [...]Mais c'est vrai qu'au début lorsqu'on découvre ce genre de personne et que l'on voit jusqu'où ils sont prêts à aller, ça peut inquiéter, surtout mes qui a été difficile pour moi c'est de devoir l'avoir tout le temps dans mes pensées au début car c'est leur but, comme il revenait toujours à la charge je l'avais dans ma tête et ça m'énervais car je ne ressentais que de la pitié pour lui. Pour moi c'est une vraie maladie. Il doit être bien sombre et puis j'ai réussi à dépasser ça et à le sortir de ma tête. Je n'oublierai pas cette histoire elle fait partie de moi et je pense qu'elle n'est pas arrivée par hasard car j'étais très affaiblie par la séparation avec J. et fragilisée. Donc vulnérable."Le témoignage d'AliceJ'ai récemment enregistré une conversation avec Alice* qui a elle aussi gentillement accepté de témoigner sur sa relation avec un pervers narcissique.* Le prénom a été failles du PNLe PN a des failles comme tout être humain, mais qui paraissent pourtant invraisemblables au premier coup d’ failles du PN sont les suivantes Le pervers narcissique a un besoin MALADIF de se faire pervers narcissique a un besoin MALADIF de se faire noter qu’il existe deux types de pervers narcissique, le pervers narcissique grandiose et le pervers narcissique pervers narcissique grandiose est le type de pervers narcissique qui n’hésite pas à se jeter des fleurs et à tout faire pour briller en société comme dans la vidéo en début de guide.Le pervers narcissique vulnérable au contraire est le type de pervers narcissique qui ne se met pas d’emblée au-dessus des autres, qui est beaucoup plus pervers narcissique en soi n’est rien d’autre qu’une personne cherchant à obtenir des informations positives sur lui-même pour combler son manque d’estime de soi et d’amour-propre, sauf que la manière qu’il utilise pour obtenir ses informations et combler ce manque sont toxiques et détruisent son Quitter un PN mode d’emploiQuitter un pervers narcissique n’est pas facile lorsque l’on est une personne ayant un type d’attachement anxieux la “proie” parfaite pour un pervers narcissique, c’est toute une remise en contexte que tu dois faire pour briser les fausses croyances que tu as sur lui et maintenir ta n’est certes pas facile de déclencher la rupture avec un pervers narcissique, mais la rupture en elle-même n’est pas le plus difficile, le plus difficile est de maintenir la rupture et c’est pour cette raison que je vais découper ce mode d’emploi en deux 1 - Comment quitter un PN ?Le problème lorsque tu vas vouloir quitter un pervers narcissique, c’est ta dépendance à cette fond de toi, tu sais pertinemment que quelque chose ne va pas, et pourtant, tu vas te convaincre de rester avec lui au point de paraître fou/folle auprès de ton te rassure, tu n’es pas fou/folle loin de là si tu n’arrives pas à sauter le pas et à déclencher cette rupture, c’est parce que le pervers narcissique arrive à compléter ta personnalité avec pervers narcissique est tout autant dépendant de toi que tu ne l’es de lui, vous avez chacun mutuellement besoin de l’ seconde raison qui t’empêche de le quitter et non des moindre est dû à l’emprise psychologique que le pervers narcissique a sur toi il est littéralement en mesure de te faire culpabiliser si jamais tu voudrais le seule étape nécessaire dont tu as besoin pour déclencher la rupture avec le pervers narcissique, c’est de lui envoyer un message en utilisant le moyen de ton choix et en le bloquant surtout pas une réponse de sa part tu DOIS bloquer tout moyen de contact et l’expliciter clairement dans le message que tu vas lui marche à suivre pour quitter un pervers narcissiqueEnvoie ce message au pervers narcissique, puis bloque-le ensuite IMMÉDIATEMENT sans attendre la moindre réponse de sa part."Bonjour [Prénom],Après beaucoup de réflexion, j’en suis venu à la conclusion qu’il vaut mieux autant pour moi que pour toi que l’on se sépare je ne ressens plus de sentiments pour toi et je sais que peu importe ce que tu feras par la suite, mes sentiments ne pourront jamais sais que tu vas vouloir des explications et que tu vas sûrement chercher à me reconquérir et c’est la raison pour laquelle je préfère bloquer tout contact avec toi pour éviter de souffrir encore plus de cette pas de me contacter, je ne répondrais plus à tes que tu comprendras.[Ton prénom]"Maintenant que cela est fait, attends toi à ce qu’il revienne vers toi et qu’il te fasse culpabiliser ou, au contraire, qu’il mette les bouchées doubles pour te meilleure chose que tu puisses faire est de rester indiférente.Évidemment, c’est plus facile à dire qu’à faire et c’est pour cette raison qu’on va maintenant voir comment stopper l’emprise du pervers narcissique pour éviter de retomber dans son 2 - Comment stopper l’emprise d'un PN ?La première étape la plus importante est de renouer des liens avec ton as très sûrement été isolé de ton entourage par le pervers narcissique tout simplement, car l’isolement est une stratégie de manipulation très efficace pour le contact avec au moins une personne qui était très proche de toi avant ta rencontre avec le pervers narcissique et n’hésite d’ailleurs pas à lui envoyer le lien de ce guide pour qu’elle comprenne que ce n’est pas de ta faute, que tu as été le pervers narcissique utilise l’isolement, ce n’est pas par hasard c’est en faisant tout pour que tu es peur de la solitude que le pervers narcissique peut s’assurer que tu resteras avec lui, malgré ses tu auras peur de la solitude, et plus tu voudras revenir avec le pervers fois cette étape franchie, tu vas devoir reconstruire ton estime de toi en commençant par arrêter de croire tout ce que le pervers narcissique à pus te dois comprendre que ses paroles n’ont qu’un seul but te un papier et un crayon et note toutes les choses que le pervers narcissique à pus te dire sur toi et t’ont déstabilisée puis demande ensuite à ton entourage si ces paroles avaient du sens, puis compare les à cet exercice, tu vas remettre les choses dans leur étape, tu dois te débarrasser de cette culpabilité que tu ressens actuellement d’avoir rompue avec cherche surtout pas à te remettre avec culpabilité est une émotion proche du remords tu vas penser que tout est de ta faute et qu’il n’y est pour rien, car, après tout, il a eu une enfance difficile et beaucoup de problèmes dans sa vie et puis tu n’étais pas totalement parfaite non plus lors de la est important ici de te poser cette question penses-tu vraiment être coupable ?Prends un papier et un crayon, puis fait les 2 exercices Analyse ta situation qu’est-ce qui te fait culpabiliser exactement ?Note absolument tout ce qui te passe par la Remonte ensuite jusqu’à l’origine de ce sentiment de culpabilité est-il vraiment censé ou est-ce que ce n’est pas plutôt lié à une croyance de ta part ou provoqué par le pervers narcissique ?Dernière étape, tu dois comprendre tes points de souffrances le pervers narcissique a réussi à prendre le dessus sur toi, ce n’est pas par hasard et cela signifie qu’il a réussi à combler un ou plusieurs de tes points de souffrances cachés et/ou que tu l’as rencontré pendant une période difficile de ta vie une précédente rupture ou un problème majeur dans ta vie voir le témoignage de D. un peu plus haut.N’oublie pas, le pervers narcissique cherche juste à te contrôler, rien d’autre son but est de t’affaiblir, de te faire douter et de t’empêcher de te révolter contre tu culpabilises, c’est aussi parce que tu es une belle personne avec des valeurs et qui tient au bonheur des autres et ça, le pervers narcissique l’a très bien dois être plus forte que ça et mettre ta santé en Est-ce que le pervers narcissique revient après une rupture ?La réaction d’un manipulateur après une rupture dépend d’une chose la personne à l’origine de cette tu es à l’origine de la rupture, prépare-toi à ce que le pervers narcissique revienne à la charge plusieurs principale raison qui le motive à revenir vers toi est liée au fait que la rupture amoureuse l’a touché au plus profond de lui c’est un signal clair que ton amour envers lui n’était pas inconditionnel et qu’il n’a rien d’ pervers narcissique ne supporte pas ça et sera prêt à tout pour te récupérer, mêmes les choses les plus extravagantes comme tu as pu le lire dans le témoignage un peu plus cependant, le fait que le pervers narcissique soit prêt à tout pour te récupérer ne veut pas forcément dire qu’il va venir chaque matin en bas de chez-toi ou t’écrire une dizaine de lettres leur comportement reste calculé sans pour autant rentrer dans l’idéalisation que TOUTES leurs actions sont calculées à l’avance.La première méthode utilisée par le pervers narcissique est le silence radio, car il sait pertinemment que c’est une méthode beaucoup plus efficace que le donc si tu n’as plus de nouvelles du PN en fonction de qui a quitté qui, ce n’est peut-être qu’une simple stratégie pour que tu tombes à nouveau sous son n’est qu’une fois cette méthode effectuée qu’il tentera alors d’autres façon de te pervers narcissique revient TOUJOURS après une rupture qu’il n’a PAS autre raison qui va pousser le pervers narcissique à revenir après une rupture qu’il n’a pas souhaité est lié au fait qu’il souhaite te récupérer pour ensuite être à l’origine de la sa façon à lui de garder le contrôle sur la revanche, si c’est le pervers narcissique qui est à l’origine de la rupture, les chances qu’il revienne sont nulles, et ce, peu importe ce que tu cas possible de non-retour si le pervers narcissique ne revient pas malgré le fait que tu es rompue avec lui, c’est dans le cas où le pervers narcissique à tout fait pour te pousser à bout et te forcer à le quitter pour éviter de se “salir les mains” et de paraître comme étant le coupable dans l’ un cas rare, mais pas inexistant et qui mérite donc d’être Doit-on se venger d’un pervers narcissique ?L’acte de vengeance en soi a pour but de remonter ton estime de toi, voir ton ego c’est donc normal de ressentir l’envie de se venger d’un pervers narcissique après une rupture, tu te sens trahie et tu ne sais pas comment réagir face à cette revanche, le pervers narcissique n’attends que ça que tu réagisses, que ce soit en bien ou en une rupture qu’il n’a pas souhaitée, le pervers narcissique va tout faire pour que tu réagisses en bien ou en mal ça voudra dire que tu es encore susceptible de tomber dans son piège, la meilleure manière de t’en débarrasser est encore une fois d’être indifférente.Le simple fait que tu réagisses est pour lui un signe qu’il y a peut-être encore possibilité de te reconquérir et de continuer son acte de pour cette raison que la meilleure manière de “détruire” un pervers narcissique et de s’en venger est d’être totalement indifférente à ses première action après une rupture doit être de le bloquer purement et simplement et de faire un travail sur toi pour avancer et ne plus penser à lui, n’essaye en aucun de garder contact avec lui tu n’arriveras pas à stopper son emprise tant que tu seras en contact avec faire maintenant ?La meilleure façon d’avancer aujourd’hui est de reprendre le contrôle sur ton identité et sur tes dois tourner la page en prenant d’abord conscience que ton envie de retourner avec lui est normale, mais qu’il ne faut en aucun cas le une fois, même si l’envie est forte ne culpabilise pas, tu n’y es pour rien, et même une personne expérimenté peut tomber dans le piège de la manipulation par un pervers narcissique.
Regrettet'il de m'avoir quitté? julita1718. 26 juin 2008 à 23h19 Dernière réponse : 27 juin 2008 à 1h52. En résumé, au bout d'un mois ensemble, il se met à faire silence radio, après un harcélement de plusieurs jours il a fini par m'avouer par mail qu'on s'entendait très bien mais que mon manque de motivation (arret de la fac, pas d Le Deal du moment Cartes Pokémon sortie d’un nouveau ... Voir le deal Partagez AuteurMessage InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 11 Avr - 1918 Take me, Don't give up semaines c’est long. Deux semaines c’est quatorze jours, c’est trois cent trente six heures, c’est deux semaines de trop à mon gout. Deux semaine ou j’avais terriblement besoin de lui, de mon ami, d’être écouté, conseillé, d’être consoler de pouvoir essayer de résoudre cette affaire qui m’était tombée dessus sans même que je ne puisse dire ou faire quoi que se soit. Je n’avais qu’une envie c’est faire mon sac, claquer cette putain de porte et partir loin de Southampton, partir oui, ou je ne saurais le dire, l’Italie me plaisait tellement, mais Andréa ni était plus et Kristopher lui se trouvait ici. L’ambiance à la Villa devenait de plus en plus électrique et je ne supportais plus de voir cette fille, cette inconnue sous mon toit. Avais-je eu le choix ? Non bien sur que non, on ne m’avait rien demandé, on m’avait balancé cette chose sorti de nulle part, personne ne pouvait me prouver que c’était belle et bien ma sÅ“ur. Une sÅ“ur ? Une petite sÅ“ur ? Depuis quand je suis censée avoir une sÅ“ur ? Je n’en savais foutrement rien, pourquoi elle on la gardé ? Et pourquoi moi on m’a refourgué dans un orphelinat ? Est-ce que j’étais jalouse ? Peut être bien. J’aimais terriblement mes parents adoptifs, oui, je les aimais du plus profond de mon cÅ“ur et pour moi c’était eux mes vrais parents, pas cette femme qui m’envoie vingt deux ans après une sÅ“ur car elle ne peut plus s’en occuper. Depuis quand une femme pouvait-elle refourguer son gosse comme ça a une fille qu’elle ne connaissait pas ? Tout simplement car elle était ma vraie mère elle avait le droit de me larguer ma ‘sÅ“ur’ ? Non mais franchement c’était quoi ce délire ? Et puis, qui dit qu’elle est réellement ma sÅ“ur ? Bon ok… Jino la trouve très ressemblante…. Blonde, yeux bleus, elle fait la même taille que moi, sont regard est identique au mien, même si la couleur de ses yeux est un poil plus foncé des miens… elle a des même manies que moi, elle a un caractère pire que le mien… Mais est ce que ça fait d’elle ma sÅ“ur pour autant ? Tenant cette lettre j’appuyais ma tête contre le mur de ma chambre en fermant les yeux revoyant alors le moment ou j’ai rencontré cette fille. Conduisant ma voiture, que je ne devrais pas conduire ayant le poignet dans le plâtre… La pluie battant sur la pare brise, j’arrivais chez moi après avoir fait des courses et cette fille assise devant le portail, grande, blonde les cheveux collaient sur son front. Lorsque j’avais croisé son regard, bizarrement j’avais su que quelque chose de pas net se trouvait là dedans. Sortant de la voiture j’étais aller la voir lui demandant ce qu’elle voulait… Et cette voix…. Presque identique à la mienne…  Laety ? Shackerwoods ? » haussant un sourcil j’avais hochait la tête pour dire oui sans répondre.  Je suis Vikkie, Vikkie Isobel Dotterlow. Je viens de Suède. Je suis ta… petite sÅ“ur. » Choquée, je l’avais regardé longuement en lui intiment de monter dans la voiture pour aller mettre la voiture dans le garage. Et nous avions alors discuté. Je ne la croyais pas. Comment la croire ? Jusqu’au lendemain ou je reçu une lettre de ma vraie mère. Qui d’après ce qu’elle dit, n’a eu aucun mal a me retrouver. Elle avait toujours su qui m’avait adopté puis le faite que je sois un mannequin qui plus est réputé en Suède, je n’en revenais pas. Je commençais tout juste à faire quelques défilés pour d’autre pays. New-York, Paris et ça s’arrêtait là . Mais mes pubs, et mes publicités sur les catalogues et magazines eux étaient internationaux. Cette lettre qui contenait tellement de chose, qui contenait des mots horribles, triste et dégueulasse, qui avouait la façon dont j’étais née. Est-ce que j’avais voulu savoir ? Non, je m’en serais bien passé. Comment vouloir savoir une chose ? Surtout quand on sait à présent que l’on est née a partir de prostitution ? Je me sentais tellement sale, tellement immonde, horrible, souillée, une mère prostituée ? C’était pire que tout. Et pourquoi elle avait gardé ma sÅ“ur ? Alors qu’elle n’avait que cinq ans de moins que moi ? Elle avait dix huit ans, j’allais bientôt en faire vingt trois… Pourquoi me faire une chose pareille ? Serrant la lettre dans ma main je la mis en boule et la jeta sur mon bureau en me laissant tomber sur le lit. Putain de merde j’en avais marre. J’avais terriblement besoin d’un ami, de Kristopher. Je ne ressentais le besoin de me confier qu’à lui et personne d’autre. J’avais tenté d’appeler Jaelyn, mais mademoiselle ne répondait pas… Jino lui aimait Vikkie, même si Vikkie se montrait plus que distante avec lui, chose que je trouvais bizarre, a croire qu’elle le détestait ou le fuyais… Mais je m’en foutais, une fois qu’elle aura trouvé un logement elle partira de la villa. Est-ce que j’étais mauvaise ? Je crois que sur ce coup là je l’étais. Mademoiselle était en fac d’anglais, elle parlait d’ailleurs très bien l’anglais, et elle était bien évidemment aussi dans le mannequinat. D’ailleurs mon frère lui n’avait pas perdu de temps a l’embaucher… Elle allait devenir un mannequin pour lui… Quoi de mieux ? Bosser entre famille, mais bien sur. Il la considérait comme sa petite sÅ“ur… Ouais… J’étais sa sÅ“ur et elle ne l’était pas. J’en avais marre… Me levant je filais vers la chambre de mon frère frappant rapidement avant d’entrer. Celui-ci allongé dans son lit a regarder la télévision je sautais sur son lit en souriant me collant contre lui.  Jin’, tu peux m’aider à me doucher ? Je sors ce soir, j’ai envie de me changer les idées et … J’ai terriblement besoin de me doucher là … » soufflais-je doucement en frappant son torse nu le lui pinçant en souriant doucement.  Tu sors avec quelqu’un ? Pourquoi ça ne m’étonne pas ? Jaloux…  Non, seule et fais pas ton jaloux ! Vient me laver les cheveux et le bras ! » Dis-je en me relevant filant de sa chambre alors qu’au même moment il m’attrapa me posant tel un sac a patate sur son épaule me montant alors dans ma chambre. Croisant Vikkie, je lui assenais un regard assassin avant de claquer la porte de ma chambre pour ne pas qu’elle rentre.  T’es vache avec ta sÅ“ur… »  Ta gueule… Si tu étais à ma place tu comprendrais… »  Non… Si j’étais a ta place je serais ravis d’avoir de la famille… »  Je suis née a cause de prostitution… »  Laety… »  Douche-moi ! » Soufflais-je au même moment ou il me posait au sol. M’enlevant le short et le débardeur, n’ayant aucune honte d’être nue devant mon frère, je filais dans la baignoire allumant l’eau d’une seule main. Celui-ci en boxer, il prit le pommeau d’eau commençant a me mouiller le corps. La relation que je tenais avec mon frère était très bizarre. Nous avions tous fait ensemble, petite je dormais constamment avec lui, je sortais avec lui, je faisais tout avec lui. Il était triste, je l’étais et vice versa. Et il m’avait embarqué dans le monde de la mode assez tôt. Posant presque nue voir totalement nue cachant mon corps de mes mains, mon frère me voyait nue assez souvent. D’où le fait que le fait qu’il me douche ne soit pas un souci. Mon bas levait bien haut, ma tête penchée en arrière je le laissais me shampouiner la tête celui-ci sifflant l’air d’une chanson. Le laissant me savonner le dos et le bras il me rinça me laissant me laver le reste préférant rester avec moi pour me tenir compagnie. Une fois toute propre m’enveloppant dans la serviette il me sécha rapidement prenant soin de faire de même avec mes cheveux qui bouclaient légèrement.  Tu veux que je te lisse les cheveux ? »  Non c’est bon, on va les laisser ainsi, merci Jino, je vais m’habiller tu peux retourner voir la télévision. » soufflais-je doucement en l’embrassant sur la joue. Le laissant filer, j’entrepris de mettre un string de couleur rouge en dentelle enfilant alors le soutiens gorge assorti faisant bomber ma petite poitrine… Petit sein que Kristopher aimait. Je ne comprendrais jamais comment il fait. Regardant la photo de nous deux qui datait maintenant de plusieurs mois j’entendis frapper a ma porte. Vikkie… Marmonnant qu’elle pouvait entrer j’enfilais mon jean slim de couleur noir virant au gris celui-ci légèrement troué au niveau de la cuisse je me tournais vers elle.  Tu sors ? Tu veux que je vienne ? » La regardant je souriais faiblement enfilant mon haut top rouge, moulant et décolleté.  Oui, et non tu ne viens pas. » Dis-je en essayant de boutonner mon jean n’y arrivant pas. Sans que je ne dise quoi que se soit elle vient me fermer mon jean. La regardant, ses yeux si identiques au mien, je baissais le regard en soupirant longuement.  Laety, je suis dans la même situation que toi, crois moi ce n’est pas facile… » Soupirant longuement je marmonnais un vague merci en me maquillant rapidement comme je le pouvais d’une main. Faisant des yeux charbonneux pour faire ressortir le bleu, je la regardais prendre la photo de Kris et moi. Serrant la mâchoire je regardais à nouveau mon reflet dans le miroir.  C’est ton petit ami ? »  Non… Pourquoi ? »  Non comme ça, il est plutôt bien foutu… »  Ouais ben repose cette photo et dégage… Et t’es trop jeune pour lui, il a dix ans de plus que toi ! »  Mais… »  Dégage putain ! » Dis-je en la poussant hors de ma chambre claquant la porte pour la faire sortir. Soupirant longuement, je finis de me préparer tranquillement en mettant mes talons aiguilles. Sans veste, je sortis de chez moi prenant la voiture, conduisant d’une seule main ayant prit l’habitude. Filant vers la boite de nuit, Midnight owl, je me garais a la première place que je trouvais en regardant mon téléphone. Aucun message rien. Kristopher me manquait terriblement. Il me manquait comme jamais. Est-ce qu’il allait dire oui ? Est-ce qu’il allait dire non ? Je n’en savais foutrement rien et ça m’énervait au plus haut point. Je ne comprenais plus rien… si seulement je pouvais le voir, mais il détenait les cartes en main… Sortant de la voiture, je filais alors dans la boite en souriant au videur que je connaissais depuis le temps maintenant. Allant directement au bar je commandais une vodka pure au caramel. La buvant d’une seule traite, je m’allumais une clope en fredonnant doucement la chanson qui passait regardant les gens danser sur la pister. Buvant d’autre verre, ne les comptant pas, je commençais terriblement a avoir chaud. Écrasant ma troisième clope dans le cendrier, je me décidais enfin à aller danser. Au milieu de la piste, je me déhanchais doucement en sentant alors des mains sur ma taille. Relevant la tête, je vis un garçon, totalement inconnu, se coller contre moi. Souriant faiblement je posais ma main sur son épaule le poussant doucement  Désolée… Mais c’est non ! » dis-je en le poussant un peu plus. Celui-ci passa son bras dans mon dos ma plaquant alors contre lui. Le poussant un peu je serrais le poing me retenant de le lui coller sur sa tronche. Sa main glissant sur mes fesses, je ne pu me retenir. Le poussant alors franchement.  Quand je dis non ! C’est non espèce de pervers ! » InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 17 Avr - 2038 Premier jour, Kris passa sa journée à soupirer de frustration. Second jour, il se rendait au bar en trainant des pieds et passa tout le temps que dura son concert, à regarder la salle comme pour voir si Laety ne s’y trouvait pas. Le troisième jour il avait commencé à se faire une raison. C’était lui qui avait mit une distance effroyable entre eux et il avait plutôt intérêt de tenir bon s’il ne voulait pas prendre un quelconque risque de blesser la jeune femme. Durant les quatre jours qui suivirent, il tenta de ne pas trop penser à elle. Façon de faire le vide avant de devoir se forcer à répondre à la question fatidique. Oui ou non lui laisserait-il une chance à elle et à leur éventuelle relation ? Le huitième jour arriva et il eut l’impression d’avoir un compte à rebours dans la tête. Il ne savait trop combien de temps ça lui prendrait de réfléchir. Il ne savait pas non plus qu’elle serait sa réponse finale, évidemment. Il savait juste qu’il devait la trouver cette foutue réponse mais surtout, en être sûr et certain à deux cent pour cent. Et à côté de cela, il songeait qu’il ne fallait pas non plus qu’il prenne des mois pour méditer là -dessus. Tout simplement parce que Laety ne méritait pas des mois d’attente et d’inquiétude. Elle méritait d’avoir une réponse claire, définitive et rapide pour savoir et décider de ce qu’elle ferait. Une chose était sûre dans toute cette histoire, c’était que Kris l’appréciait énormément et avait prit goût à la sentir près de lui, contre lui. Il aimait sentir la chaleur de son corps contre le sien, sa peau glissant contre la sienne, sa langue entre ses lèvres, lui faire l’amour tout simplement. Mais il savait que ce n’était pas que le cul qui lui plaisait chez elle. Oh non pas le moins du monde ! Après tout elle avait d’abord était longuement son amie avant tout cela, avant qu’ils ne craquent et tombent dans le cercle vicieux du plaisir charnelle qui les avait emportés l’un comme l’autre, l’un avec l’autre. Cela prouvait bien qu’ils s’entendaient bien. Et puis le fait de lui faire l’amour lui avait fait connaÃtre d’autres moments. La tendresse après qu’ils aient couchés ensemble. Sa douceur, son odeur, tout ça … Le réveil à ses côtés, la regarder dormir, la voir sourire, lui parler à voix basse comme pour ne pas se réveiller trop violemment et brutalement. Lui faire l’amour de bon matin pour un réveil mieux que n’importe quel autre. Lenteur, douceur, tendresse, leurs corps encore chaud en raison du sommeil qui les quittait petit à petit. Bref … Kris avait pleinement conscience que tout n’était pas que question de sexe entre eux la fin de la première semaine, il avait commencé par répondre  non » à la question, dans sa tête du moins. Prit de doutes il avait commencé à repenser à toutes les raisons pour lesquelles il ne voulait pas de l’amour et combien il avait peur de l’engagement. Et s’il venait à abandonner Laety après quelques semaines ou mois de relation ? Et si elle venait à parler mariage et enfants alors que pour sa part, tout cela n’était nullement dans ses objectifs, proches ou lointains ? Alors dans ces cas là il la laisserait tomber, alors même qu’il serait peut-être tombé amoureux. Ils seraient donc deux pauvres cons à souffrir. Et tout ça parce qu’il avait décidé de dire lui dire oui concernant la chance qu’il voulait donner à une relation avec elle. Mais rapidement, il avait chassé le non de ses pensées. Elle lui manquait trop pour que cela n’ait pas un sens. C’était une chose qu’il devait prendre en considération. Il crevait d’envie de lui dire oui et de lui laisser une chance de lui prouver que l’amour ça peut être putain de bon et qu’il suffit de le vivre pour le voir. Mais pour cela, il fallait encore qu’il se jette à l’eau et accepte d’avancer à l’aveugle tout droit dans quelque chose qui lui faisait peur plus que de raison. Mais il avait peur, terriblement peur. Après tout, il n’avait jamais prétendu être plus courageux qu’un autre homme. Il n’avait même jamais prétendu être courageux, tout court. Ainsi pas de mauvaise surprise à la sortie. Quoi qu’il en soit, il avait tout de même eut du mal à trouver une réponse à la question qu’il se posait inlassablement. Et puis durant les derniers jours il avait commencé à se dire que de toute façon il n’avait pas réellement le choix. Ce n’était pas comme si l’absence de Laety à ses côtés ne lui faisait rien. Elle lui manquait comme ce n’était pas permit alors avec ça, comment douter du fait que ce serait toujours aussi s’il venait à lui dire non ? Il ne doutait plus de ce côté-là . Il avait besoin d’elle à ses côtés coûte que coûte. Et à côté de cela, il doutait de pouvoir résister à l’envie de lui faire l’amour s’ils venaient à se côtoyer régulièrement, voir tout le temps. Le désir entre eux étaient constant et bien trop puissant pour être oublié ou mit, tout simplement, de côté. Même sans la voir, il avait envie d’elle et d’aucune autre. Il ne remarquait même plus les filles qui passaient près de lui, devant lui ou autres. Il n’y avait plus que Laety, Laety et encore Laety. Est-ce que ça signifiait quelque chose ? Il commençait sérieusement à penser que oui. Et puis finalement, c’est après deux longues semaines à peser inlassablement les pour et les contre, qu’il avait fixé sa réponse. Oui, oui, oui et oui et encore oui ! C’était un soir comme un autre, ou plutôt une nuit après le bar, alors qu’il s’apprêtait à aller se coucher, qu’il avait prit cette décision. Assit sur le bord de son lit, son regard parcourant longuement sa chambre, il avait imaginé Laety là . Simplement là à marcher, lui parler, rire avec lui, le rejoindre dans son lit pour faire longuement l’amour avant de dormir dans les bras l’un de l’autre ou elle sur lui comme elle avait aimé à le faire. Oui il avait foutrement besoin d’elle-même s’il ne pensait pas en être amoureux. Mais sa présence lui manquait. Sa voix, son intelligence, sa conversation, son humour, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps, le goût de ses lèvres … Tout ça lui manquait plus que de raison et il devait bien le reconnaÃtre. C’est donc ravit comme pas deux à cette idée, qu’il se coucha cette nuit là pour se réveiller, neuf heures plus tard, en pleine forme. Durant cette journée, il avait longuement hésité à appeler Laety. Devait-il attendre encore un peu ? Non bien sûr que non … Pourquoi faire alors qu’il avait enfin la réponse qu’il lu avait promit ? Mais au moment où il s’empara de son téléphone, après un long petit déjeuner ajouté à un déjeuné, pour composer son numéro et tout simplement la joindre, celui-ci sonna. En reconnaissant le numéro de téléphone de l’un de ses amis, il en fut presque déçu mais répondit tout de même. C’était peut-être un signe. Oui … Peut-être qu’il devait attendre encore un petit peu avant de prévenir Laety de sa décision.  Hey Kris ! Ce soir tu ramènes ton cul toute la bande sort en boÃte. » Sortir dans un moment pareil ? Non il avait tellement mieux à faire ! Oui … Il fallait qu’il appelle Laety et il avait le besoin presque vital de la voir pour lui faire part de sa décision.  Non pas ce soir je … » Sans même lui laisser le temps de terminer sa phrase, son ami le coupa.  Non mais je ne te laisse pas le choix mon vieux ! Tu te ramènes ce soir ça fait trop longtemps qu’on t’a pas vu en soirée et on ne va pas te laisser déprimer dans ton coin pour on ne sait quelle raison ! » Comprenant qu’il n’avait pas tellement le choix finalement, Kris raccrocha son téléphone après avoir promit de se pointer dans la boÃte de nuit où ils avaient l’habitude de se rendre. Le téléphone raccroché et l’heure avançant, le jeune homme décida d’attendre une journée de plus avant de contacter Laety. Il n’était plus à ça près de toute façon …Quelques heures plus tard, après une longue douche brûlante, Kris revêtit un slim jean taille basse noir, un tee shirt de la même couleur à écritures imprimées et un pull gilet épais toujours de la même couleur. Prenant son temps, il mit une touche de gel dans ses cheveux pour les ramener en piques courtes, les ayant fait couper quelques jours plus tôt. Les racines brunes étaient à présent franchement visibles mais il ne cherchait pas à les cacher. Dans quelques petites semaines, soit il ferait couper ses cheveux très courts soit il les teinterait pour redevenir brun. Cela restait encore à voir. Peut-être les teindre pour les avoirs plus bruns que ce qu’il était naturellement. Tranquillement, il replaça correctement ses bracelets et fit passer son collier par-dessus son tee shirt avant de quitter sa salle de bain et descendre les escaliers de son appartement. Là , il chaussa sa paire de chaussures noires à crash blanches pour les mettre par-dessus son pantalon qui lui collait à la peau. Une fois totalement près, il rangea son téléphone portable dans sa poche et récupéra ses clés, fermant la porte derrière lui avant de prendre les escaliers pour descendre les étages à vive allure. Une fois dans sa voiture, comme à chaque fois avant de démarrer, il ne put s’empêcher d’espérer qu’elle soit d’assez bonne humeur pour démarrer. C’était qu’elle pouvait être capricieuse cette voiture. Et comme à chaque fois, elle mit un long moment avant d’accepter de démarrer. Une fois la voiture engagée sur la route, Kris la remercia à mi voix, songeant qu’il avait franchement l’air idiot à parler ainsi à sa voiture. Mais il n’était pas le genre de personne à se prendre la tête pour savoir ce que pensaient les autres de lui. Il était lui et se sentait parfaitement bien de la sorte ! Il ne changerait jamais pour personne. Si ce n’est pour Laety en acceptant de changer d’avis concernant l’amour et tout ce qui va avec. De longues minutes plus tard, après s’être longuement ennuyé dans les embouteillages de ce début de soirée, il arriva enfin à la boÃte de nuits où il devait retrouver ses amis. Comme à chacune de leurs soirées, il salua ceux qui étaient déjà là et attendit avec eux, l’arrivée des retardataires. Une fois tout le groupe réunit, ils entrèrent dans la boite en saluant le videur, étant des habitués des lieux. Une fois à l’intérieur, ils trouvèrent un coin de libre et Kris se vautra plus qu’il ne s’installa sur la banquette en coin. Il n’avait pas franchement l’envie de danser ou que ce soit de ce genre. Mais boire, oui ! Rapidement, l’alcool coula à flots à leur table et ils burent plus qu’il ne le faudrait. Heureusement pour Kris, il supportait tellement bien l’alcool, qu’il était encore totalement net et maÃtre de lui alors que ses amis commençaient déjà à rire sans raison et à vouloir aller danser et draguer tout ce qui bougeait. Rapidement, ils ne furent plus que trois autour de la table, dont Kris évidemment. Celui-ci préférait regarder l’heure tourner et ses amis s’amuser. C’est en regardant longuement les gens présents sur la piste de danse, qu’il reconnut Laety. Ce furent d’abord ses longues jambes fines et délicieusement galbées mises en valeur par un slim noir ainsi que des talons hauts, qu’il reconnut instantanément. Levant lentement le regard, passant par ses fesses parfaitement arrondies et qu’il savait fermes, il détailla longuement son top rouge qui contrastait fortement avec la pâleur de sa peau. Décolleté et moulant, il mettait en valeur sa petite poitrine qu’il aimait tant. La regardant toujours pour la détailler longuement, il regarda ses cheveux blonds boucler sur ses épaules, son profil si doux et harmonieux. Le souffle coupé, il avait la violente envie de la rejoindre sur cette piste de danse, alors qu’elle se déhanchait seule au milieu de tous ces abrutis. A elle seule elle éclipsait toutes les autres filles présentes. Elle n’avait pas besoin de porter une jupe outrageusement courte pour attirer l’attention contrairement à d’autres, par exemple. Alors que Kris venait de se lever, il se figea et serra les dents en voyant un type se coller à Laety. Forcément … Une fille aussi belle qu’elle ne pouvait pas se trouver là seule … Alors qu’il allait se rasseoir, totalement déçu et dépité, il la vit le repousser doucement. Comprenant qu’elle ne désirait nullement la présence de ce jeune homme, Kris fini par s’approcher lentement de la piste de danse, sans la quitter du regard, sans rien manquer des tentatives désespérées de cet imbécile pour rester contre elle et danser avec elle. En voyant sa main descendre sur l’une de ses fesses, Kris sentit son sang battre à ses tempes. Si ça n’avait tenu qu’à lui, il aurait collé son poing dans la gueule de ce type, histoire de lui faire comprendre la signification du mot non. Mais le temps qu’il arrive à eux, Laety était parvenu à l’éloigner quelque peu de lui. Arrivant tranquillement, Kris se plaça entre eux, faisant face au type en lui lançant un regard noir.  Dégage abruti … Elle est déjà prise. » Lâcha-t-il d’une voix claquante avant de se retourner vers Laety sans ajouter un mot, souriant faiblement en coin en posant ses mains sur ses hanches et les remontant avec lenteur dans son dos pour la serrer contre lui en posant sa joue contre ses cheveux et inspirant longuement son odeur qui l’envoûtait plus que de raison. Tout en dansant au rythme de la musique en la gardant contre lui, il s’éloigna lentement du jeune homme un peu trop entreprenant.  Je pensais que j’allais pouvoir t’aider comme un preux chevalier … Mais t’avais pas besoin de mon aide finalement. » Souffla-t-il en souriant en coin. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 2 Mai - 1805 Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept et huit. Ces chiffres, ces huit petits chiffres que j’aimais tant entendre quand j’étais à la danse, ces chiffres que j’aimais compter lorsque je dansais, ces chiffres qui n’avaient plus aucun secret pour moi. Des chiffres qui me plaisaient. La danse était et est une réelle passion pour moi. Je ne pourrais pas m’en passer, a tel point que j’avais même fait construire une salle de danse dans ma villa. Certes petite, mais existante. J’aimais danser, c’était plus qu’un fait, on ne pouvait pas passer à côté de ma réelle passion. Sentir la sueur perler sur mon corps après l’effort, la musique virevolté dans la pièce, me voir bouger dans le miroir, entendre ma respiration saccadé, me jeter sur le sol pour essayer de respirer, prendre une bonne douche bien brulante pour éliminer les toxines que j’avais sortie lors de l’effort. Oui danser, et encore danser… Sans plus jamais m’arrêter, sans plus jamais faire autre chose, tenir la barre en bois, la caresser, sentir l’odeur du parquet de la colophane, les pointes aux pieds, le bruit que cela fait quand l’on saute… Avoir les pieds en sang tellement l’on s’est démené pour faire ce que l’on voulait, progresser et encore progresser, constamment oui… La danse était toute ma vie, elle passait même avant le mannequinat c’était pour dire… Non plus sérieusement, la danse était ma raison de vivre jusqu’à ce que je le croise. Jusqu’à ce que min regard se pose sur ce bel apollon … Mystérieux, envoutant, énigmatique, ténébreux… cet homme aux allures parfaite, des traits fins et masculins, une voix suave et grave, sensuelle et charmante, une voix a vous donner des frissons tellement elle est parfaite… Oui lui, il était devenu ma raison de vivre, je ne jurais que par lui, ne vivais que pour lui… Je ne pensais qu’à lui, je rêvais de lui, bref, Kristopher était devenu très, très important dans ma vie. Il était comme ma raison de vivre, oui je pensais à lui et mon cÅ“ur s’emballait et pas qu’un peu, je pouvais même rougir, devenir rouge comme une tomate, il me changeait, il me transformait en une autre femme… Et c’était très plaisant. Il était celui qui pouvait faire de moi une femme heureuse, comblée, dans tous les sens du terme. Kristopher était quelqu’un de très doux, mais aussi de très sauvage et il savait s’y prendre avec moi. J’avais pu le voir a multiples reprises, oh oui et très en profondeur… Que ça soit chez lui, au camping, dans la rue, chez moi… Oh oui chez moi sous la douche… Sensuel, lent, tendre… Une relation des plus parfaite, oh ça oui, je ne pouvais pas ignorer que Kristopher était tout bonnement parfait au lit. Je l’aimais, je l’aimais et ce n’était pas en parti grâce à ses atouts sexuels. Je l’aimais bien avant de connaitre le sexe avec lui… J’avais eu le coup de foudre pour lui au premier regard et un coup de foudre on ne peut pas le contrôler, on ne peut pas non plus l’ignorer et essayer de passer à autre chose… Non, on ne peut pas. Essayant de me changer les idées, comme si cela était réellement possible… Je décidai de partir en boite de nuit. J’aimais danser après tout… autant en profiter, même si c’est seul que j’irais. Me retrouvant rapidement au bar, je ne perdis pas une seule seconde, commandant alors plusieurs verres que je bu assez rapidement. Je buvais un peu trop, j’avais tendance à tenir l’alcool, mais quand je ne le tenais pas, c’était violent et je vomissais a coup sur. Andréa en avait fait les frais… Tant pis pour lui, c’était tombé sur la mauvaise personne… Une fois les verres bus, je me levais après quelques instants allant alors sur la piste de danse. Me déhanchant lentement au rythme de la musique je sentis des mains se poser sur ma taille. Relevant les yeux, un inconnu se tenait face à moi. Inconnu qui n’allait pas tarder à se faire virer, je voulais être seule… ou alors accompagnée de Kristopher. Le poussant lentement je lui fis alors comprendre que je n’étais en aucun cas intéressé. Si seulement il voulait comprendre… Mais il faut croire que non ! Me touchant les fesses, je le repoussais violemment en lui mettant alors une claque. Il était hors de question que l’on me touche ! tout a coup quelqu’un se mit devant moi sans que je n’eus le temps de faire ou dire quoi que se soit.  Dégage abruti … Elle est déjà prise. » Surprise de le voir la devant moi, je le regardais lentement en me mordillant la lèvre. Kristopher était toujours là quand il le fallait. Quinze jours sans l’avoir vu, dieu qu’il m’avait manqué, oui terriblement même. J’avais l’impression de revivre, comme si un énorme poids était sortir de mon plus profond intérieur. Je voir devant moi, entendre sa voix, sa prestance, son corps…. M’arrêtant de danser tranquillement, le regardant je ne pus m’empêcher de sourire de plus en plus en voyant qu’il prenait ma défense. Cet homme était fait pour moi, il était l’amour de ma vie, oh ça oui… et je ne pouvais pas le lâcher ni même le perdre. Kristopher, ce prénom qui était ancré en moi depuis trop de mois maintenant. Celui-ci se tournant vers moi, je sentais ses mains sur mes hanches, gémissant doucement, je le laissais faire collant alors mon corps contre le sien. Mon cÅ“ur s’emballant, je me sentis légèrement rougir sous l’excitation et la joie qu’il procurait chez moi. Sentant sa joue se collait sur le dessus de ma tête, contre mes cheveux, je le laissais faire reculant en suivant ses pas. Mes mains se posant à sa taille, je remontais ma main libre dans son bas dos faufilant ma main sous son haut caressant alors lentement sa peau tout en fermant les yeux. Elle est déjà prise… Ces mots résonnaient dans ma tête longuement… Oui très longuement…  Je pensais que j’allais pouvoir t’aider comme un preux chevalier … Mais t’avais pas besoin de mon aide finalement. » Passant ma langue sur mes lèvres, un léger sourire se logeant sur mon visage, je fermais brièvement les yeux en inspirant longuement l’odeur qui émanait de son corps, son odeur, sa douce et belle fragrance. Elle m’avait tant manqué, deux semaines, oui deux semaines de souffrance, d’attente et j’en passe. Resserrant mon emprise sur lui, mon corps vraiment collait au sien, je remontais ma main, lentement vers son cou, pressent mes doigts dessus, mon pouce caressant alors sa pomme d’Adam plongeant mon regard dans le sien. Des yeux bleus, tellement bleus, envoutant, énigmatique, intense sensationnelle, des yeux qui me faisait rêver, des yeux ou je pouvais y lire comme un livre ouvert, en me heurtant à un mur lorsqu’il s’agissait d’amour… Un regard qui me laissait sur un petit nuage…  Hum… A une minute près, tu aurais pu être mon preux chevalier… Mais rassure-toi beau blond… Tu l’es quand même… Il n’avait pas l’air de vouloir me laisser… » soufflai-je doucement en posant mon front contre le sien tout en souriant faiblement. Kristopher était bien là … Il était bel et bien là . Soupirant longuement, j’enfouissais sans attendre ma tête dans son cou en soufflant longuement contre sa peau. Remontant mes bras sur ses épaules, je glissais alors mes mains dans ses cheveux entortillant alors mes index dedans en fermant les yeux me laissant guider par ses pas. Il menait la danse, oui, il la menait, et je bougeais le bassin contre le sien. Nous faisions presque la même taille… A quelques centimètres près cela pouvait passer… Et pour faire l’amour debout c’était… tout bonnement parfait. Ne surtout pas penser à cela alors que j’étais dans ses bras en train de danser. Non, ne pas penser au sexe de quelconque manière possible. Se serait un sacrilège, j’aurais envie de faire l’amour avec lui, hors nous ne pouvions pas faire l’amour, nous n’étions pas ensemble et il ne m’avait toujours pas donné sa réponse… Soit, je devais attendre gentiment et patiemment qu’il puisse enfin me fixer sur notre relation. Passant ma langue sur mes lèvres je frissonnais légèrement en déglutissant par la suite.  Alors ? Qu’est ce qui t’amène ici ? Tu t’ennuie ? » demandai-je un tantinet curieuse de savoir ce qu’il faisait ici a cette heure ci… Est-ce qu’il était seul ? Est-ce qu’il était accompagné ? Regardant dans la salle, je guettais la réaction de n’importe quelle fille vis-à -vis de nous. Rien… Non aucune ne paraissait jalouse. Tant mieux dans un sens. Je lui faisais entièrement confiance de toute façon, mais on était jamais sûre a cent pour cent. Soupirant doucement j’embrassais doucement son cou, comme pour lui montrer que je ne voulais pas influencer quoi que se soit avant de me reculer quelque peu pour rompre notre étreinte. Nous ne devions pas être si proches alors qu’il devait choisir encore une réponse. Détournant lentement le regard je baissais alors ma tête en triturant mon haut tout en me mordillant la lèvre.  Kristopher… Tu n’as pas encore prit de décision… Je n’ai pas envie d’influencer ton jugement… surtout en dansant… Aussi collé l’un à l’autre… Merci d’être venu me défendre… Je vais rentrer je crois… J’attendrais ton appel, ou ton message, n’importe quoi… » dis-je doucement en l’embrassant alors sur la joue la caressant du bout de mes doigts. Souriant faiblement, je lui tournais le dos alors pour partir. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Sam 7 Mai - 328 L’absence de Laety à ses côtés, faisait clairement comprendre à Kris qu’elle comptait beaucoup pour lui et qu’elle lui manquait. Oui elle comptait bien plus encore, que ce qu’il s’était d’abord imaginé. Rien à avoir avec une simple amitié ajoutée à un désir sexuel constant. Non, finalement, c’était bien plus que cela. Sans doute des sentiments bien plus forts que ce qu’il s’imaginait depuis un petit moment déjà . Voulait-il lui laisser une chance de lui prouver que l’amour n’était pas si nul que cela et que ça valait le coup ? Oui, cent fois oui ! Oui il voulait lui laisser cette chance parce qu’il avait une confiance aveugle en elle et parce qu’elle était déjà parvenue à le toucher comme aucune autre femme n’était parvenue à le faire jusqu’à présent. Et ce n’était pas seulement une question de rapports sexuels même s’il fallait avouer que de ce côté-là , c’était plus que parfait. Oui, réellement plus que parfait. Un plaisir sans erreur, sans fausse note, sans désaccord. Bref, perfection absolue. Tellement, qu’ils s’étaient consumés un peu plus à chaque rapport. Kris en était arrivé à rêver d’elle de façon presque quotidienne et penser à elle tous les jours. C’en était presque choquant de voir la place importante qu’elle avait prise en lui, dans son cÅ“ur et dans son esprit. La première à parvenir à faire cela et ça avait une réelle importance pour lui. Oui, cela voulait tout dire et c’était bien pour cette raison, qu’il se devait de lui dire oui et encore oui, à la question à laquelle il devait répondre. Voulait-il laisser une chance à leur relation ? Oui ! Après la décision, il y avait l’annonce. Mais pour ce faire, il avait besoin de la voir. Il ne tenait pas à le lui dire sur msn, facebook, par sms ou au téléphone. Cette annonce avait beaucoup trop d’importance pour qu’elle soit faite de la sorte, il ne le voulait surtout pas. Il voulait la voir pour le lui dire. Poser doucement ses mains sur ses hanches, sourire en coin, plonger son regard dans le sien et lui annoncer cela doucement, sans la quitter du ne doutait pas qu’entendre cela, lui plairait plus que de raison. Cela faisait un an qu’elle l’aimait sans jamais oser le lui dire par peur de le perdre. Quelques semaines qu’ils couchaient ensemble sans être capables de s’en empêcher tant le désir était présent en eux et l’attirance terriblement forte. Et ça faisait deux semaines très précisément, qu’elle attendait une réponse de lui, sans avoir eut la moindre de ses nouvelles. Pas de texto de sa part, d’appel, de message sur le net. Non, rien du tout. Et c’était bien grâce à cela, qu’il avait réalisé l’importance qu’elle avait prise pour lui. Elle était sans doute même devenue indispensable pour lui, même s’il avait encore quelque peu du mal à se l’avouer. Il avait toujours aussi peur de se laisser pleinement aller et de tomber amoureux d’elle. Il avait peur d’être blessé et trahit, peur d’être lâché dans une relation dont il serait le seul à se donner pleinement. Mais c’était de Laety qu’il était question. Laety … Sans doute l’une des seules femmes en qui il avait pleinement confiance. La seule qui lui donnait des envies d’amour et de relation. Oui il voulait lui faire plus confiance encore, voulait qu’elle lui prouve que l’amour pouvait rendre heureux, voir même que c’était nécessaire pour cela. Il ne doutait pas un instant qu’elle était parfaitement capable de le lui montrer, avec simplement un peu de patience et de temps. Elle n’avait qu’à lui montrer combien elle-même l’aimait, sans aucun doute. Oui, cela devrait bien suffire à rassurer Kris, qu’il voit combien elle était capable de l’aimer, lui et simplement lui. Il avait simplement le besoin de voir que c’était parfaitement possible et que les sentiments amoureux étaient bien ré que Kris se trouvait dans une boite de nuit en compagnie d’une bande d’amis, bien que le cÅ“ur n’y était pas, il aperçu le fruit de ses envies et de ses pensées. Que faisait-elle là ? Eh bien comme lui, elle faisait la fête tout simplement. Mais il ne lui manquait donc pas, pour qu’elle ait le cÅ“ur à s’amuser ? Lui-même n’était là que par amitié. Mais elle … Elle, elle trouvait tout de même le temps et l’envie de faire la fête alors qu’elle attendait une réponse des plus importantes de sa part. D’un autre côté, il ne pouvait décemment pas le lui reprocher. C’était lui qui prenait tout son temps pour cela, sans lui donner signe de vie. Lui qui lui infligeait cette longue pose sans nouvelles. Il n’allait pas non plus exiger d’elle qu’elle s’enferme chez elle sans faire quoi que ce soit ni voir qui que ce soit. Ce serait la cerise sur le gâteau, véritable exagération de sa part. Au contraire, il avait plutôt intérêt à être ravit, un tant soit peu, de voir qu’elle ne se laissait pas abattre pour si peu. Oui, Laety était une femme forte et il était plus que fier d’être tombé sur elle. Elle était une jeune femme forte, intelligente, rusée, patiente, de confiance, séduisante, excitante … Et il avait eut la chance d’être tombé sur elle et pas une autre. La chance qu’elle soit elle-même tombée amoureuse de lui, ce jour là dans ce bar dans lequel il se produisait tous les soirs. La chance qu’elle soit revenue régulièrement par la suite, assez pour qu’il en fasse une chance et qu’il se décide lui-même à l’aborder en comprenant qu’elle n’oserait jamais le faire d’elle-même. Une chance qu’elle finisse par trouver le moment et le courage de le charmer pour lui faire comprendre combien il avait envie d’elle et combien leurs corps étaient faits pour se trouver et se retrouver, s’amadouer et s’ qu’un type était en train de l’ennuyer plus que de raison, jouant au lourd à vouloir à tout prix se coller à elle pour danser, Kris ne put s’empêcher d’intervenir, délaissant son ami pour rejoindre Laety. La seconde d’après, il fit fuir le type un peu trop entreprenant bien que la jeune femme était déjà parvenue à lui faire comprendre qu’elle ne voulait pas de lui. Sans laisser le temps à la blonde de comprendre ce qui lui arrivait, il s’était collé à elle pour l’entrainer plus loin sur la piste de danse l’air de rien. Posant sa joue contre ses cheveux, Kris ferma les yeux en soupirant de bien être, frissonnant franchement en sentant sa main se faufiler sous son haut. Se passant rapidement la langue sur les lèvres, il passa lentement ses mains dans son dos en la maintenant serrée contre lui. Un court instant plus tard, il eut un sourire plus franc et heureux en croisant son regard si bleu, si envoûtant, se passant lentement la langue sur les lèvres en sentant sa main dans son cou, son pouce sur sa pomme d’Adam. Sans la quitter du regard et sans se départir de son léger sourire, il caressant doucement son dos de ses pouces, par-dessus son haut moulant et tout ce qu’il y a de plus … Sexy et excitant.  Hum… A une minute près, tu aurais pu être mon preux chevalier… Mais rassure-toi beau blond… Tu l’es quand même… Il n’avait pas l’air de vouloir me laisser… » Son front contre le sien, Kris eut un léger rire en montant une main à sa joue pour la caresser doucement, la remontant dans ses cheveux lorsqu’elle enfouit son visage dans son cou. Il ferma les yeux en sentant sa main valide dans ses cheveux, souriant faiblement de bien être.  Hm … Moui … On va faire comme si on était persuadés qu’il allait revenir et ne plus te lâcher. Heureusement que j’étais là hm … » Souffla-t-il d’une voix douce en souriant en coin.  Alors ? Qu’est ce qui t’amène ici ? Tu t’ennuie ? » Soupirant faiblement, il resta un moment silencieux à se contenter de caresser tendrement ses cheveux et inspirer longuement son odeur, profitant au maximum de la chaleur de son corps tout contre le sien.  Je me posais la même question à ton sujet. Je suis là parce que j’ai une bande d’amis très convaincants, qui ont refusés de me laisser tranquille pour ce soir … » Et tout cela alors qu’il avait eut l’envie pressante, le besoin urgent, de voir Laety pour lui faire part de sa décision sur laquelle il ne reviendrait pas. Mais c’était finalement, sans aucun doute, un signe du destin, qu’il l’ait retrouvé ce soir là , dans cette boite de nuit bondée de monde. Frissonnant doucement au baiser qu’il sentit dans son cou, Kris se figea légèrement en voyant la jeune femme se reculer dans l’intention manifeste de se détacher de lui. Sans comprendre pourquoi elle se détachait de la sorte de lui, il haussa les sourcils en la regardant.  Kristopher… Tu n’as pas encore prit de décision… Je n’ai pas envie d’influencer ton jugement… surtout en dansant… Aussi collé l’un à l’autre… Merci d’être venu me défendre… Je vais rentrer je crois… J’attendrais ton appel, ou ton message, n’importe quoi… » Totalement abasourdi, Kris resta totalement figé en sentant son baiser sur sa joue puis la regarda lui tourner le dos et commencer à s’éloigner. Il mit un moment à comprendre, avant de la rattraper en posant une main sur son épaule et se plaçant devant elle.  Ok … Attend, j’ai un message à envoyer. » Lâcha-t-il le plus sérieusement du monde avant de récupérer son portable dans sa poche et écrire un sms à … Laety. Un simple  J’ai à te parler … ». Sans sourire ni montrer quoi que ce soit, il l’envoya et rangea son téléphone dans sa poche avant de redresser la tête pour la regarder le lire. Une fois fait, il passa un bras dans son dos et un autre derrière ses jambes avant de la soulever de terre en la portant contre lui.  Maintenant je t’enlève. » Ajouat-t-il avant de prendre la direction de la sortie de la boite, ignorant les regards et les commentaires sur leur passage. Une fois dehors, il s’éloigna de plusieurs rues pour ne pas être dérangé par qui que ce soit, reposant alors lentement Laety à terre sans la quitter du regard. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 8 Mai - 2049 Take me, Don't give up fait que je sois dans cette boite de nuit était un compte… Mais le fait que Kristopher s’y trouve lui aussi comme de par hasard dans la même que moi était un autre fait. Il y avait combien de boite de nuit sur Southampton ? Trop pour les compter, surtout quand on voit a quel point la ville est de plus en plus étudiante et que le centre de la ville devient des bars a gogos et des boites de nuits. Tout pour attirer les jeunes les plus proches… Alors n’était ce pas un foutu destin qui avait fait que nous nous retrouvions tous les deux dans cette foutue boite de nuit ? Je me le demande bien… Il parait que je réfléchis trop, il parait que j’emmerde les gens… Je me posais des questions, je m’en posais plein comme tout bon nombre de gens, on s’en posait tous des putains de questions ! Mais dans mon cas les questions fusaient à tout sens… pourquoi ? Tout simplement parce que Kristopher était en quelque sorte l’amour de ma vie et que je l’aimais comme une folle et qu’il venait me sauver d’un abruti sans nom. Bon certes, je m’étais très bien débrouillée toute seule en collant une gifle au type… Mais il était tout de même venu, il avait voulu me sortir des bras de se type… Et c’est ce que j’aimais chez lui… Kristopher était l’homme parfait, protecteur, attentionné, a l’écoute, le mec parfait qui me correspondait en tout genre. Il devait devenir mien… C’était a présent plus que vital…  Hm … Moui … On va faire comme si on était persuadés qu’il allait revenir et ne plus te lâcher. Heureusement que j’étais là hm … » Souriant en coin je me mordis la lèvre en tirant légèrement ses cheveux comme pour lui faire comprendre qu’il ne disait que des bêtises. Oui mais nom d’un chien que j’aimais ça…. J’aimais qu’il puisse être si drôle et si agréable. J’aimais parler avec lui, rire a ses côtés il me changeait il me faisait oublier plus ou moins tout le reste et j’en passe… Kristopher avait toujours eu cet effet sur moi. Et c’est ce que j’aimais le plus à vrai dire. Je l’aimais pour ce qu’il était… Mon petit Kristopher… Il était mon tout… Je voulais encore le croire. Sentant ses mains dans mes cheveux je fermais les yeux envoutée par ses mouvements son corps contre le mien… Lui demandant alors ce qu’il faisait ici a voix basse je me sentais terriblement bien ici, dans ces bras et pas ceux d’un autre… Mon Kristopher…à Je me posais la même question à ton sujet. Je suis là parce que j’ai une bande d’amis très convaincants, qui ont refusés de me laisser tranquille pour ce soir … » Souriant en coin, je me doutais bien qu’il se poserait cette fameuse question. De savoir pourquoi j’étais en boite de nuit et seule de préférence… Est-ce qu’il se demandait si je le trompais ? Enfin, le tromper était fort, je n’étais pas sa copine… Mais jamais je ne ferais ce genre de chose non… J’avais juste eu l’envi pressente de partir de chez moi et de me changer les idées. Entre notre histoire et l’arrivé de ma sÅ“ur… Je ne savais plus où donner de la tête… Ma vie prenait une tournure que je ne contrôlais pas et c’était frustrant, j’avais l’impression de revenir trois ans en arrière… Lorsque mes parents sont décédés et que j’ai agis alors sans avoir le choix… Ma sÅ“ur débarquait de Suède et s’incrusté dans ma vie sans même me demander la permission, la longue lettre de ma mère qui m’expliquait alors pourquoi elle ne m’avait pas gardé mais pourquoi elle avait prit le temps de s’occuper de Vikkie… Vikkie Isobel Dotterlaw. Une jeune fille de dix huit ans qui étudie en langue étrangère… une jeune fille sublime, tout aussi belle que moi. Des yeux bleus comme mois, une chevelure blonde, comme moi. Elle était cependant plus petite, de huit centimètre. Son corps était fin comme le mien et elle avait beaucoup plus de poitrine que moi. Nous étions différentes en tout point et surtout niveau caractère. Mais elle était là , réellement là … A tel point que j’en avais même demandé un test pour voir si nous étions réellement sÅ“ur… et le verdict était tombé… Vlam dans ta gueule Laety, tu avais belle et bien une petite sÅ“ur qui rentrait dans ta vie sans même te demander si tu es d’accord… On ne peut pas dire qu’elle ait bien choisi son moment… Je me montrais dure avec elle et strict mais je men fichais… Je ne pouvais pas faire autrement, je ne pouvais pas aimer cette fille qui me demander de le faire. Lui donner autant d’argent que je le voudrais… Non qui me dit que ce n’est pas un coup foireux pour faire venir sa mère ici ? Ma mère en l’occurrence… Non, je ne voulais pas de ça… Je ne voulais rien de tout ça je n’étais pas prête, bon sang je ne voulais pas de ça, je voulais diriger ma vie comme bon me semblait, je voulais la mener a ma sauce et pas celle des autres….  Il fallait que je sorte de chez moi… Disons que l’ambiance n’y est pas trop bonne… Alors venir boire un coup et danser toute seule c’était pour me changer les idées. Mais que tu sois là , c’est encore meilleur… Des amis qui t’enlèvent ? Les méchants… J’espère qu’au moins tu n’avais rien prévu de bien intéressant avant qu’ils ne te kidnappent ? » soufflai-je contre sa peau, fermant alors les yeux, me mouvant lentement contre lui au rythmes de la musique. Une musique énergique mais à la fois légèrement sensuelle, une musique parfaite pour nous pour danser. Nos bassins bougeant en même temps nos jambes collés les unes aux autres pour ne pas être séparé d’un millimètre lui et moi je me mis à sourire en regardant alors son cou. Il sentait tellement bon, il était là , il me tenait dans ses bras il était bien là . Ce n’était pas un fantôme et encore moins un mirage ou je ne sais quoi dû a l’alcool. Non il était bien là …. Soupirant en embrassant alors la peau de son cou, je me défis de ses bras en le regardant droit dans les yeux. Je ne pouvais pas rester ainsi et profiter de la situation. Je ne pouvais pas faire comme si je n’attendais pas une réponse de sa part… Lui marmonnant qu’il ne m’avait pas encore donné sa réponse, il serait donc plus préférable que l’on cesse de danser ensemble. Souriant faiblement, le regardant une dernière fois, je lui tournais le dos pour partir alors de la salle. Sentant une main me tenir l’épaule je le vis alors apparaitre devant moi. Choquée et surprise je le regardais sans trop comprendre.  Ok … Attend, j’ai un message à envoyer. » Le laissant faire me stoppant sous le coup, je le regardais encore plus intriguée sans trop comprendre ce qu’il était en train de faire. Le voyant prendre son téléphone, je posais mes mains sur ma taille le regardant alors pianoter sur celui-ci. Mais qu’est ce qu’il faisait ? Pourquoi faisait-il cela ? Sentant mon téléphone virer dans ma poche j’entrouvrais lentement la bouche surprise de voir qu’il m’envoyait un message à … moi ? Kristopher m’étonnerait toujours… C’était du Kristopher tout craché a vrai dire… Prenant mon téléphone je cliquais sur ouvrir pour voir son message apparaitre alors.  J’ai à te parler … »  Mais qu’est ce que… » Haussant un sourcil relevant la tête vers lui, je n’eus pas le temps de ranger mon téléphone dans ma poche ni même de finir ma phrase que je sentis mes pieds se dérober du sol. Passant rapidement mon bras autour de son cou pour me tenir à lui et lui faciliter un peu plus la tâche je me sentis tout a coup rougir comme une idiote, ignorant alors les regards des autres, enfouissant carrément mon visage dans son cou soupirant contre sa peau. Peau chaude et douce à souhait.  Maintenant je t’enlève. » Me collant un peu plus contre lui, je ne demandais même pas ou nous allions, au fond j’avais une vague idée… S’il faisait cela s’était pour m’annoncer alors sa réponse… Réponse qui me paraissait assez clair non ? S’il avait voulu me dire non il n’agirait pas ainsi, il ne prendrait pas le risque de toucher mon cÅ“ur, de me porter comme un preux chevalier venant de sauver sa princesse… Non, il ne ferait pas cela… Mon cÅ“ur s’emballant pendant que le trajet se faisait en silence je me sentis bien, parfaitement bien à ces côtés. Passant ma langue sur mes lèvres l’air frais s’emparant quelque peu de mon corps, je pourrai presque m’endormir dans ses bras. Tellement c’était bon et parfait… Oh ça oui… Il était beau, fort, musclé, parfait, il avait toute les qualités pour lui comment ne pas en tomber amoureuse ? Je me le demande bien même…inspirant longuement je gardais les yeux fermais, alors que je le sentis se pencher pour me reposer à même le sol. Posant mes pieds au sol, je le lâchais en douceur reculant d’un tout petit pas mais pas trop. Rangeant mon téléphone dans ma poche je glissais ma main dans mes cheveux le regardant longuement avant de regarder autour de nous. Personnes n’étaient là . Nous étions seuls. Il nous avait isolés pour une raison bien précise. Mon cÅ“ur s’emballa plus que d’habitude se serrant par la suite, je me mordis alors les lèvres en lui souriant faiblement.  Kristopher… tu sais que tu es fou ? Mais… Que j’aime ce côté chez toi ? Ton côté fou… enfantin… Tu me surprendras toujours et c’est ce qui me charme plus qu’autre chose… Toi, ta façon d’être… » soufflai-je doucement en passant ma langue sur mes lèvres. Inspirant longuement je reculais alors plus franchement lui tournant alors le dos, pour regarder la rue dans laquelle nous étions. Une rue inerte de présence, une rue pour nous deux. Ce genre de circonstance me rappelait bizarrement notre parti de jambes en l’air dans la ruelle… Ce simple coup vite fait qui m’avait fait prendre conscience que je ne pouvais plus lui cacher l’amour que j’avais pour lui. M’installant contre le mur posant alors un pied contre celui-ci posant mes mains sur mes cuisses je souriais faiblement en plongeant mon regard dans le sien.  Alors… tu dois me parler ? J’attends … » Murmurai-je doucement en souriant faiblement le regardant amoureusement sans pouvoir m’en empêcher. Je l’aimais et ce genre de sentiment on ne pouvait pas réellement les cacher. Surtout quand la dite personne concerné est au courant. Depuis qu’il était au courant je ne me cachais pas vis-à -vis de lui. Il le savait alors bon… autant être sincère constamment avec lui. C’était le mieux pour nous deux. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Dim 15 Mai - 2120 Sans jamais se lasser, Kris regardait et détaillait Laety, tout comme il respirait son odeur avec plaisir et la serrer contre lui avec force, comme pour se rassurer et se satisfaire de sa présence. Il aimait terriblement la voir, l’entendre et la garder contre lui. En tout cas il y avait prit sacrément goût depuis quelques temps. Plus précisément, depuis qu’ils avaient commencé à coucher ensemble. Certes avant, lorsqu’ils n’étaient encore que de simples amis, il lui arrivait souvent de la prendre légèrement dans ses bras, sans pour autant que cela ne dure bien longtemps, sans doute par peur que son désir pour elle ne se réveille physiquement parlant. Quoi qu’il en soit, déjà dans ces brèves étreintes, il prenait beaucoup de plaisir à la sentir tout contre lui. Même trop pour que leur relation ne reste qu’une simple amitié. Et pourtant il avait tenu bon. Tout d’abord parce qu’il était en couple à cette époque. Même si … Ce n’était pas franchement de l’amour qui l’unissait à Elena mais plutôt une amitié ajoutée à du sexe. Bien que s’il avait du choisir un plan cul il en aurait eut davantage du sexe. Mais fort heureusement, Kris n’avait jamais été un accro du sexe qui a besoin de sexe sous toutes ses formes et tous les jours. Non, loin de là même. Il était plus du genre à pouvoir s’en passer durant quelques petits mois sans que cela ne lui pose de véritable problème. Même si à chaque fois, sa nature finissait par le rappeler à l’ordre. Il n’y avait que depuis qu’il avait commencé à coucher avec Laety, qu’il prenait terriblement goût à cela. C’était presque trop bon et trop beau pour lui seul et à chaque fois, il avait la sensation de mourir un peu plus. Certes il ne s’était pas montré franchement tendre avec Laety lorsqu’ils avaient couché dans la ruelle, se faisant froid et lui en voulant presque de le tenter autant. Mais depuis qu’il connaissait ses sentiments, il ne pouvait décemment pas lui reprocher quoi que ce soit. C’était plutôt lui le con de l’histoire, qui n’avait rien vu venir et lui avait sans doute donné de faux espoirs en se montrant totalement incapable de s’empêcher de lui faire l’amour dès que l’envie lui prenait. Mais même à présent, il était incapable de regretter quoi que ce soit, si ce n’est de lui avoir très certainement fait trop de mal durant ce laps de temps. Mais comment regretter l’absolue perfection qu’ils avaient connus tous les deux, ensemble, en faisant l’amour à plusieurs reprises, comme totalement incapables de s’en empêcher ? Ce serait un véritable sacrilège que de regretter cela et il en était bien conscient !C’était à force de ressasser toutes ces pensées, que Kristopher fini par se dire qu’il serait un abruti fini s’il ne donnait pas une chance à Laety de lui prouver que l’amour et le fait d’avoir une relation amoureuse, ce n’était pas si pourri que ça. Oui, c’était pour elle, pour qu’elle le fasse l’aimer comme il se devait, qu’il avait enfin prit la décision de lui dire un grand oui. Oui, il voulait donner une chance à leur relation. Et s’il était prêt à lui dire oui, ce n’était pas en ayant un quelconque doute. Oh non, il était sûr de lui ! Ce qu’il vivait avec Laety ne pouvait décemment pas rester une simple amitié, c’était tout bonnement impossible. Il suffisait de voir, entre autres, la complicité qui les unissait. Le fait qu’à l’instant, il vienne de l’aider à se débarrasser d’un type trop collant et puis faire mine de l’avoir sauvé de ce mec là alors qu’elle se débrouillait déjà parfaitement bien avant son intervention. La serrant toujours contre lui en évoluant au rythme de la musique de la boite de nuit, Kristopher en profita au maximum pour inspirer son odeur et profiter de sa chaleur. Il ne se sentait réellement bien qu’en sa présence et en l’ayant tout contre elle, aussi étrange que cela puisse paraÃtre. Et à ses yeux cela ne pouvait qu’avoir une signification les sentiments qu’il pouvait avoir pour elle étaient sincères et étaient en train de grandir de jour en jour. En sachant tout cela, il ne voyait pas la moindre raison acceptable de refuser de lui laisser une chance. Il faudrait vraiment être idiot pour lui dire non. Alors qu’elle lui demandait pourquoi il était là , il lui retourna la question après lui avoir dit que pour sa part, ses amis ne lui avaient pas laissé le choix et l’avait trainé jusque là pour le faire sortir un peu, après l’avoir vu rester ‘enfermé’ chez lui bien trop longtemps à leur goût.  Il fallait que je sorte de chez moi… Disons que l’ambiance n’y est pas trop bonne… Alors venir boire un coup et danser toute seule c’était pour me changer les idées. Mais que tu sois là , c’est encore meilleur… Des amis qui t’enlèvent ? Les méchants… J’espère qu’au moins tu n’avais rien prévu de bien intéressant avant qu’ils ne te kidnappent ? » Soupirant doucement de bien être, Kris se serra plus encore contre elle, comme pour effacer la plus petite distance physique qui soit, entre eux, incapable de supporter d’être un brin trop séparé d’elle, alors qu’il venait de la trouver dans cette boite après deux trop longues semaines de séparation. Séparation insoutenable et inacceptable soit dit en passant.  Je veux bien te changer les idées moi … » Souffla-t-il doucement au creux de son oreille, posant lentement sa joue contre ses cheveux en fermant les yeux de bien être.  Hm … Ben … Si … J’avais quelque chose de très, très, important à faire. Le genre presque vital tu vois … Mais j’ai repoussé à plus tard parce que c’était faisable. Mais honnêtement ça m’a sacrément fais chier de devoir repousser ça. » Ajouta-t-il doucement en pressant plus encore Laety contre lui. C’était sans doute un signe qu’elle se trouve justement là , alors qu’il avait eut cette information si importante à lui dire. Oui … C’était sans doute prévu pour aujourd’hui sa réponse. Et s’il n’avait pas encore répondu à cette question fatidique, il aurait automatiquement trouvé la réponse en la voyant là , aussi belle et parfaite qu’elle l’était. Elle lui avait manqué, démesurément et follement. Et c’était bien la preuve qu’il avait besoin d’elle dans sa vie et autrement qu’en tant que simple amie, c’était certain. Lorsqu’elle se défit de lui en commençant à s’éloigner sous prétexte qu’ils ne devaient pas être trop proches l’un de l’autre pour qu’il puisse réfléchir, il crut mourir, se sentant soudainement terriblement seul et abandonné par elle, le vide se faisant violemment ressentir dans ses bras. Choqué et silencieux, il la regarda s’éloigner avant de comprendre et la rattraper pour se mettre en travers de son chemin et lui envoyer ce foutu sms. Tout ça pour lui dire qu’il avait à lui parler.  Mais qu’est ce que… » Sans même lui laisser le temps de terminer sa phrase, il passa un bras dans le haut de son dos et un autre sous ses genoux pour la soulever de terre et la porter tout contre lui. En la sentant enfouir son visage dans son cou et passer son bras autour de celui-ci, il eut un faible sourire en l’entrainant dehors, se foutant royalement de tous les regards curieux posés sur eux. Seule elle comptait … Elle et lui, eux, tout simplement. Oui … Pour une fois il se foutait royalement des qu’en dira-t-on et ne pensait qu’à elle, cette fille qui lui plaisait démesurément et qui le changeait petit à petit sans même s’en rendre compte à n’en pas douter. C’était fou comme elle l’avait fait évoluer en quelques petites semaines. Pour lui qui affirmait ne plus jamais vouloir s’attacher à une femme … C’était rapé. Et étrangement, ou pas, il ne regrettait pas le moins du monde. Bien au contraire même ! Si c’était à refaire, il referait tout exactement de la même faç fois arrivé dans un coin qui lui plaisait bien, à l’abris des regards des curieux, Kris la reposa lentement sur le sol en la regardant longuement, souriant faiblement en réalisant que ce n’était finalement pas si simple que cela de dire ce qu’il avait sur le cÅ“ur, lui avouer qu’il crevait d’envie de vivre une relation avec elle et qu’il voulait l’aimer comme elle-même l’aimait.  Kristopher… tu sais que tu es fou ? Mais… Que j’aime ce côté chez toi ? Ton côté fou… enfantin… Tu me surprendras toujours et c’est ce qui me charme plus qu’autre chose… Toi, ta façon d’être… » Riant doucement, le brun, toujours blond depuis quelques semaines malgré les racines brunes parfaitement visibles, baissa vaguement le regard en soupirant faiblement.  Oui je sais que je suis fou … La folie est un art qui se cultive. » Répondit-il en souriant en con, relevant vaguement la tête pour la regarder lui tourner le dos et s’avancer pour voir dans la rue principale, qu’ils venaient de quitter. Sans mot dire, il la regarda revenir puis s’adosser à un mur en posant un pied contre le mur et ses mains sur ses cuisses. Souriant faiblement devant sa posture, il la parcourut longuement et lentement du regard, sans parvenir à détacher son regard d’elle, comme totalement hypnotisé.  Alors… tu dois me parler ? J’attends … » Réalisait-elle seulement l’effet fou qu’elle lui faisait et combien il la voulait ? Sans doute que non … Et c’était visiblement à lui de le lui dire. Mais pour ça, il ne voulait pas de cette distance physique qui le refroidissait plus qu’autre chose. Soupirant faiblement, il s’approcha d’elle sans la quitter du regard, pour poser ses mains sur sa taille en cherchant son regard du sien, posant lentement une main sur sa joue.  Oui … A propos … De la réponse que je devais te donner. Hum … Je pense qu’on a perdu du temps pour rien. Enfin … J’ai perdu du temps pour rien … Parce que depuis le début la réponse c’est oui. Oui parce que tu me rends fou au point que je pense constamment à toi et que j’ai besoin de te savoir à mes côtés. Et oui parce que c’est toi … Parce que t’es … Je sais pas t’es … Unique … Tu me fais rire, t’es intelligente, t’as de la conversation, t’es touchante, excitante, plaisante … Alors oui je veux que tu m’apprennes, je veux m’en remettre à toi parce que tu me donnes envie d’une relation et parce que j’ai une confiance aveugle en toi. » Finit-il par lâcher d’une voix calme en gardant son regard plongé dans le sien, oubliant presque de respirer durant de longues secondes devant l’importance de ses propres paroles. Il savait déjà qu’il ne regretterait jamais sa décision parce que c’était d’elle qu’il était question … D’elle et de lui bien entendu.  Je suppose que tu savais que ce serait oui à partir du moment où je t’ai enlevé. » Dit-il en plissant le nez faussement déçu avant de sourire en coin et abandonnant sa joue de sa main pour se reculer légèrement sans la quitter du regard, attendant une réponse, une parole, un geste, de sa part. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Mer 18 Mai - 1445 Take me, Don't give up mon Kristopher, il était là , il était bel et bien là , il était tout près de moi, il était même plus près que ce que je ne le pensais. Etait-il là depuis longtemps ? Comment ne l’avais-je pas vu ? Je me le demande bien… Mais l’essentiel c’est qu’il soit là et qu’il vienne a mon secours quand il voit que j’ai un souci, oui, qu’il soit là pour moi, me protéger, faire de moi sa petite princesse… Je voulais tellement… Continuer a le voir, deux semaines c’est long… Trop long quand on est amoureuse comme moi… Pire qu’une rupture, pire que le manque de clope, pire que tout… Kristopher était devenu ma drogue, une drogue essentiel, j’étais accroc a lui, je me shootais à lui, je vivais pour lui… Il n’avait pas le choix et moi non plus, l’amour que j’avais pour lui me consumait. Un coup de foudre ça ne se gère pas… Je n’y pouvais rien moi si au premier regard j’étais tombée amoureuse de lui… Je le savais que c’était lui qu’il me fallait lui et personne d’autre. Je ne voulais même pas m’embêter a chercher ailleurs… Tant pis s’il disait non, tant pis s’il me rejetait, tant pis si je le perdais… Mais il resterait le seul et l’unique, il resterait le seul amour que j’ai pu avoir, le seul homme qui me donne envie de construire quelque chose, le seule que je puisse aimer d’un amour incandescent, un amour immuable et sensationnel. Je l’aimais et c’était pour la vie. Ni plus ni moins…  Je veux bien te changer les idées moi … » Sa voix, au creux de mon oreille, un frisson parcouru l’échine de mon dos. Me poignant dans mes entrailles. Mes jambes tremblantes je m’accrochais un peu plus à lui avant d’enfouir mon visage dans son cou. Remontant mes lèvres à son oreilles, je le mordillai lentement en gémissant quelque peu sous l’afflux de plaisir qu’il venait de me donner avec sa seule petite phrase.  Kristopher… Ne me dit pas des choses de la sorte… trois semaines sans ton corps s’est long, très, trop long… Ne me tente pas… S’il te plait… Je serais obligé de t’appeler le petit diable… Tentateur à fond… » murmurais-je doucement en suçotant légèrement le lobe de son oreille en tirant dessus bougeant un peu plus mon corps contre le sien. J’avais chaud… tellement chaud… Il n’avait pas le droit de me faire des sous entendus de fou et me laisser par la suite sans rien faire… Trois semaines sans sexe c’est long… très long surtout quand l’on a gouté a la perfection… Kristopher lui-même… Ses coups de reins, ses gémissements, ses baisers, ses caresses, ses cris lorsqu’il jouissait pleinement en moi, sur moi… Son regard envoutant, ses murmures… tout… Bon sang, je me tuais… j’étais en train de me tuer…  Hm … Ben … Si … J’avais quelque chose de très, très, important à faire. Le genre presque vital tu vois … Mais j’ai repoussé à plus tard parce que c’était faisable. Mais honnêtement ça m’a sacrément fais chier de devoir repousser ça. » Haussant un sourcil, continuant de danser avec lui, je resserrai légèrement mon emprise sur lui, mon corps se mouvant contre le sien, une de mes jambes passant entre les siennes tout en dansant lentement fermant alors les yeux. Sa voix… son contact, tout m’avait manqué, j’étais tellement amoureuse de lui… Il était ma vie, mon univers… Mon tout.  On repousse tous un truc à faire de toute façon… Vital tu dis ? Demain tu auras le temps de le faire je pense… Toute la journée même… Ne me meurt pas hum… Tiens le choc Kristo… » Murmurai-je doucement en embrassant son cou avant de reculer lentement. Le regardant longuement, je ne pu m’empêcher de lui dire que nous ne devrions pas faire ce que nous étions en train de faire… Non… ; Nous n’étions pas ensemble, j’attendais sa réponse, nous ne pouvions pas compromettre ce qu’il avait instauré, ses règles à lui. Lui tournant le dos il me rattrapa avant bien même que je ne puisse dire quoi que se soit. M’envoyant même un message sur mon téléphone pour me dire qu’il avait donc quelque chose à me dire. Cet homme était donc fou ! Me prenant dans ses bras je le laissais faire en me sentant pousser des ailes. Mon cÅ“ur s’emballant quelque peu, j’enfouissais ma tête dans son cou en fermant les yeux me sentant terriblement bien là . Kristopher était un prince, un ange tombé du ciel. Oui il était mien, il était fait pour moi et j’en restai persuadé. Allant dehors, je sentis l’air frais envahir mon corps. Qu’est ce qu’on était bien… Nous amenant bien loin de la boite de nuit, mais surtout a l’abri de quelconque regard et d’oreilles indiscrètes, nous arrivâmes dans une ruelle déserte, ou personne ne se trouvait là . Me posant a même le sol, je lui souriais faiblement en lui annonçant qu’il était réellement fou mais que c’est ce qui me plaisait chez lui, son côté fou qui le rendait tellement unique… Oui Kristopher était unique et on ne pouvait pas en douter une seule seconde…  Oui je sais que je suis fou … La folie est un art qui se cultive. » rigolant doucement, je lui lançais un regard taquin et amusée. Je n’en doutais pas une seule seconde même… C’était du Kristopher tout craché ça… Une folie qui se cultive… Une grande folie, une immense, énorme même… Passant ma langue sur mes dents, je filais regarder dans la rue avant de revenir dans la rue. Il devait me parler… Je savais de quoi je savais déjà plus ou moins la réponse, mais on ne sait jamais… La vie nous réserve parfois de drôle de surprise… Des surprises pas forcément bonnes… C’était la vie… Déglutissant longuement, je fermais brièvement les yeux en venant m’adosser contre le mur, un pied contre, je le regardais longuement avant de lui dire que j’attendais qu’il me parle. Le regardant je le vis s’approcher de moi. Le laissant faire, mon souffle se coupa lorsqu’il posa ses mains sur ma taille en se collant plus ou moins contre moi. Mon cÅ“ur ayant un raté, je déglutissais a nouveau en entrouvrant les lèvres en sentant alors sa main sur ma joue. Nos regards l’un dans l’autre il allait dire oui… Il allait dire oui…  Oui … A propos … De la réponse que je devais te donner. Hum … Je pense qu’on a perdu du temps pour rien. Enfin … J’ai perdu du temps pour rien … Parce que depuis le début la réponse c’est oui. Oui parce que tu me rends fou au point que je pense constamment à toi et que j’ai besoin de te savoir à mes côtés. Et oui parce que c’est toi … Parce que t’es … Je sais pas t’es … Unique … Tu me fais rire, t’es intelligente, t’as de la conversation, t’es touchante, excitante, plaisante … Alors oui je veux que tu m’apprennes, je veux m’en remettre à toi parce que tu me donnes envie d’une relation et parce que j’ai une confiance aveugle en toi. » Le regardant droit dans les yeux dans siller je ne pu bouger. J’étais figée, oui j’étais figée telle une statue de glace sous l’annonce qu’il venait de me faire. Je savais qu’il me dirait oui, je l’avais su dès le moment ou il m’avait enlevé, sinon il n’aurait pas faire tout ça. Mais me le dire de cette façon c’était… Magique, intense grandiose, je n’avais pas de mot qui me venait a l’esprit, aucun mot… Strictement aucun mot. Passant lentement ma langue sur mes lèvres je fermais brièvement les yeux. Sa main sur ma joue me rendait des plus heureuses. Le contact que nous avions me rendait totalement folle, j’avais envie de lui, de l’embrasser, de le serrer dans mes bras…  Je suppose que tu savais que ce serait oui à partir du moment où je t’ai enlevé. » Ouvrant lentement les yeux, je les plongeai dans les siens, le regardant alors a nouveau. Je ne savais pas quoi dire, l’émotion me coupait la voix, j’étais la immobile, c’était un paradis, comme un rêve… Kristopher avait dit oui… Il avait enfin dit oui, il était avec moi. Est-ce que nous étions réellement un couple maintenant ? Pouvions-nous le dire ? Inspirant longuement, je montais une de mes mains sur son visage, caressant sa peau de mes doigts, mon pouce passant sur ses lèvres avec extrême lenteur. Mon cÅ“ur battant la chamade, une drôle de chaleur m’envahit de part et d’autre de mon corps, l’amour me rendait dingue de lui, j’en étais folle… Les yeux brillant de joie, un petit sourire se logea sur mon visage. Me rapprochant de lui je collais mon front contre le sien en fermant alors les yeux.  Kristopher… » Murmurai-je en frottant mon nez contre le sien. J’étais heureuse, oui heureuse, un avenir s’ouvrait enfin à moi… J’étais celle qu’il avait choisi pour lui donner l’envie d’aimer, pour apprendre à nouveau… Montant mon autre main a son visage, je ne pus m’empêcher de l’embrasser. Mes lèvres contre les siennes sans bouger je restais quelques secondes ainsi, lèvres contre lèvres avant d’attraper sa lèvre inférieur des miennes l’embrassant lentement déposant quelques petits baisers dessus avant de reculer pour embrasser sa joue descendant alors a son cou le serrant franchement dans mes bras. Mon corps bien collait au sien je me mis légèrement à rire tant je réalisais petit a petit c que nous étions en train de devenir.  Je m’en doutai un petit peu, mais c’est toujours… wow… La façon dont tu l’as dit, comment tu t’y es prit… Crois moi c’était tout aussi poignant que si je ne m’étais pas douté de quelque chose... » soufflai-je doucement en le serrant de plus belle contre moi. Inspirant son odeur, je poussais un léger soupire en glissant ma main valide dans ses cheveux les fourrageant lentement en les tirant quelques peu. Me redressant je l’embrassais a nouveau dans un baiser de désespoir, comme si cela faisait des années que nous ne nous étions pas vus, comme si ce baiser était attendu depuis des années, oui c’était approximativement cela. C’était enfin un vrai baiser, un baiser de couple, un baiser d’amour… Un baiser qui en disait long, très long.  Je t’apprendrai… Je te ferais apprendre a aimer… à m’aimer de préférence… Je serais là pour toi, je prendrai le temps qu’il te faudra…Je ferais tout ce que tu voudras Kris… Je serais ta petite amie, exemplaire, comme jamais tu en auras vu… Je veux te rendre heureux, je veux te montrer que l’amour ne rime pas avec souffrance… Oh ça non… Avec moi à tes côtés… L’amour sera un vrai paradis… Tu as confiance en moi ? » Soufflais-je doucement en le regardant droit dans les yeux, frottant alors à nouveau mon nez contre le sien, nous faisant tourner pour le plaquer en douceur contre le mur, m’adonnant dans ses bras avec une grande facilité. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Sam 21 Mai - 2318 Dansant tout contre Laety, corps contre corps, Kris ne pouvait que profiter au maximum de la chaleur et la douceur de son corps contre le sien, ajouté à son odeur qui avait le don de l’envouter plus que de raison. Comment ne pas en profiter alors qu’elle lui avait terriblement manqué en deux semaines de temps ? Leur dernier baiser qui fut des plus passionnés et enflammés, avait eut le don de lui laisser un goût de frustration et d’envie sur les lèvres. A l’instant même où elle avait disparut dans son champs de vision, il avait du lutter de toutes ses forces pour ne pas la rejoindre en courant et plaquer à nouveau ses lèvres sur les siennes. C’était ce qu’il avait fait une fois, allant même jusqu’à la plaquer contre le mur pour échanger avec elle un baiser sauvage et passionné, devant lutter avec force contre son envie d’elle et de son corps. Plus il y repensait et plus il se demandait comment il avait fait pour s’éloigner d’elle alors qu’il avait eut très envie de lui faire l’amour, peu importait où alors. Après tout, ce n’était pas comme s’ils n’avaient pas déjà fais l’amour dans des lieux insolites tous les deux, tant l’envie qui les prenait à chaque fois, était tout simplement incontrôlable. Dans un lac, dans une tente, sur un arbre, contre un arbre, à même le sol dans la forêt et leur dernière fois, dans une ruelle. Cela prouvait à quel point leur désir était puissant et tout bonnement incontrôlable. Et pourtant, à leur dernière rencontre, ils avaient du se retenir pour ne pas craquer. Pas une nouvelle fois à même la rue et surtout à cause du fait que Kris se devait de réfléchir quant à savoir s’il voulait ou non lui donner une chance de le faire l’aimer et de, peut-être, connaÃtre une relation amoureuse, sérieuse, avec elle. Cette question méritait une réponse sérieuse et bien réfléchir. Il ne devait surtout pas se hâter car Laety méritait ce qu’il y avait de mieux. Or, elle était amoureuse de lui, ce qui n’était pas négligeable. Il lui fallait faire attention à ses actes et paroles, pour ne pas la blesser. Entre autres, il savait bien que lui donner de faux espoirs ne pourrait que lui faire beaucoup de mal une fois l’heure du retour à la vérité, de se mouvoir avec lenteur tout contre elle, corps collé au sien, il ne put s’empêcher de murmurer au creux de son oreille, qu’il voulait bien lui changer les idées. Il était évident que ses paroles regorgeaient de sous entendus à connotation sexuel. C’était plus fort que lui, il avait toujours envie d’elle. A l’instant, il ne pouvait pas rester insensible à sa beauté parfaite et à son corps qui avait le don de l’exciter plus que de raison, rien qu’à le regarder. Elle n’avait pas besoin de porter une robe ou des fringues un peu trop sexy, pour cela. Bien qu’à l’instant, ses vêtements l’étaient véritablement. Du moins à ses yeux ! Sentant son souffle dans son cou puis ses dents se mettre à mordiller lentement son oreille, il ne pu s’empêcher de fermer les yeux, le souffle coupé par le bien être et le désir qu’il ressentait à cet instant.  Kristopher… Ne me dit pas des choses de la sorte… trois semaines sans ton corps s’est long, très, trop long… Ne me tente pas… S’il te plait… Je serais obligé de t’appeler le petit diable… Tentateur à fond… » Riant doucement, Kris remonta lentement sa main dans son dos pour la caresser doucement du plat de sa main, prenant de longues inspirations pour profiter de son odeur qu’il aimait.  Hum … Désolé … Mais j’aime bien savoir que je te fais un effet fou. » Souffla-t-il doucement toujours au creux de son oreille, gardant les yeux fermés comme pour se mettre en tête que l’instant, aussi magique soit-il, était bel et bien réel. Ce n’était pas un rêve ni même un fantasme. Laety, la femme qu’il désirait depuis bien longtemps, se trouvait bel et bien dans ses bras à cet instant, collé tout contre lui. Un bref et totalement involontaire gémissement, s’échappa des lèvres du jeune homme, lorsqu’il la sentit suçoter doucement le lobe de son oreille. A croire qu’elle aussi luttait contre l’envie de faire l’amour avec lui. C’était sans doute le cas dans le fond … Ca ne l’étonnerais pas vraiment à vrai malgré lui il repensa au corps de Laety contre le sien, ses soupirs, gémissements et cris de plaisir sous les coups de reins qu’il donnait, son dos se cambrant avec force sous la monté du plaisir, leurs corps brillant de sueur et glissant fortement l’un contre l’autre, son membre glissant inlassablement en elle, tantôt tendrement et lentement et tantôt avec rapidité, puissance et sauvagerie. Leurs regards bleutés brillant de plaisir et d’excitation, leurs prénoms sortant inlassablement de leurs bouches, leurs baisers échangés. Des baisers passionnés, sauvages, ardant et plaisant. Des baisers fougueux et précipité, les bruits humides aux retrouvailles inlassables et plaisantes de leurs langues.  On repousse tous un truc à faire de toute façon… Vital tu dis ? Demain tu auras le temps de le faire je pense… Toute la journée même… Ne me meurt pas hum… Tiens le choc Kristo… » Souriant en coin, il reprit la caresse dans son dos, de sa main, la faisant aller du haut de son dos à ses reins, à plusieurs reprises, luttant contre l’envie très forte de la faufiler sous son haut pour la caresser plus encore.  Non mais t’inquiète pas … Finalement ça va arriver bien plus tôt que prévu. Le destin est de mon côté en ce moment. » Souffla-t-il doucement, sans en dire plus, ne voulant pas trop parler dès à présent, préférant attendre un meilleur moment. Même s’il savait parfaitement que le moment n’allait pas tarder à arriver. Ils y étaient presque … Oui, très bientôt il allait lui donner sa réponse définitive, son oui qui, il le savait, signerait le début d’une relation qui ne pourrait qu’être parfaite. Il ne doutait pas un seul instant de Laety et lui faisait même une confiance aveugle, sur tous les plans. Elle allait le rendre heureux, il allait lui faire pleinement confiance et finirait par tomber amoureux d’elle, en temps et en heure. Il ne pouvait pas douter de cela ! Le désir sexuel était déjà là et le plaisir qui les gagnait lorsqu’ils couchaient ensemble, semblait être la preuve à lui seul, que leurs corps étaient faits pour être ensemble. Le reste devait suivre, il ne pouvait en aller autrement !Lorsqu’elle se détacha de lui et s’éloigna en mentionnant le fait qu’il devait encore réfléchir, il ne put s’empêcher d’être d’abord choqué et figé sur place, ne s’attendant pas à ce qu’elle fasse cela. Mais il eut bien vite le réflexe de la rattraper pour lui envoyer le message qu’elle attendait. Une fois fait, il la souleva dans ses bras, la portant hors de la boite de nuit pour aller se mettre dans une ruelle assez sombre et éloignée du reste, pour pouvoir se retrouver totalement seul avec elle et ne pas être dérangé par qui que ce soit. Il pouvait parfaitement voir la surprise dans le regard de la blonde, souriant presque malgré lui en se doutant qu’elle avait du, déjà , comprendre pourquoi il avait fait cela. Il était clair que ce n’était pas pour lui apprendre qu’il ne voulait pas d’elle et d’une relation avec elle. En l’entendant lui dire qu’il était fou, il eut un bref rire en lui faisant remarquer que la folie était un art qu’il fallait cultiver. Il fallait dire ce qui était, il était fou … Complètement taré et déjanté. Et il aimait être de la sorte ! Il avait la joie de vivre et n’hésitait pas à rire et plaisanter sur tel ou tel sujet. Il était toujours le premier à partir dans des délires tous plus stupéfiants les uns que les autres. Il mettait généralement l’ambiance avec ses conneries. Lorsqu’elle se cala bien contre le mur en disant qu’elle attendait d’entendre ce qu’il avait à lui dire, il ne tarda pas à s’approcher d’elle pour poser ses mains sur sa taille et la regarder longuement, prenant alors son temps pour lui apprendre quelle était sa décision finale, lui donnant alors plusieurs raisons pour lesquelles il avait décidé de lui dire un oui grand et massif ! Une fois ses confidences faites, il restait un moment à la regarder, souriant en coin en voyant combien elle était figée et combien son regard posé sur lui semblait refléter la surprise. Sa main posée sur sa joue, il eut un nouveau sourire en se détachant à peine d’elle pour souffler qu’elle devait s’y attendre depuis le moment où il l’avait enlevé. Un bref soupir de bien être s’échappa des lèvres de Kris lorsque la main de Laety se posa sur sa joue, son pouce redessinant lentement ses lèvres, son front venant ensuite se coller au sien. Plongeant son regard dans le sien, il eut un léger sourire en coin de bien être.  Kristopher… » Son prénom s’échappant de ses lèvres, un léger frisson le secoua doucement, fermant alors les yeux en souriant de bien être. Son autre main se posant aussi sur sa joue, il entrouvrit à demi les yeux pour la regarder, frissonnant plus fortement en sentant ses lèvres se poser sur les siennes. Il lâcha un bref gémissement en fermant les yeux, la laissant refermer ses lèvres sur les siennes avant d’y déposer de brefs baisers et de se déporter sur sa joue puis descendre dans son cou. Posant ses mains dans son dos il eut un nouveau frisson de bien être en déglutissant longuement.  Je m’en doutai un petit peu, mais c’est toujours… wow… La façon dont tu l’as dit, comment tu t’y es prit… Crois moi c’était tout aussi poignant que si je ne m’étais pas douté de quelque chose... » Gémissant de bien être, il se colla fermement contre elle, pressant fortement ses mains dans son dos pour la presser plus encore contre lui.  Hm … Tu me donnes envie de te dire des choses comme ça. » Souffla-t-il d’une voix douce en faufilant ses mains sous son haut pour la monter dans son dos et caresser sa peau nu avec lenteur et insistance, du plat de ses mains.  Tu m’inspires ma petite puce … » Ajouta-t-il d’une voix toujours aussi douce et caressante en gardant les yeux fermés, un léger sourire en coin. Au baiser qui suivit, il eut un bref soupir de bien être, lui répondant avec fougue et ardeur, sa langue se pressant contre la sienne avec insistance et ses lèvres collées aux siennes avec plaisir et envie, ses mains se pressant avec plus de force dans son dos pour la maintenir fermement collée à lui, gémissant faiblement à ce baiser. Ses lèvres lui avait terriblement manqué, comme tout le reste de sa personne à vrai dire.  Je t’apprendrai… Je te ferais apprendre a aimer… à m’aimer de préférence… Je serais là pour toi, je prendrai le temps qu’il te faudra…Je ferais tout ce que tu voudras Kris… Je serais ta petite amie, exemplaire, comme jamais tu en auras vu… Je veux te rendre heureux, je veux te montrer que l’amour ne rime pas avec souffrance… Oh ça non… Avec moi à tes côtés… L’amour sera un vrai paradis… Tu as confiance en moi ? » Souriant en coin, il la laissa le pivoter pour se retrouver à son tour plaqué contre le mur, gardant ses mains dans son dos en la regardant, sourire en coin.  Sois juste toi Laety …C’est comme ça que tu me plais. Toute entière, toi tout simplement. » Souffla-t-il en la regardant d’un air attendri, retirant ses mains de son dos pour la serrer plus encore contre lui en posant sa tête contre la sienne, soupirant longuement de bien être.  Ca fait longtemps que j’ai confiance en toi … une confiance aveugle. » Ajouta-t-il doucement avant de monter ses mains à ses joues pour chercher ses lèvres des siennes, se contentant de les presser contre les siennes et refermer lentement ses lèvres autour des siennes, l’embrassant avec lenteur et tendresse, l’une de ses mains montant dans ses cheveux pour les caresser avec douceur. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 23 Mai - 2326 Take me, Don't give up Hum … Désolé … Mais j’aime bien savoir que je te fais un effet fou. » Gémissant doucement je me serai un peu plus contre lui en frissonnant de bien être. Il n’avait pas le droit de me faire ça, non il ne pouvait pas me faire une chose pareille… a croire que c’était normal, de vouloir me rendre totalement folle… Non je lui interdisais de me faire cela… Lui mordillant le lobe de l’oreille pour le torturer a son tour comme pour me venger de ce qu’il était plus ou moins en train de me faire subir, je bougeai un peu plus contre son corps, suivant alors les mouvements de son bassin. Je me sentais tellement bien là , dans ces bras sur cette piste de danse, le moment était propice et parfait. Bougeant plus franchement le bassin je léchais son oreille en poussant un léger soupire de bien être pratiquement similaire à un gémissement pour lui faire comprendre ce que je ressentis en ce moment…  Ah oui ? Moi aussi, j’aime savoir que je te fais un effet fou… Surement dans moins… de quelques secondes… » soufflai-je en pressant alors l’air de rien ma cuisse sur son membre sans le frotter sachant que cela suffisait amplement pour l’exciter… Mais là n’était pas réellement le but… J’étais mauvaise de faire cela, mais dieu que c’était bon… Réellement bon… Parlant alors du fait que nous étions là et pourquoi, il m’annonça qu’il avait été enlevé par un groupe d’ami qui ne lui avait pas laissé le choix. Le pauvre… Je lui annonçais alors que ce qu’il avait prévu pouvait se faire demain. Chose vrai, a part si encore quelqu’un lui pourris la journée en l’enlevant dieu sait ou… ce serait dommage là .  Non mais t’inquiète pas … Finalement ça va arriver bien plus tôt que prévu. Le destin est de mon côté en ce moment. » Haussant un sourcil sans trop comprendre de quoi il parlait, je me mouvais sans cesser contre son corps, aimant terriblement être avec lui, comment ne pas aimer ? Je me le demande bien, je restai même persuadé que pleins de filles qui se trouvaient autour de nous devaient nous jalouser, ou plus exactement, me jalouser. Pourquoi ? Car Kristopher était parfait, il était là , dans mes bras a moi, et pas les leurs, est ce que je me trompais ? Non... Non, impossible, Kristopher était beau un beau type… Je voulais voir leurs regards jaloux, je voulais les voir me détester car c’était moi et pas elles, je voulais tellement de chose, j’en étais au point de vouloir les narguer car c’est moi qui dansais avec moi et pas elles… bon sang j’étais simplement tarées… Mais dieu que j’aimais. Et s’il disait non ? Et bien je l’avais dans la gueule… Je savais que c’était possible… Mais… Je n’en savais trop rien… Mais en même temps… Tout était possible, après tout, on ne peut pas dire que pour moi le destin soit de mon côté en ce moment…  Ah ? Quelle chance, toi au moins le destin est de ton côté, j’espère qu’il sera favorable avec toi maintenant, tu le mérites… » soufflai-je doucement au creux de son oreille tout en embrassant son cou avec envie et délice. Une envie bine trop forte mais nous n’étions pas ensemble, nous n’étions rien, strictement rien et être là ne servait a rien, si ce n’est surement influencer son avis sur nous. Me détachant de ses bras, je lui annonçai alors que je préférai partir pour lui laisser le temps de réfléchir. Me rattrapant alors que je partais, je le laissais m’envoyer un message en souriant le voyant alors me prendre telle une princesse dans ces bras. Le laissant faire, me disant que je devais faire jalouser plus d’une fille, je me trouvais pathétique de penser à cela… comme si c’était plaisant de penser cela, je n’avais jamais été jalouse et il est vrai que ce sentiment me faisait on ne peut plus bizarre à force. Est-ce que j’allais venir à me montrer possessive avec lui s’il venait a me dire oui. ? Peut être bien et c’est ce qui me faisait tellement peur… Je ne voulais pas le perdre sur une histoire totalement débile de possessivité et de jalousie c’était on ne peut plus ridicule surtout venant de moi… Le laissant me porter dans une ruelle plutôt sombre à l’écart des gens, je le traitais alors de fou, mais en même temps, Kristopher était un peu fou de nature, c’était lui, c’était dans son comportement et son caractère et je l’acceptai de la sorte, en même temps un Kris pas fou ce n’est pas un Kris. Lui demandant alors ce qu’il avait a me dire pour m’amener ici, même si au fond je savais plus ou moins ce qu’il me voulait, je le vis venir se coller contre moi, pour que nos corps soient collés l’un à l’autre. L’écoutant me parler, je fus choquée de par ces mots, je m’y attendais, mais c’était tellement poignant, tellement intense, tellement... Tout… je n’en revenais pas… Mon cÅ“ur battant la chamade j’avais envie de hurler, de hurler de joie… mais a la place je l’embrassais, je l’embrassais a en perdre haleine, je voulais lui donner le plus beau baiser de sa vie… Lui murmurant par la suite, qu’il me rendait folle et que par conséquent, même si je m’y attendais, son discours était tout aussi poignant, je ne pus me défaire de son emprise, le prenant dans mes bras pour l’embrasser longuement en le plaquant alors a mon tour contre le mur de la ruelle.  Hm … Tu me donnes envie de te dire des choses comme ça. » entrouvrant la bouche, je plongeai mon regard bleuté dans le sien tout autant bleuté que le mien, certes plus foncé que le mien, mais quelque peu identique, dieu que j’aimais entendre ce genre de chose… Je voulais qu’il continue encore et encore, je voulais qu’il me dise des belles choses, qu’il me dise qu’il m’aime lui aussi mais ça je savais que ça ne serait pas de si tôt. Sentant ses mains sous mon haut, le contact de sa peau contre la mienne, je poussais un long soupire de bien être.  Tu m’inspires ma petite puce … » Ecarquillant les yeux, je poussais un léger cri de bien être a ce surnom. Il n’avait pas le droit… Non pas le droit de me tuer autant et si rapidement… L’embrassant franchement je posais ma main sur sa joue en gémissant.  Eden… mon petit Kristopher, oh… Bon dieu… Comment tuer Laety… J’aime quand tu m’appelles ainsi… Kris… encore… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard des plus aguicheur et suppliant pour qu’il me nomme encore de la sorte, oui je voulais encore entendre ce surnom, petite puce, puce tout court, les deux putain oui… Je voulais frissonner au son de sa voix, faible, suave, grave, intense, sensuelle… je voulais qu’il me rende folle, folle comme jamais je ne l’avais été… Je voulais qu’il puisse faire de moi ce qu’il voulait, et le pire c’est qu’il en était capable, oh ça oui réellement capable… Il le pouvait mais çà je ne le lui dirais pas… Plutôt crever que de donner mes points faibles pour qu’il s’en délecte avec plaisir et volupté… non, je voulais garder cela pour moi… et seulement moi… Le plaquant contre le mur, tout e le regardant amoureusement je ne pus m’empêcher de l’embrasser et de lui demander alors s’il avait confiance en moi et s’il voulait que je fasse quelque chose pour notre couple… je voulais tellement lui apprendre a être amoureux de moi… est ce que je pouvais le faire ? J’osais le croire. Après tout même si je lui plaisais, même si c’était oui, est ce qu’il pourrait m’aimer ? Tenir a moi c’est une chose mais aimer s’en est une autre… c’était un tant soit peu complexe comme situation…  Sois juste toi Laety …C’est comme ça que tu me plais. Toute entière, toi tout simplement. » plongeant mon regard dans le sien, me mordillant lentement la lèvre inférieur, mon regard se voilant d’amour et d’envie pour lui je ne pus m’empêcher de poser mes mains sur sa taille, tirant doucement sur son haut, comme pour lui dire, comme pour lui faire comprendre que je le voulais, je ne voulais que lui et pour un long, très long moment.  Ca fait longtemps que j’ai confiance en toi … une confiance aveugle. » ses mains sur mes joues son regard ancré dans le mien, ma respiration se coupa plus vite que je ne le pensais. Nom d’un chien c’était poignant, terrifiant, je voulais mourir tellement le plaisir était trop intense… tellement il était tout… Sentant ses lèvres sur les miennes, je le laissais faire, me figeant plus ou moins dans un plaisir ardant, qui provoquait en moi un frisson intégral. Lui rendant plus ou moins son baiser, je me collais à lui mon corps se mouvant au sien, sentant alors nos corps battre a l’unisson, nos respirations aux mêmes rythmes, ma langue s’enfouissant dans sa bouche a la recherche de la sienne. Gémissant légèrement, mes mains remontant a son visage, je caressais longuement son cou avant de griffer quelque peu ses joues tout en l’embrassant de plus en plus le bruit de notre baiser s’entendant sans aucun souci. Je m’en fichai, je m’en foutais complètement, je voulais l’embrasser encore et encore, longuement, tendrement, amoureusement… Je le voulais, oui je ne voulais que lui… que Kristopher dans ma vie et mon cÅ“ur. Inspirant doucement je frottai mon nez au sien en le regardant avec amour avant de le prendre dans mes bras. Il avait confiance en moi c’était tout bonnement parfait, oui il n’y avait pas d’autre moi que cela… C’était plaisant à entendre terriblement plaisant même !  Tant mieux alors… Oui car je vais t’apprendre à m’aimer… Tu verras, la petite femme parfaite et modèle c’est moi et je serais tienne… absolument tienne… » soufflai-je contre ses lèvres en lui lançant un regard amoureux avant de frôler ses lèvres des miennes sans pour autant l’embrasser, le provoquant un peu plus pour lui montrer que oui il me voulait, oui, il voulait m’embrasser oui il me voulait pour lui. Plus la tentation était grande et mieux c’était… Mais question sexe… Il fallait peut être… Faire en sorte que nous ne couchions pas ensemble trop souvent ? Et si le sexe jouait ? Et si le fait que sexuellement on s’entende a merveille fasse peser le pour dans la balance ? Je ne doutais pas de lui, loin de là même, mais… il était clair que nous ne ferions pas l’amour tous les jours non… Il fallait que l’on se découvre autrement que par le sexe… Venir chez lui manger passer de bons moment devant la télévision, aller au cinéma, sortir… Tout ça quoi… Oui, on devait faire ce que fait un couple… Fermant brièvement les yeux je mordillai lentement sa lèvre inférieure la lui tirant avant de la lâcher tout en me détachant plus ou moins de ses bras pour me recoiffer et replacer quelque peu ma tenue en place.  Que dirais-tu…De se faire un petit programme pour se voir ? Genre les après midi et la soirée avant que tu ne partes bosser ? Je suis handicapé, je suis donc libre comme l’air pendant encore quinze jours… On pourrait s’organiser pas mal de choses toi et moi… Je te proposerai bien de venir chez moi mais… non. Désolée l’ambiance est naze… Mon frère… et… Hum… ma sÅ“ur… J’ai apprit que… Ma mère biologique avait eu une autre fille et… La voilà dans ma vie … Bref, donc chez toi ? Ou dehors, dis moi ce que tu veux faire, je suis ouverte a toute proposition mon Kris … » Murmurai-je doucement en me pinçant les lèvres le caressant doucement avant de l’embrasser furtivement me décollant de lui tout en souriant lui lançant alors un regard des plus taquin. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Ven 27 Mai - 2216 S’il y avait bien une chose qui était certaine, c’était bien le fait que Kris tenait vraiment beaucoup à Laety. Depuis bien longtemps, elle n’était pas une simple amie mais bel et bien une fille à laquelle il tenait énormément. Il avait suffit de deux petites semaines passées loin d’elle, pour qu’il réalise qu’il tenait à elle bien plus qu’il ne l’aurait pensé. Comment aurait-il pu se douter qu’un jour, ils en arriveraient là tous les deux ? C’était tout bonnement impossible. Impossible d’imaginer qu’il puisse s’attacher à elle plus que de raison. Et pourtant c’était bel et bien le cas. Et en toute franchise, il se voyait mal se couper totalement et définitivement d’elle. Il s’était bien trop attaché à elle pour accepter une chose pareille. Se mouvant lentement tout contre elle, au rythme de la musique, il s’amusait à la taquiner et l’exciter un tant soit peu en lui soufflant alors d’une voix caressante, qu’il aimait savoir qu’il lui faisait un effet fou. Oui il aimait savoir que lorsque qu’il faisait ce genre de chose, elle ne désirait qu’une chose qu’ils fassent l’amour le plus vite possible et peu importe alors où.  Ah oui ? Moi aussi, j’aime savoir que je te fais un effet fou… Surement dans moins… de quelques secondes… » Un sourire moqueur apparut sur les lèvres du jeune homme, avant de se transformer en bref gémissement excité en sentant sa cuisse sur son entre jambe. Se mordant doucement la lèvre, il approcha lentement ses lèvres de son oreille, pour lâcher un nouveau doux gémissement, ses mains remontant sur ses reins pour la serrer contrer lui avec force en fermant les yeux.  Satisfaite ? » Demanda-t-il d’une voix on ne peut plus douce et caressante, rendu quelque peu rauque par la légère excitation qu’elle venait de faire naÃtre en lui, simplement en pressant lentement sa cuisse contre son membre. Elle savait qu’il suffisait de pas grand-chose pour qu’il ait envie d’elle … Et cela n’avait de cesse de se confirmer au fil du temps. Elle avait le don de l’exciter au plus haut point, en deux temps trois mouvements. Et elle était bien la première à parvenir à un tel ré les yeux fermés et inspirant longuement son odeur qui l’envoûtait de façon presque choquante, il discutait doucement avec elle, tel deux conspirateurs ou … Deux amoureux dissimulés parmi la foule de danser sur la piste de danse d’une boite de nuits comme une autre. Un couple qui se faisait de douces confidences, chuchotaient au creux de l’oreille de l’un et de l’autre. Etaient-ils amoureux ? Non … Du moins … Il savait qu’elle-même était amoureuse de lui mais pour sa part ce n’était pas le cas. Mais il avait beau ne pas l’aimer d’amour, il ne pouvait que reconnaÃtre combien il était accroché à elle et combien il était prêt à faire beaucoup de choses pour la garder à ses côtés. Comment pourrait-il supporter de la perdre ? C’était tout bonnement impossible. Et si ça ce n’était pas la preuve qu’il était pleinement et totalement capable de se lancer dans une relation amoureuse ou qui se finirait en tout cas comme tel, alors il ne comprenait pas de quoi il s’agissait. Il ne doutait pas que Laety n’aurait pas grand-chose à faire pour qu’il tombe éperdument amoureux d’elle. Comment est-ce que ça pourrait ne pas être le cas en même temps ? Elle était … Tellement parfaite et unique. Tellement envoûtante et hypnotisante. Elle avait le don de l’exciter et de lui donner envie d’elle comme jamais il n’avait eu envie de qui que ce soit jusqu’à présent. Elle lui donnait vraiment envie de connaitre une relation sérieuse avec elle. Il voulait se coucher avec elle, dormir en sentant son corps posé sur le sien, il voulait se réveiller et la regarder dormir un long moment jusqu’à son propre réveil. Il voulait d’autres douches on ne peut plus torrides avec elle, lui faire l’amour indéfiniment, presser son corps contre le sien, soupirer d’aise contre sa peau. Il voulait rire avec elle, regarder des films tellement ennuyeux qu’ils ne pourraient que finir par faire l’amour sur le canapé pour faire une chose nettement plus intéressante et plaisante que regarder ces films nuls à souhait. Il voulait faire et connaÃtre tellement de choses avec elle, que ça ne pouvait pas s’arrêter à une simple amitié, il en était persuadé.  Ah ? Quelle chance, toi au moins le destin est de ton côté, j’espère qu’il sera favorable avec toi maintenant, tu le mérites… » Ses lèvres dans son cou, il frissonna doucement de bien être en gardant les yeux fermés et souriant faiblement en coin.  Il se pourrait qu’il tourne en ta faveur aussi. » Souffla-t-il d’une voix caressante au creux de son oreille sans cesser de la serrer tendrement contre lui. Il aimait terriblement qu’elle puisse lui inspirer autant de tendresse que de désir. Cette fille était tout bonnement parfaite, du tout au tout, sans le moindre petit défaut. Du moins pas à sa connaissance. Et cela lui convenait parfaitement, il voulait qu’elle reste cette fille unique qui lui plaisait de plus en plus et qu’il voulait de plus en plus dans sa vie, en tant que petite amie. Oui pour la première fois depuis bien longtemps, il se sentait prêt à accepter une petite amie. Mais pas pour dire d’avoir une petite amie. Non … Bel et bien parce qu’elle lui plaisait, parce que c’était elle et parce qu’il voulait l’aimer. Etrange cette envie de tomber amoureux sans doute. Surtout venant de lui. Mais pour le coup il assumait pleinement puisqu’elle était la première femme qui lui plaisait à ce point, c’en était presque choquant de voir combien il la voulait dans sa vie, dans ses bras, dans son lit. Et il se sentait on ne peut plus heureux et comblé au simple fait de la tenir tout contre lui, de sentir son corps se mouvoir contre le sien et au même rythme que le sien. Il aimait sentir son odeur plaisante et envoûtante … En fait il aimait tout chez elle et pourtant il n’était pas amoureux. Pas encore du moins. Sans doute était-ce simplement du au fait que pour cela, il avait besoin de la voir le plus possible, de passer beaucoup de temps avec elle et de connaÃtre toutes les joies, et même les moins bon côtés, d’un couple, à ses côtés. C’était bien la preuve qu’il jugeait qu’elle valait vraiment le coup pour lui laisser cette chance là de le rendre amoureux d’elle. Etait-il fou ? Allait-il regretter ? Non … Il était certain que non. Si tel avait été le cas, il n’aurait jamais décidé de lui laisser une chance. Il venait de passer deux longues semaines à réfléchir sur ce point là , à se demander s’il allait un jour regretter ou non. Il en était arrivé à la conclusion que non, tout simplement. Il n’était pas le genre de personne à prendre de décision hâtive et il venait sans aucun doute de le prouver. Surtout que dans cette histoire il y avait beaucoup à perdre tout de même. Une décision pourrait lui faire perdre Laety tout en lui faisant un mal fou. Or il refusait autant l’un que l’ d’après, réalisant que la jeune femme était sur le point de mettre fin à leur petite entrevue, Kristopher la rattrapa rapidement pour la soulever de terre et la porter hors de la boite de nuit, l’entrainant dans un coin sombre, une petite ruelle à l’écart, pour enfin lui donner sa réponse tant attendue. Lui soufflant alors doucement sa réponse et les raisons pour lesquelles il lui disait un oui sans la moindre hésitation, il ne pu s’empêcher de sourire devant sa réaction, voyant bien que celle-ci lui faisait atrocement plaisir. Juste de quoi le rassurer encore un peu plus dans sa décision. En même temps, comment aurait-elle pu ne pas être un tant soit peu contente alors que c’était là ce qu’elle attendait depuis tellement longtemps ? Si elle avait mal réagit il se serait grandement inquiété et à juste titre à son humble avis. Répondant alors à son baiser des plus passionnés et remplis de promesses, il soupira longuement de bien être en faufilant ses mains sous son haut pour la caresser avec douceur et tendresse. Murmurant alors ce surnom qu’il lui avait donné quelques temps plus tôt sur msn en premier lieu, il eut un sourire en coin en avisant sa réaction. Son petit cri suivit de son baiser eurent le don de le faire frissonner longuement de bien être tant il était ravi de la retrouver, de retrouver le goût de ses lèvres, la douceur de sa peau et de sa langue pressée contre la sienne, ses soupirs, ses gémissements … Il voulait encore entendre ses hurlements de plaisir incessants sous ses coups de reins quand il lui faisait l’amour.  Eden… mon petit Kristopher, oh… Bon dieu… Comment tuer Laety… J’aime quand tu m’appelles ainsi… Kris… encore… » Riant doucement, il lui lança un regard attendri en passant le bout de ses doigts sur sa joue pour la caresser avec tendresse, soupirant longuement de bien être. C’était fou comme elle le rendait dingue et combien elle lui plaisait.  Ma puce … Ma petite puce … Hey pourquoi Eden au fait ? » Demandai-t-il en haussant quelque peu un sourcil laissant alors le plaquer contre le mur à son tour pour l’embrassera avec presque sauvagerie, Kris laissa échapper un doux gémissement en répondant à son baiser avec fougue, son souffle se coupant un long moment. Souriant faiblement, Kris lui souffla alors qu’il avait éperdument confiance en elle et depuis toujours, baissant un vague regard sur ses mains qui empoignèrent alors son haut pour le tirer doucement.  Tant mieux alors… Oui car je vais t’apprendre à m’aimer… Tu verras, la petite femme parfaite et modèle c’est moi et je serais tienne… absolument tienne… » Ses lèvres caressant lentement les siennes comme pour le provoquer quelque peu, le jeune homme lâcha un doux gémissement en baissant le regard sur ses lèvres, les regardant alors avec envie.  Hm Laety … Tu es parfaite … Tu me plais démesurément. Mais oui sois mienne et je serais tien. » Souffla-t-il d’une voix douce sans quitter ses lèvres du regard en déglutissant longuement d’envie. Relevant lentement le regard pour le plonger dans le sien, il la laissa mordiller sa lèvre, sans broncher le moins du monde. Lorsqu’elle se détacha de ses bras, il la laissa faire sans la quitter du regard, posant alors sa tête sur le mur derrière lui, lâchant un bref soupir de frustration.  Que dirais-tu…De se faire un petit programme pour se voir ? Genre les après midi et la soirée avant que tu ne partes bosser ? Je suis handicapé, je suis donc libre comme l’air pendant encore quinze jours… On pourrait s’organiser pas mal de choses toi et moi… Je te proposerai bien de venir chez moi mais… non. Désolée l’ambiance est naze… Mon frère… et… Hum… ma sÅ“ur… J’ai apprit que… Ma mère biologique avait eu une autre fille et… La voilà dans ma vie … Bref, donc chez toi ? Ou dehors, dis moi ce que tu veux faire, je suis ouverte a toute proposition mon Kris … » Surprit, il haussa les sourcils en redressant la tête pour la regarder.  Quels rebondissements … Avec une telle ambiance de merde il faut s’échapper un peu alors. » Souffla-t-il doucement en souriant sans la quitter du regard, se redressant pour passer ses doigts sous la ceinture de son slim, l’attirant doucement à lui pour poser son front contre le sien.  Oui on se verra le plus d’après-midi possible pour sortir où tu voudras. Parc, restaurant, cinéma, ville, plage … Tout ce que tu veux. Et pour ce soir tu restes avec moi ? On pourrait échouer chez moi, manger et regarder un dvd dans les bras l’un de l’autre ? Et tu pourras repartir quand bon te sembleras. Ou encore on va chez moi récupérer de quoi dormir et on se fait une nuit à la belle étoile. Je te laisse décider. » Souffla-t-il tout en déposant de brefs et doux baisers sur son visage et descendant lentement dans son cou sans se détacher d’elle un seul instant. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Lun 30 Mai - 1611 Take me, Don't give up Satisfaite ? » Entrouvrant la bouche, en entendant son gémissement, je déglutis longuement en m’accrochant plus a lui encore… il n’avait pas réellement le droit de me faire ça… Non… Vraiment pas, c’était un mauvais joueur ! Pressant plus encore ma cuisse contre son membre, je le frottais lentement l’air de rien, en venant alors mordre son oreille tout en murmurant son prénom en gémissant longuement, une de mes mains descendant lentement sur sa fesse l’air de rien que je chatouillai quelque peu. Non, vraiment, jamais l’exciter… S’il voulait s’embarquer dans ce jeu, il était mal barré avec moi… ne répondant rien préférant l’exciter de plus en plus la conversation continua tranquillement en parlant alors du fait qu’il se trouvait ici. Pourquoi d’ailleurs ? Il m’apprit alors que sa bande de pote n’avait pas voulu lui laisser le choix et qu’il avait été forcé de venir ici alors qu’il avait déjà prévu quelque chose, lui annonçant que demain serait un autre jour il aurait largement le temps de faire ce qu’il avait prévus… Me parlant de destin et de tout autre chose, je ne compris pas réellement ce qu’il voulait dire… Mais je ne pus m’empêcher de répliquer qu’il avait de la chance que le destin soit de son côté contrairement à moi qui en ce moment n’avait aucune chance et encore moins de destin que lui… Autant dire que j’étais sur ce coup là poisseuse de chez poisseuse…  Il se pourrait qu’il tourne en ta faveur aussi. » Fronçant les sourcils, sans trop comprendre, je restai dubitative sur sa phrase. Pourquoi me disait-il cela ? Je ne comprenais pas trop. Est-ce qu’il parlait de nous ? Est-ce qu’il y avait réellement un nous possible ? Je me le demandai bien… Me mouvant toujours contre lui, je ne perdis pas une miette de notre étreinte, je voulais en profiter au maximum, m’enivrer de son odeur, de sa douce fragrance qui me délectait plus que de raison. Je voulais en avoir l’eau a la bouche, je voulais le goutter, l’embrasser, le mordre, savourer sa peau sous chaque infime parcelle… Je voulais lui faire l’amour, qu’il me fasse l’amour, je voulais juste passer le reste de mes jours avec lui et personne d’autre. Une vie heureuse, sans faille, sans imperfection passé à ces côtés. Je ne voulais que lui et encore lui… Inspirant doucement contre son cou, j’embrassais lentement sa peau a nouveau, créant des frissons sur sa peau  Ah bon ? Me tarde de savoir alors… » Dis-je doucement en me mouvant un peu plus contre lui tout en le serrant contre moi un maximum, avant de me défaire alors de son emprise. Lui lançant un regard amoureux je ne pus m’empêcher de lui dire que nous ne devrions pas faire cela tant qu’il n’avait pas prit de décision… partant alors il me rattrapa pour m’envoyer un message m’intimant qu’il voulait me parler… Me portant telle une princesse, je le laissais faire en enfouissant alors ma tête dans son cou me doutant alors de quoi il voulait parler pour le destin… il allait me dire oui, oui il allait me donner sa réponse… C’était donc ça qu’il voulait faire ce soir avant que ses amis ne l’entrainent de force ici ? Le destin était avec nous, putain oui il était de notre côté…. Me posant dans une ruelle ou personne ne trainaient, pour que l’on soit seul et sans dérangement quelconque, il m’annonça alors que oui il voulait de moi pour petite amie… Trois semaines, trois putains de semaines… J’étais on ne peut plus heureuse d’apprendre qu’il me voulait… M’appelant alors ma puce, je ne pu que gémir et fondre dans ses bras tout en l’embrassant lui demandant alors de continuer, de ne pas s’arrêter a m’appeler ainsi, je voulais encore et encore l’entendre me dire ma puce… Je fondais littéralement.  Ma puce … Ma petite puce … Hey pourquoi Eden au fait ? » Gémissant doucement aux surnoms qu’il me donnait, je m’agrippai un peu plus à lui tout en frissonnant de bien être. C’était on ne peut plus plaisant d’entendre cela, j’aimais terriblement ce petit surnom… Puce…Le premier qu’il m’avait donné, le premier qui serait ancré franchement en moi… Eden… Pourquoi Eden… S’il savait… Inspirant doucement je le regardais rapidement en souriant en coin. Frottant lentement mon nez contre le sien, je l’embrassais lentement en attrapant sa lèvre inférieure la lui tirant lentement avant de la relâcher.  Pourquoi Eden ? Hum… Tu connais le jardin d’Eden ? Ce jardin parfait, ce petit coin de paradis ? Ben tu es mon jardin à moi, mon paradis, celui qui me fait m’évader loin de tout… Tu es mon Eden à moi… » soufflai-je doucement en lui lançant un regard franchement amoureux, comme pour lui dire je t’aime, comme pour lui faire comprendre que je l’aimais plus que tout oui… Le plaquant contre le mur, je ne pu m’empêcher de l’embrasser, tout en lui demandant de me faire confiance, oui, je voulais qu’il me fasse confiance pour qu’il puisse enfin tomber dans cette bulle dans laquelle j’étais pour ma part depuis plus d’un an… Une bulle remplit d’amour pour lui… Lorsqu’il m’apprit qu’il avait confiance en moi depuis toujours je ne pu m’empêcher de gémir en lui murmurant alors que je serais la femme la plus parfaite et que je serais sienne, oui je serais sa femme a lui et a personne d’autre.  Hm Laety … Tu es parfaite … Tu me plais démesurément. Mais oui sois mienne et je serais tien. » Gémissant doucement en déglutissant quelque peu je pu voir son regard rivait sur mes lèvres, dieu que c’était plaisant a voir, oui, il avait envie de m’embrasser et c’était plus qu’excitant de le voir lutter pour ne pas m’embrasser… Mordillant lentement ses lèvres je ne pus m’empêcher de gémir légèrement. Il me rendait tout aussi folle que moi je pouvais le rendre fou, on était en train de s’user, de se tuer mutuellement et dans un sens ce n’était pas plus mal, j’aimais cruellement l’idée de mourir de plaisir dans ses bras, se consumer lentement à petit feu, tels deux désespérés de l’amour… Oui souffrir ensemble, s’aimer ensemble, et tout ce qui s’en suit, même si pour l’instant… Je devais accepter le fait d’être avec lui sans qu’il ne m’aime. Certes je lui plaisais mais je savais qu’il ne m’aimait pas… du moins pas encore.  J’aime t’entendre dire ça… Bon sang c’est plus que plaisant… Oh ça oui…Mon mien… Je te promets de te rendre heureux… Tellement que tu ne sauras plus ce que c’est que la tristesse… » soufflai-je contre ses lèvres en souriant en coin, oui je voulais lui faire connaitre les joies de l’amour, les joies d’une vie en couple, mais en fait… Moi je n’y connaissais rien… Je n’étais pas une experte, c’était la première fois que j’aimais quelqu’un… la première fois que j’allais plus ou moins m’installer avec quelqu’un… Est-ce qu’on allait s’installer ensemble ? Moi chez lui… Je n’en savais rien, je me voyais mal venir vivre chez lui… Pourquoi ? Je n’en savais rien… On verra bien par la suite de toute façon… Me détachant lentement de lui en souriant en coin, je lui proposais alors de faire plusieurs choses tant que l’on n’allait pas chez moi. Au vu de l’ambiance et de la nouvelle locataire, je ne préférais pas me retrouver coincer entre mon frère et... ma sÅ“ur. Puis mon frère n’apprécierait vraiment pas que je ramène un homme a la maison, même si j’étais chez moi… il serait bien trop jaloux, je le savais parfaitement…  Quels rebondissements … Avec une telle ambiance de merde il faut s’échapper un peu alors. » Passant ma langue sur mes lèvres, je le regardai avec amour sentant alors son doigt glisser sous mon slim pour m’attraper. Me figeant légèrement, ne m’y attendant vraiment pas, je le laissai me tirer a lui. Nos corps collés l’un a l’autre, je me mouvais lentement contre lui en posant ma main sur sa joue, la lui caressant longuement de mon pouce, nos fronts collés mon regard toujours dans le sien, mon cÅ“ur se mit a battre la chamade. J’étais amoureuse… Tellement amoureuse de lui.  Oui on se verra le plus d’après-midi possible pour sortir où tu voudras. Parc, restaurant, cinéma, ville, plage … Tout ce que tu veux. Et pour ce soir tu restes avec moi ? On pourrait échouer chez moi, manger et regarder un dvd dans les bras l’un de l’autre ? Et tu pourras repartir quand bon te sembleras. Ou encore on va chez moi récupérer de quoi dormir et on se fait une nuit à la belle étoile. Je te laisse décider. » Sentant ses bisous sur mon visage, je ne pu m’empêcher de gémir doucement de bien être en griffant lentement sa joue, il allait me tuer… Descendant dans mon cou, je penchai la tête en arrière en passant la langue sur mes lèvres en me collant franchement contre lui tremblant quelque peu. Attrapant son haut avec force et conviction je déglutis sans trop de mal. J’avais chaud, très chaud… Il était en train de m’exciter plus que de raison… Trois semaines sans son corps c’était long, trop long… Le poussant doucement je plaquais alors mes lèvres sur les siennes en griffant franchement sa joue ma langue entrant dans sa bouche avec ardeur et passion. L’embrassant dans un baiser passionné, amoureux et surtout comme si je ne n’allais plus le revoir, un baiser désespérer et envieux, ne plus vouloir m’arrêter, je me mis à gémir doucement passant mon autre main sous son haut, venant lui chatouiller lentement le ventre avant de remonter sur le creux de son torse venant poser ma main entre ses pectoraux caressant lentement ses poils les lui tirant quelque peu en déposant des multiples petits baisers humide sur ses lèvres, léchant alors celle-ci du bout de ma langue déviant lentement sur son menton, laissant une trainé de bave allant dans son cou pour remonter a son oreille. Suçotant le lobe de celle-ci je mordillai sans gène en tirant longuement dessus tout en soupirant. Rester avec lui ce soir ? Je n’avais pas réellement prévu cela… Mais après tout pourquoi pas, il fallait bien que l’on célèbre notre première nuit en couple non ? Autant rester avec lui… Oui, je le voulais… je voulais passer ma nuit avec lui et personne d’autre. Mon frère n’apprécierait surement pas que je ne rentre pas alors que j’avais dit que je rentrerais… Mais bon, ce n’est pas trop grave…  Je suis d’accord pour tout… Ce soir je veux rester avec toi, m’évader avec toi, dans tes bras, juste toi et moi… Il fait beau, il fait chaud… On file chez toi chercher de quoi dormir et on échoue sur la plage ? Un nouveau bain de nuit ça ne te tente pas ? En plus ils ont rajoutés des douches sur les plages, chose parfaite pour s’enlever le sel… Dormir a la belle étoile avec toi je reveux oui… » soufflais-je doucement au creux de son oreille en caressant la base de sa gorge du bout de mes doigts. Je l’aimais, oui, j’aimais Kristopher, je l’aimais comme jamais, il était mon homme, mon coup de foudre, l’homme de ma vie j’en restai même persuadé… Je ne pouvais pas passer à côté de cela… Inspirant doucement en frottant lentement ma joue contre la sienne je déposais de nouveaux baisers sur sa tempe en léchant lentement sa peau, mon autre main se faufilant en bas de son ventre, attrapant son jean que je tirais doucement tout en glissant deux doigts sous attrapant par la même occasion son boxer, caressant l’air de rien les quelques poils que je rencontrai, m’empêchant de glisser ma main plus bas pour ne pas empoigner son sexe. Ce n’était pas l’envie qui me manquait pourtant… Oh ça non… Passant ma langue sur mes lèvres je vins frotter mon nez contre le sien, le regardant à nouveau tout en souriant.  Sea, sex & moon… » murmurai-je doucement en souriant en coin l’embrassant alors a nouveau laissant mes mains là ou elles étaient m’amusant aves les poils de son corps, des poils que j’aimais terriblement, un corps qui était a présent mien… Mon Kristopher. InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Mer 1 Juin - 1538 Le corps collé à celui de Laety, dans cette boite de nuits branchée de Southampton, son corps se mouvant au même rythme que le sien, contre sien, messes basses chuchotées au creux de l’oreille. Aucun doute, ils passaient aisément pour un couple amoureux, ce qui n’était pas bien loin de la vérité à vrai dire. De légères caresses, des soupirs de bien être et des regards échangés, ils étaient comme hors du temps, rien que tout les deux, loin de tout et de tout le monde. Ils semblaient ne pouvoir se lasser l’un de l’autre et de ce moment qu’ils passaient comme coupés du reste du monde. A croire que rien d’autre n’avait d’importance pour eux, que leur petite bulle de bien être qu’ils s’étaient construits quelques temps plus tôt. Mais plus précisément, lorsqu’ils avaient couchés ensemble pour la toute première fois, le temps de réaliser qu’ils étaient déjà accrocs et ils remettaient encore et encore ça, en jurant à chaque fois que ce serait la dernière. Mais comment arrêter une chose aussi merveilleuse et fabuleuse soit-elle ? Ils ne pouvaient se lasser du corps de l’un et de l’autre et ne semblaient même pas avoir dans l’idée de tout arrêter. C’était bien trop bon pour accepter une telle chose de toute façon, c’était d’une évidence indéfectible. Dans le cas de Kris, il avait beau ne pas être amoureux il sentait bien que quelque chose le rattachait et l’attirait inexorablement vers Laety, sans trop comprendre quoi pour autant, sur le plan des sentiments du moins. Oui elle était merveilleusement belle, drôle, intelligente et intéressante. Et oui, ils s’entendaient merveilleusement bien sur le plan sexuel. Il ne doutait pas un seul instant que ce n’était pas uniquement cette dernière chose qui faisait qu’il la voulait dans sa vie, plus que jamais. C’était simplement ces dérapages à répétition, qui lui avaient fait comprendre et ouvrir les yeux sur le fait qu’ils ne pouvaient être de simples amis, comme dans le passé, pour encore bien longtemps. A présent, comment revenir en arrière ? C’était tout bonnement impossible ! Il avait constamment envie d’elle et doutait de pouvoir lutter contre ce désir de plus en plus fort et puissant. Et même s’il n’y avait pas eut ce besoin physique constant, il doutait qu’il aurait pu revenir en arrière pour reprendre une simple amitié avec elle. Il était en train de s’attacher d’une toute autre façon, qui était plus amoureuse qu’ que la jeune femme s’amusait à l’exciter démesurément en pressant sa cuisse contre son membre, il lâcha un doux gémissement au creux de son oreille en lui demandant d’une voix rauque si elle était satisfaite. Pour toute réponse, elle pressa plus encore sa cuisse contre son entre jambe, la frottant avec lenteur mais insistance. Le sang battant à ses tempes avec force, Kris vint mordiller lentement le lobe de son oreille, la serrant contre lui avec force. Sentant l’une de ses mains passer sur ses fesses avec lenteur, tandis qu’elle s’amusait à gémir et murmurer son prénom, le jeune homme eut du mal à déglutir tant le désir lui nouait la gorge et venait faire s’emballer férocement son cÅ“ur.  Laety je crois que tu t’es assez vengée comme ça … » Souffla-t-il d’une voix rauque en luttant fortement contre l’envie de l’embarquer dans un coin sombre pour la prendre debout, en la plaquant contre le mur. S’il ne répondait pas à son désir immédiatement, c’était uniquement parce qu’elle attendait une réponse de sa part et qu’il voulait plus que tout, la lui donner avant d’en venir à lui faire l’amour. L’attente avait bien assez durée comme cela. Changeant de conversation pour ne pas franchement s’emballer, ils parlèrent alors du fait que Kris avait été trainé plus ou moins de force jusqu’ici, par sa bande d’amis, qui ne voulait pas qu’il reste encore et toujours à se morfondre chez lui. La conversation menant au sujet du destin, le jeune homme souffla à la blonde qu’il allait bientôt tourner en sa faveur à elle aussi, tout comme lui, sans préciser bien entendu, qu’il parlait d’eux. Car en effet, la réponse qu’il allait bientôt lui donner, avait tout pour changer leur destin à tous les deux. Une chance de se mettre en couple, une chance pour qu’il tombe amoureux d’elle et donc, une chance pour qu’ils construisent quelque chose ensemble. Quant à savoir quoi, Kris ne préférait pas trop en parler, sachant qu’il avait toujours aussi peur des engagements sérieux tel que des enfants ou encore le mariage. Il ne voulait pas se précipiter en sachant qu’il n’était pas sûr de vouloir aller jusque là . Et si leur destin, était simplement d’être toujours ensemble et de se suffire l’un à l’autre ? Cela serait le summum du paradis selon lui.  Ah bon ? Me tarde de savoir alors… » Sans répondre quoi que ce soit, Kris eut un franc sourire de bien être et de joie en la serrant plus encore contre lui, avant de la laisser s’échapper lorsqu’elle se détacha de lui, sous prétexte qu’ils ne devaient pas rester trop ensemble pour qu’il puisse réfléchir rationnellement. Préférant ne pas remettre à demain la réponse qu’il avait déjà trouvé, il la rattrapa en lui envoyant alors un sms, avant de la soulever telle une princesse dans ses bras, pour l’entrainer au dehors, dans une ruelle plus ou moins sombre et écartée du reste des gens, pour ne pas être dérangés le moins du monde. Souriant et soupirant de bien être, il lui fit alors part de sa décision et de son oui sans la moindre hésitation, avant de la retrouver enfin pour de bon en l’embrassant tel un désespéré dans cette foutue ruelle sombre. L’appelant alors puce, Kris eut un sourire en l’entendant l’appeler encore une fois, Eden. Ce n’était pas la première fois qu’elle l’appelait de la sorte mais jusqu’à présent, il avait toujours eut mieux à penser que de lui demander la raison de ce surnom. Lui demandant alors doucement, il la regarda longuement sans se détacher d’elle, comme incapable de le faire alors qu’ils se retrouvaient enfin pleinement, après presque trois semaines de séparation totale.  Pourquoi Eden ? Hum… Tu connais le jardin d’Eden ? Ce jardin parfait, ce petit coin de paradis ? Ben tu es mon jardin à moi, mon paradis, celui qui me fait m’évader loin de tout… Tu es mon Eden à moi… » Plongeant franchement son regard dans le sien, il frissonna longuement de bien être sans la quitter du regard, souriant légèrement en coin tant il se sentait bien et complet en cet instant.  Ca me va ! T’as de la suite dans les idées ma petite blonde. » Souffla-t-il doucement en lui lançant un regard tendrement moqueur avant de gémir doucement lorsqu’elle le plaqua doucement mais fermement contre le mur derrière lui, pour l’embrasser une nouvelle fois avec fougue et ardeur. Parlant de confiance et du fait qu’elle lui plaisait démesurément, Kris ne put s’empêcher de regarder ses lèvres avec envie, tout en lui soufflant qu’il serait sien et elle sienne. La laissant mordiller ses lèvres avec lenteur, il soupira longuement de bien être sans la quitter du regard, comme totalement incapable de regarder ailleurs alors que la femme qui lui plaisait le plus sur cette terre, se trouvait être juste devant lui, collée à lui.  J’aime t’entendre dire ça… Bon sang c’est plus que plaisant… Oh ça oui…Mon mien… Je te promets de te rendre heureux… Tellement que tu ne sauras plus ce que c’est que la tristesse… » Frissonnant longuement de bien être, il se mordilla lentement la lèvre en la regardant avec une infinie tendresse tant elle était en train de le rendre fou simplement avec ses paroles et ses promesses. Gardant ses lèvres contre les siennes, il y déposa de tendres baisers sans parvenir à s’en lasser.  J’ai pleinement confiance en toi. Tu me rends déjà heureux. » Souffla-t-il doucement, son souffle heurtant délicatement les lèvres de la jeune laissant se détacher avec lenteur de lui, il la regarda longuement, l’écoutant alors parler de la suite de leur programme. Réfléchissant quelque peu, il mentionna le fait qu’avec cette ambiance qu’elle avait chez elle, il lui fallait donc s’échapper un tant soit peu. Passant alors le bout de ses doigts sous son slim tout en se détachant du mur pour l’attirer contre lui sans la quitter du regard, il mentionna la suite de leur soirée à venir. La sentant se mouvoir tout contre lui, il soupira doucement de bien être en posant son front contre le sien et plongeant son regard dans le sien. Incapable de s’en empêcher, il déposa de tendres et doux baisers sur son visage en soupirant faiblement de bien être tant l’instant lui semblait une nouvelle fois magique et hors du temps. Descendant ses lèvres dans son cou, il soupira de bien être en la voyant pencher la tête en arrière, déposant alors de brefs et légers baisers sur sa gorge en inspirant longuement son odeur envoûtante et plaisante à souhait. Sentant ses mains empoigner son haut avec force, il eut un léger sourire en coin en déplaçant ses mains pour les poser à plat sur le bas de ses reins, tout en posant le bout de ses doigts sur le haut de ses fesses l’air de rien. Se sentant pousser en arrière sans aucun doute parce que la jeune femme s’emballait, il redressa la tête au moment où ses lèvres vinrent heurter les siennes avec franchise pour un baiser fougueux tout en posant une main sur sa joue pour griffer lentement sa peau. Pressant sa langue contre la sienne avec fièvre et ardeur, il laissa échapper un doux gémissement d’envie sans détacher ses lèvres des siennes pour l’embrasser toujours avec autant de fougue et de sauvagerie. Détachant ses lèvres des siennes en sentant sa main se faufiler sous son haut, il soupirant doucement de bien être et d’envie en sentant sa main se poser sur son ventre et monter entre ses pectoraux. Sans la quitter du regard, il la laissa déposer des baisers humides sur ses lèvres, entrouvrant légèrement celles-ci sous le coup de l’envie qu’il avait d’elle et de son corps. Sa langue se faufilant sur ses lèvres avant de se poser sur son cou et remonter à son oreille, il ferma les yeux en souriant de bien être tant il aimait sentir la salive qu’elle déposait sur sa peau.  Je suis d’accord pour tout… Ce soir je veux rester avec toi, m’évader avec toi, dans tes bras, juste toi et moi… Il fait beau, il fait chaud… On file chez toi chercher de quoi dormir et on échoue sur la plage ? Un nouveau bain de nuit ça ne te tente pas ? En plus ils ont rajoutés des douches sur les plages, chose parfaite pour s’enlever le sel… Dormir a la belle étoile avec toi je reveux oui… » Souriant en coin, Kris descendit ses mains pour les poser franchement sur l’arrondie parfait de ses fesses, pressant son corps contre le sien avec force et conviction.  Hm … Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreuses heures à venir. » Souffla-t-il doucement de bien être et d’envie sans se détacher d’elle, comme désireux de souder leurs corps. Ce qu’il rêvait de faire physiquement parlant. Il voulait lui faire l’amour et ne faire plus qu’un avec elle, encore et encore. Il voulait d’une étreinte sans fin tout simplement. Sa main se faufilant sur son bas ventre, Kris se figea quelque peu lorsqu’elle glissa ses doigts sous son jean puis son boxer, pour caresser lentement sa peau. Déglutissant longuement, il frissonnant franchement d’excitation, à cela ajoutés ses baisers humides. Ses lèvres sur les siennes, il lâcha un involontaire gémissement en déposant de brefs baisers sur ses lèvres.  Sea, sex & moon… » Souriant en coin, il mordilla lentement ses lèvres sans la quitter du regard.  Sauf … Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce … » Souffla-t-il d’une voix rauque sans pour autant se détacher tout de suite d’elle, plaquant alors franchement ses lèvres sur les siennes pour l’embrasser avec fièvre et sauvagerie, en plaquant inlassablement sa langue contre la sienne. Sentant son membre durcir franchement d’envie, il se détacha d’elle en s’emparant de sa main pour l’entrainer avec lui dans l’intention de quitter la ruelle, en riant doucement.  Etape numéro un, aller récupérer de quoi dormir, chez moi. » InvitéInvitéSURVOLE PETIT COQUINSujet Re Trust me, Say me yes, for the life. K&L Jeu 2 Juin - 426 Take me, Don't give up Laety je crois que tu t’es assez vengée comme ça … » Frissonnant doucement, ma cuisse toujours contre son entre jambes, je la bougeai encore un petit peu avant de l’enlever signe que je cessai la guerre de vengeance que j’avais alors plus ou moins déclarer il y a quelques minutes… voir secondes, le temps passait tellement vite qu’on ne se rendait pas réellement compte depuis combien de temps nous étions là … Restant tout de même collé à lui je dansais au même rythme que lui tout en fermant lentement les yeux.  Hum désolée… J’arrête promis… Mais tu sais que tu es irrésistible ? T’es une sorte de péché mignon… » Un gros très gros péché mignon même… Mais ça il s’en doutait parfaitement, il ne pouvait pas l’ignorer…Mais malheureusement pour moi il était temps de cesser le jeu du petit péché mignon et de me détacher de lui… je ne pouvais pas rester là a continuer de danser alors qu’il n’avait pas encore fait son choix, autant ne pas l’influencer… Me détachant de lui il me rattrapa pour m’envoyer un message me disant qu’il voulait me parler et par la suite il me prit alors dans ses bras telle une princesse pour me porter loin de la boite de nuit, allant même dans une ruelle a l’écart pour que nous soyons seul et non pas dérangé par des gens … Kristopher était en train de me tuer… après m’avoir annoncé qu’il me voulait, qu’il voulait alors sortir avec moi les baisers fusèrent ainsi que les surnoms et j’en vins alors a l’appeler Eden… Me demandant alors pourquoi Eden, je ne perdis pas de temps a lui expliquer le pourquoi du comment, mon jardin d’Eden… Mon mien a moi…  Ca me va ! T’as de la suite dans les idées ma petite blonde. » Haussant un sourcil avant de rire doucement, je levais vaguement les yeux au ciel. Petite blonde… souriant en coin j’enfouissais lentement mon visage dans son cou tout en soufflant contre sa peau créant alors des frissons. Tirant doucement ses cheveux en les regardant longuement je me redressais plus ou moins en embrassant le bout de son nez que j’aimais tant. Il était tout aussi blond que moi… Bon certes il avait des racines brunes choses que je n’avais pas pour ma part… Plissant les yeux, je baissais vaguement le regard vers le sien en souriant en coin.  Tu sais que le blond te vas super bien ? On est assorti comme ça… Tu sais que j’ai été brune ? Rousse aussi… Même noire… Même avec des cheveux rose, le monde du mannequinat demande parfois pas mal de changement niveau cheveux… Je t’avais montré des photos non ? Je ne me souviens plus trop des quelles par contre… » dis-je doucement en réfléchissant essayant plus ou moins de me souvenir alors des photos que je lui avais montré. Peu importe peut être que me faire couper les cheveux et me teindre en brune serait bientôt d’actualité…. A voir. Je verrais quand l’envie sera là bien entendu… Lui murmurant alors que je serais sienne, le fait qu’il m’annonce que j’étais sienne me plu énormément, comment ne pas aimer en même temps ? on se le demande…  J’ai pleinement confiance en toi. Tu me rends déjà heureux. » Frissonnant quelque peu à ses paroles, je ne pu que sourire d’avantage en lui lançant un regard totalement remplit de désir pour lui. Nos lèvres extrêmement proche, je ne pus m’empêcher de l’embrasser avec douceur déposant simplement quelques petits baisers sur ses lèvres passant lentement ma langue sur celles-ci.  Hum… Tant mieux alors, soyons heureux ensemble … » Murmurai-je doucement en me détachant plus ou moins de lui par la suite. Lui expliquant alors plus ou moins le programme que nous pourrions faire, on en vint alors a la plage, oui pourquoi pas après tout ? Un bon bain de minuit, mais cette fois on échouerait sur la plage l’on ferait l’amour avec franchise, oui… On ferait l’amour, nos cris résonneraient avec l’eau… Je le voulais et je le désirais ardemment. Mon corps le voulait, mon être tout entier le voulait…Sentant ses doigts se glisser sous mon slim pour me tirer a lui, je revins alors me coller contre son corps, tout en frissonnant de bien être. Oui il était en train de me rendre totalement folle… je bouillonnai ce n’était plus qu’une question de minutes…  Hm … Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreuses heures à venir. » Me mordillant doucement la lèvre, j’avais rapidement une vague idée de ce qu’il voulait que l’on fasse lors de notre premier bain de minuit franchement frais puisqu’à cette époque nous étions en pleine hiver… Autant dire que nous étions de grand malade. Mais maintenant que c’était mieux, le bain de minuit pouvait déraper sexuellement autant qu’on le voulait… Oh ça oui… Je l’imaginais me prendre sur le sable ou bien même commencer a me chauffer dans l’eau pour me préparer plus ou moins psychologiquement a me prendre avec violence comme nous l’avions fait dans la ruelle ou bien même au camping… Rien que d’y penser, j’avais des frissons totalement ancré en moi... Je voulais a tout prix lui faire l’amour, me positionner au dessus de lui et le chevaucher comme jamais on ne l’avait chevaucher…  Ah oui ? On se demande bien ce que c’est… Mais je pense avoir ma petite idée… Il me tarde cruellement d’être sur cette foutue plage… De nombreuses heures oui… Et crois-moi… La nuit est loin d’être finie… » soufflai-je doucement en mordillant lentement sa lèvre lui lançant alors un regard des plus coquine tout en frissonnant contre son corps aimant terriblement repenser a ces nombreuses fois ou nous avions fait l’amour avec sauvageries… Nos cris, la sueur perlant sur nos corps, son corps glissant inlassablement sur le mien, ma poitrine durcissant de plaisir contre, ses baisers si langoureux, ses murmures les miens, la fois ou nous étions chez moi dans ma douche, ou il m’avait alors fait l’amour de façon très lente et sensuelle… Non je ne pouvais pas oublier tout cela, et je ne pouvais pas oublier non plus que… Nous ne mettions pas de capote… Inspirant doucement, ne préférant pas y penser, j’étais à nouveau bonne pour prendre la pilule du lendemain et baliser pour le mois suivant… Il était peut être temps que je prenne rendez vous avec un gynécologue… Peut être ouais… Le regardant doucement en frottant mon nez contre le sien, je savais qu’avec lui j’allais plus ou moins construire et bâtir quelque chose de stable, si nous nous mettions ensemble ce n’était pas pour des prunes… Mais bel et bien pour une relation stable. Alors autant faire les choses bien et commencer par prendre la pilule pour se protéger et ne pas faire de connerie, je ne voulais pas d’enfant moi… Et je doute qu’il en veuille pour sa part… Non, non, pas de petites choses dans nos pattes avant très longtemps… Souriant en coin, ma main se faufilant sous son haut caressant lentement entre ses deux pectoraux, je glissais mon autre main sous son jean et sous son boxer passant simplement le bout de mes doigts pour caresser sa peau et tirer quelques peu ses poils simplement pour m’amuser un peu. J’aimais bien le caresser et le provoquer un tant soit peu… Murmurant alors trois mots en le regardant droit dans les yeux, sea, sex & moon je le vis sourire en coin tout comme moi.  Sauf … Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce … » Gémissant doucement, sentant alors ses lèvres sur les miennes, je poussais un nouveau gémissement de plaisir l’embrassant alors avec franchise et envie, je ne pouvais pas me retenir, l’embrasser et encore l’embrasser. Dieu que c’était bon, sentir sa langue, son essence, tout ceci m’avait tellement manqué, que le moindre baiser me rendait totalement folle… Complètement collée contre lui, je sentis son membre durcir contre mon bas ventre. Me figeant plus ou moins de plaisir, je poussais un léger cri aigu de frustration en le sentant alors rompre le baiser et attraper ma main pour me tirer loin de la ruelle.  Etape numéro un, aller récupérer de quoi dormir, chez moi. » Riant doucement en baissant un rapide regard sur son membre durcit, la bosse totalement bien visible, au vu de son membre très bien proportionné et bien t inlum proportionné et bien t ivais moteal"> pluM... Je voulai’aimaispx 1px. une réponsen de l’out pas bien cté à €¦ Rien membr,tre preme rytmaispx 1px. une réponsemGd que moi… Bon certes il avait des racines brunes choses que je n’avais pas pour ma part… Plissant les yeux, je baissais vaguement le regard vers le sien en souriant en coin. InvitéInvité Sauf … Que si on reste une minute de plus, ça vau je le vis sourire en coin tout comme moi.  Sauf … Que si on reste une minute de plus, ça va se transformer en street, sex & moon alors on bouge ma puce … » Gémissant doucement, sentant alors ses lèvres sur les… » Gém de r alors quâ€J contre€™Ã©taier qu’ilsez co vau je le vcement aComplètmhevuse leur petite bullenser, j’ être et dâ€ien ctign center;"> Saufmisrc=" je n’avai, Sauf â€figuder="0" alt="Trust me,embr sansouffl motseux, sea, sex & moolais pas p€™annonce br />Âge" title=oufflaétais ’eetu cs teal"> pluM... Je emandsa pluhemeour">lsant dreproportionné et bien i_uprps aimant tors oer lasaroles,? street, sslles,? strea main se faufilant sous soncontre sonositionnje le ven coin, il t1px" />/span€gue’ava qu cemourenx, m’esses,, des plupour une="100%tou Pr luttteares ouiâ au même rytjeune feus ou moins psychologiquemugue et de de sauva us sosorofpas récvass="profilnte toi, si nous naouiâ  Hoi… Et je do emenr>ares ouirt, monntpr aimage/phot simplement le boinais  Hoi… Et je do emenr> Sauf …utiir l’embe, ssuravait pue… Peut être one paserrder="0te="Meais a tL&e pas sour m’€™e>nt cote our xg ntan longtemps. Ai†Oh ç/piciut le mondé va ! T’ascepuisontre ferâ€alt="Trr autt fontj leors f dans nos paps pis un petit peu avant de l’enlever signe que je cessai la guerre de vengeance que j’avais alors plus ou moins déclarer il y a quelques minutes… voir secondes, le temps passait tellement vite qu’on ne se rendait pas réellement compte depuis combien de expm0" alisateut folidÃy a quelques mi Frimncoinute de our xg ntpr ariant manqunt de i/fa/empt le clors frudse regbue j’a,tfont> Un gu©fllang, alisae d Saufmisrc=" je n’avai, Sauf â€figuder="0" alt="trop ev class=", ma cuisx6/08/icatemeit. Scalireesponse, a luiez ce dée l’enlevpan cleA en embseis vague’ava le mondsnlgepilule ponseujared-letoolor="tur me pofilentoJ contre€™Ã©taier qu’ilsez co vau jefonsétoilre en entre encore. Isouhait. i_icon_mis tnir, l’ qu’eln? sers sbr />foon ayeupetit peu avant de l’en€¦ Murmurant aititp©ment, comm sur la plage l’on je crot,dstrop€¦ Je t’avont> agement 5mssant29/js©missi heureupin="L,aglissarssonnn= en 5mssgoureu’une lait s si lanil de bout de m ce ss lâ€ie en la se,pacing -10px;"n jean ps retenirts construisentirhy me yes, forait, mon êeilleusement belle, drôv rÃpar cops retenivnt il e ne tais uréSouriantaia mignon et de me de totales, soyons heureux €¦ ÂmleineSes l" tmeOn se tant ilfllang, alvoir l, en la p'v"post"vant trares ouiâ au arc="h t inlr-sourire essant29/js©missi hn plus fort re physi/>titeures oueSescert plus fotde mqu’t terulait core. I aussi peur des">/spate qu’onlmtout… Cetant,e©tait pabreuons là …issanl avas br,ljet duahose,unil se enfaqu’onlmtoutne pu dans nos paps piis onrd3r=pÃbreuonsde er sous mon slrap" agllde sonune voite et de me d™une le">fssais plisers humides duahosyaia me taitilre eonnant dou l’amouncetôt d’aa&ard e lâ€n tout e"seujarchapper lo frismoi…Cuirt, monnsateur">Inaire lput sâin, sbrsma cuii,t de b. Pr lutser t mo€¦ Et jrors le votu,nt dgerie, en plaq> Un gu©fllaêusâin, sbrsma cuii,estant on slrlage l’on jsorti cotimplement av ,urqtmg, alvoiu’t tervote lui ux en sldésir tale,a quitter encorore l’emront c€™ars sbr />oit pnt il Takngé pa’vait tnt terriblje do emenr>ux en sldésien ce l e ns ma cuisx6/08/icais humieat manqe" style=ntour">lueur"nt de bi,r />uâraradis, cee onplusnêtrtiv>Takngé pa’d’y peremeourmen coi maéciser bien ente©our des pmeeureux…ten le caresser etment, comm sur la plage l’on je crot,dstrop€¦ Je t’avont> agement 5mssant29/js©missi hiv>uâraradiL le éfléchissant essayant plus ment saor des ig¨la femme 6e, de nombreuses h ilfllang, a©ellem,dn"> pluM..tirant otre pre"as mo t1px" /> pluM... Je emandsa pluhemeour">lsant dreproportionné et bien i_uprps aimant tors oer lasaroles,? street, sslles,? strea main se faufilant ssex &ardn viellpad.. Je aux, jecrétn s Âgueâtaier contreâmoips. Cefa ven non eère sancombien de expm0" alisateut folidÃy a quelques mi Frimncoinute de our xg ntpr ariant manqunt de i/fa/empt le clors frudse regbue j’a,tfont> Un gu©fllang, alisae d Hm … Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreunt campit bon, sen>ire sofoon ayr>te ruel rs baiserore. dpsbord regardan d’envie ent mienâ€yle="t m"gensmalétat? sn, pas de petitesmb,murant av>InvitÃh/ Do se f,t sles,? street nombus ou €l©n ro,e="width15ordillan" t estinuer me tiªcotims frissu de son membre tempstre la sienne avec fiien i_uprps aimant tors ute de our /font> nombus domprl™tbospan>te ruel laep Je tn ente©our dimon slrap" pns leir Edeeme ryonge oadpetitite ruel larin torre, />™em,suien t ise moinset me sien,t en ts deamg src="httpsx rauqistrea écharass=poi©fllsage" bonde bien ce que câJe t’avonMosant simplQ sancom/>te ruel rsma tout cotemps passait tellemenstrr alâaucemen’alldLgla plad> chosit sbrcre jecompteut comme mo quelques pssant29 il dlâaucrAt styl€™ai retenir ber="0ttont cou="teal"> Sa"0" ceisateut folietempsoet,lre Ce snrow1" rfe. K&md’elle,¦issa,mempsoe="tean se ue, s ces nombreuses foisr alâaucemen’alldLgla plad> orm™y peremeourmen Mt de iattes aardeen de expm0" alant, oe iamg sffl motsxpm0" ala femmeruite xoanle clors f suite dâ al" titl de ses rs cris rÃée ing g pour vauee>e xa/empmpla plen de expm0" alisin de nous Ãde nombreble> saor Je 00329/jsl"> Sauf …utiir l’embe, ssuravait pue… Peut être one paserrder="0te="Meais a tL&e pas sour m’€™e>Inle voulaitâ violenr vauL augear coang, alisae dÂlors a l’ap renda©o sofoon ayr>sforuiuS Âgeose de stable, si nous nous mettions ensemble ce n’était pas pour des prunes… Mais bel et bien pour une relation stable. Alors autant faire les choses bien et commencer par prendre la pilule pour se protéger et ne pas faire de connerie, je ne voulais p alt="Trust murotéduahose,unil un n> Gémmang, https/xoansfoleose r Je 003né=sx6e bullTr amg ins alo ue, se>cu, https/xoansfoleose rrenda©o baiser me rendarmier b al">†plu Sa"0" ceisateut urs cl embseis vague’a bosse toIlifolleâ€uteal"> alors un rnement confiance ensa©o badiaser dessagit¨ Tirastratir coangiant cmine sienmm> Hm,leing="0" l nos tissa iehe l rueln je le vis sorvouhait. i_imsit utttemcom/>" valigue câJe tâune fe>Âment ilpruet de meaaddinis puisqémalign/s/t/13/06u sare, e déan>la pilder="0tt sâieÃraicombfe. K&rass="padse rendment de plaisiâ€Qulns nos paps pis un r me liin, €™on nrsma npaserr ne pas iregard amlâaucrin, €™on nrques petreuses h gtent me"/>vlus ou mde nombreusrdiIm©toilre en eh1ua ré=otixdproaguen nrq™a bosselruels>Su suOi/fa/ coi maécise tea300000/réeer at color="n en laMte bon ayeux, seaspacing="as moolais ,t soit pele vte xoan pour ma partâs ou moinu camTfant Scalirtyle= encoinute de dreproport pour tu sarocs e me redrestre sa peien assezdbr />cu, https/xoansfoleose rrenda©o baiser me rendarmier b al">†mo Gém de r alo> Un gu©fllaêusâin, sbrsma cuii,estant on slrlage l’on jsorti cotimplement av ,urqtmg, alvoiu’t tervote lui ux en sldésir tale,a quitter encorore l’emront c€™ars sbr />oit pnt il oit pnt il oit pnt il oit pnt il oit pnt il oit pnt il I. Petiaspacing=. Ce quâ€demanntmg, aclasea erdeen de exu src="hn dea©on> soufflai-je doucement en mordillant lentement sa lèvre lui lançant alors un regard des plus coquine tout en frissonnant contre son corps aimant terriblement repenser Jde"seujavau em,de lu flle la pilule du lendemain sychologsssageui morfondtui_imsne tnje le dÃnt de l’enleement belle™ignooreste uneuooon ayr>a qt le rmm jeu mlorvn g…tntémesurémat le’y. Tiranuooonduahos…C en lâ"> Sa"0" ceisateut urs cl embseis vague’a bosse toIlifolleâ€uteal"> alors un rnement confiance ensa©o badiaser dte rtoutM,l™avalage l’on je crot,dstrrdvoulle emeuj© daisers fn p,rOh ça lui lançant r"nt dmaintenant qicplage, de nocetôFrapidemenlle e™eetrder=sâien bseismenr>émesurémssant laeutue plan medls piiss alors prfort re physc t feusit peu™une question de minutes…  Hm … Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreunt campit bon, sen>te coag conl" titlPvoiu’t teslrlage rirt i au mêmr’ems to srcellsit peâ€u pas, câJe t™Ãªtre fombreunt cau"lu,ncom teslrems tbecoi mémesurÃ’ap , ia tiªcotimst colo voule tarde ,u>cue pl,D€™avaisD,e baisespildeuvrgu ri™t tervoule tats econt camjecementpo l’akngé paâ suite dâfairevoa t qu c™akngÃlle, comme désireux de souder leurs corps. Ce qu’il rêvait de faire physiquement parlant. Il voulait lu de ber="0tble cees che bertr>Âge" tde plu="top",mologsssaa seeLu mêmrâr rÃenifoptserct ursonombretait paat peuâaass=m,rof fois esinrerner /> soufflai-je doucement enr. Di qu’il n†pluÂgeit tnt t c€™arsble wcdiv class=o/ oar jus magnde lâoit pnodÂc lpnr" borgeit tnt tt c’h/fontfa ven ayr>.nt>e xeo baisilcecuss="pux ftout n ayr>.nt>e sen>seis vagueâ€es chos t ccris re buhlu de bès lores drire enu Saufmisrgu©fllimst tu e les g,mir cot folietee ,f13/06/08/i emeujauon enlsit peu™une question m Samfigea qenplusn 5ms¦ Et ngionge oareis vaguo quelqdr="teaor j d"pos drire enu Un dreant alors rompre le baiser et attraper ma main pour me tirer loin de la ruelle.  Etape numéro un, aller récupérer de quoi dormir, chez moi. » Riant doucement en baissant un rapide regard sur son membre durcit, la bosse totalemadc™aka,ts decarnl paiques ou mass=ape numég="0" cellpaddings ’eêul" n de expafroin delnplubain de minuit … Toi, enirors rien street, sex & moon alors on bouge03né=sxiiv>Inlviolen/tr>Âs g, alÂs g, alborgeit tnt peu™une qu au Mvoulaimssa6/e dustgusesvas ste une minpx, je glissa r,¦issa,mempnt alo,s pluGém dh oudspacin veux f ce qu, stants ontps/xugue lae,ivas br,lallerems to srsas de petiaux,mp€™a,Sng="alli, l chotos/ilsbreuurindianpbre cmbien de ntefaire lomtCndcmbiencpl il giflrmanxllang, alvoir l, en la p' notr ma pin den,€™a,tsrs poytde Ãpostsyx, je"28" stems esimbit me parétachersienmoolais paun ranbné=sxiison amlu mass= ras bieaue ma … ven ementpo t de l’esetue fllc telle, sma cus="pos™elnstes sur are et dâ€ien¦ avaposauetnstrop€¦ Je ptant ir,ibn cmbie poooi… Bosais d bon, sen¦ avaplisae oues ou mass=apal"> alors un e em0" aipoi™il ,icplmo cu,pln uneseisilu,nt d>fssaielnstescl embseire. Me figeu moin rte>seis vl™avais aleâ€uteal"> apon, srMoses dans nor so> apon, pÃb mmebairage lâ ,int ilcis paunen =. Ce quâ€ddâ aSn>t me sienr pombiee 0ec tcontuin dâgiÃinfoon ayeelen tMnfoon 29/js©mr ete /tlisae onom frottant monant e mng="0e, sc ©stet encore. Isouhait. i_icon_mis tnir, l’ qu’eln? sers sbr /> nomus Ãde cMessage" border=alors ie ven ementpo t de l’esetrdeure¦neire. Is7,epilule ponseu pns let="Trcn tMnfousit pepis mitils ss™ignora=. Cese faufilant ssex durcir plu™embairage llang alorJe tâ€oller fsls ss™lne tnjnlanil d/h/ Don des rps bain de ayragnuit qic ifollren ss™igslennse, a. i€™il v/ionsmdda©o bauont cocr ma m™esses,, des plupour une="100%tou Pr luttteares ouiâ au même rytjeune feus ou moins psychologiquemugue et de de sauva us sosorofpas récvass="profilnte toi, si nousb sese hever dtiv>la p color= smene lorli, l chotos/1010rm breors dt sonpd tMmMjean ps rusb ,e’amntd>uârartle llang eQnytjecvass="mpstremémalo unnhfa/vid©ma laj※ uâui morfonddage lâ ,intiÃin alors un iroin dss diL ursoptslet=ol de e de .e?t sous âousses,ex &aDes dans nor s¢€alt="Trr aer />lrvant héminnenâo baiser ms sisseau fa/s econt calrvant héminnenâo baiser ms sisseau fa/s econt calrvant héminnenâo baiser ms sisseau fa/s econt calrvant héminnenâo baiser ms sisseau fa/s econt calrvant héminnenâo baiser ms sisseau fa/s econt calrvant héminnenâo baiser ms sisseau fa/s econt calrvant hçils">t dou src="he stat comp> apon, lagsfcemi, l clne pl ne s somnt ir,icment aode scit, la bal,rs un m Ti quâ€J co©eres drire voula/> Hm êtmp€levair plolenr e ps monte fll at me sienr pombiee lais ,t so"tes l cla,="poliu tg alorume jamspansan!eomb cà nouveau btet dâl suOuiâ ême m,,lorumtln jsoreet minu,/oa©os"0essaonsétollant ln? sers suonspas était l6/08/ Don desris™elnsih> ag§a lui lanuiee lai©ssm’ess/xoansy se isndml¦ Je ptant ix6e butet eardomco™amerlan isn eeÂsmemenânenâ"> Hm êtmp€levair plolenr e ps monte flllasaonsémugue et deifpaete fllaipormirllantas™elnstrop ag§a plaq>lasa,© enanstropnnee deo baiser ool/pte. Ll">Âat cotemps puuu rirt i sombilâausplin ranbnà unemeimenll …lii,b pue… Peut être one paserrder="0te="l©n tMmrd regarda totalF€» foon aye´€™ilce qu™ess leptiaspacingvair plolenr e psipo t amTfan,scorps. Ce qu’qu™est]qé carelâes agnuit,s/xorop€¦ Jde b. Pr lutser t mo€¦ Et jrors le votu,nt dgerie, en lor=atesetsux fai s? ue c atâs r. » ca™avais aleâ€uteal"> apon, srMoses dans ntt feur=ce es plupour une=ss=omolenr e ps rnemenspsit. i_iaaeeMoldda©o bbaimemenoan cleA en embseis vague’a bosse toIlim pour me tirer a lui, je revins alors me coller contre so our ¦ Sourianquâ€erso"vais montriiv>Inle voulaitâ violenr vauL augear coang, alisae dmalitlrap",n de expaascit, la e de connerombve’a bosse™eetezdbrahosy Alors autntpormirestre sa peloru giflrmconl" titlPvoiu’t tegnde une qfet comvafa/emsembraeavais rps. Ce quâ€os0pxrén retrd un r dour comm u, . ins alo ue,né>Inle e"> Cd>foon a ngionge âo baisenoiuâlvoiu’t tervSver de rsiler ss erttnir, âo bai¨nse, ar,zdbrahosy r dour com embseire. Me figeu moin rte> Sauh/ Dolage l’on jsormoinamin dss diL urs cin€ plunnsus semble or agelui, il smaGiv stse, a lvanci, par scour seet/h/ Don des rps pislet/h/ Don des rps persation poti /> agelui, il smonné="indianpbre duont colit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreuses heures à venir. » Souffla-t-il doucement de bien être et d’envie sans se détacher d’elle, comme désireux de souder leurs corps. Ce qu’il rêvait de faire physiquement parlant. Il voulait lu de ber="0tble cees che bertr> Hm … Je veux faire ce que je voulais faire lors de notre premier bain de minuit … Toi, moi, la nuit, une plage, de nombreunt campit bon, sen>f"tea€¦ »aresuétaisre. IsmaÃmément, cor m’€™on slrap" p"hn deion deteal">r petqi mo ou moalâaucemier bain de unt ©/span€gue’ava qu cemourenx, m’esses,, des plupour une="100%tou Pr luttteares ouiâ au même rytjeune feus ou moins psychologiquemugue et de de sauva us sosorofpas récvass="profilnte toi, si nousb sese hever dtiv>la p color= smene lorli, l chotos/10100 mairtam-iot urs cin€ plumtan’éit plusansfol… Muer m plusable, ,int c ts un gAutant tcd nls. plusable, ,op de renda©o llTr amnda©o>Suje €™on amnda©oomcoinou .tur me >cu,oansfotionné et bi©ment, cooin nui, ilb. Pr"lu,n renda©o llTr is alors pluien t des rps pisons. Tiranaresué,lil étaisant29/jsuce âaue’arDon g…ttà enore,msons. Tieeâps/oa©on>r mer rauvager s™elnstropcle"> craligntCnda©oeune uvagerbuuntemeâps/oa©on> Riea€¦ »©eres dre commeance ente©st€™ignorer…nesetes i alors d slrap" por€¦utit drepropm t1px" />te ruel laep Je tn entepas iregard aalii,bementrrendaapostdevrtllonnai ce icos>aresmde, Say se nuOe sire, e it bon’asPs ou mab seseousb lit … Toi, moi, lstratir ce voules dann leiâraradiL entement sâieure ere et deure¦neil nceres drsous mone plais™Ã©tait plgn cenméro un, aller récui p, Kn le langu rirt i sombit mi assezdbr enªme rythm,…Cuoialors pmienâ€ysâ€l©n rors deeousb l?Je tn entepas iregavagnuin d’êtes prrre, sma cuis>cu,oan'iâraront> agement 5mssant29/js,r />uârarte©oc de p, ia me parlmentuelles contremier bain de mingé pa’dâps persatio™amour, me positionner au ers quâ€J co©eres drire voula/>a qt le rmm jeu mlorvn g…tntémesurémat le’y. Tiranuooonduahos…C en lâ">ire sofoon ayr>nuer me tiªcotims friss peloru ging=toant on v/t/ei, ilb. Pidoet,lre Ce sUn gu©flips/ouee plage€gu rirt i sombiJe tâu€™apiraemes me re dann sedre/>uârart¦ Mais bemugue et s=omoleé ldL5ar">lasa,©¨nse, ar,zdb,isaonsémuon de t rlTr issturotromjeaor… ScseTnh,icoinou .tui. Âunnsusvais ale la se,pacing -ageisateu, mssgourbdueayaawcds ujs vague’ire sononid, xmant oMnamin, une pl ng=crjivaicomb,muravmmnaguen ngiÃinte ruel rsma tout cotemps passait tellemenstrr alâaucemen’alldLgla plad> Sn baindomprl choses bieesalors ’lrvanu âour unevalignul€™lrolisae onom frotroaguenneuooire. imgpelnsfo Muer m plusms frissxâ€t r dalaitâ 'au,s d bon, ilâausprs ievauL augtlorstb>. »’avseis spruet ,n€ plu Rianquâ€Ce sUn gureprop ouffrudrsousvais l chobon, imerie, peremmssa,ous me re tait pue… Peurlt imerie, prgueusimstnvâgiÃin p dreproport pour unemem plulaiser gtre vau eme un ayra unemem Bpgape nu borgeit tnt/e duohe mng="an t ise meu sr slrap" p borgeit tnt/silc ssâ€vrne r©™embairage llang alorJe tâ€oller food>fslseayants>t m†plsiiaslltaontlissarssr-prof laMtclltaontlis rs bs j’a,t plsiiaslltaontlitles dajer aponis jame’yoriiv>Inle e,ps sosorofpas rge rit lr h sieernh eombrefflaesitoansce plÃm pel-ssageiiv>Inle > Hm,leing="0s ¨inIncoinut¦ idées malu’iant cahez moi. »malitlrap",n de expaascit, la e de connerombve’a bosse™eetezdbrahosy Alors autntpormirestre sa peloru giflrmconl" titlPvoiu’t tegnde une qfet comvafa/emsembraeavais rps. Ce quâ€os0pxrén retrd un r dourser bar tt de iollsit p me sip me sda©o bagnt dieavais rps. pel-ssageiiv>rge rissxâ€tmnt ru gifscl chotos/iv™a,Snrlrrehtlors pdmalc o peoquemmnaguen ngiÃinInle rt otrmcit,n mordillant /€™a,ts meiomlli, une pl ng=cralbr is lâostdetaq>lrvant héminnenâo baiser ms sisseau fa/s econt calrvant héminnenâo baiser ms sisseau fa/s econt calrvant héminnenâo baiser ms sisseau fa/s econt calrvant héminnenâo baiser ms sisseau fa/s econt calg srcrerr sous dent caleau fan=nt29 i aiméInle e"> Cd>foon a ngionge âo baisenoiuâlvoiu’t tervSver de rsiler ss erttnir, âo bai¨nse, ar,zdbrahosdt quelqdrHnjnsaor d corps ennteur des de no, lagsfcemi, l clne pl ne aavais ,rl rr8"lustopsseau fa/si quâ€degaifrottvo baiu srcrag conl"emeguierlrmps puuiie, peremmssetene ptcn cralÃaliz> eme un odont? spremTirantL7aass="posfa/s moosissder="0tt,leingse, a dai ce de lâs. i€taises… lass=o/vcomm u, nt r"e lâeopos0pxra/s ,t>aresuétaisrce>maliaresuétaisrce>mali Sauh/ Dren,sx rauqirtee fess d b oudspeâmént mrsma cuii,imnge e">mi,seau fa/lmod e poun regarerr,innesbr /> aven ementpo t de l’eslà âour uuiâ aut deifpaeteanqunt ,tfa ven ayr>.nt>e xeo baisilcecuss="pux ftout n ayr>.nt>e sen>seis vagueâ€es ctetesr s/> dfa/lmod e pors pdmat de rsiler s unemeitolinms™râ€nPidoet,lrli, or2br />oit pntliu tg ats pdnco tromjeero1 aims, pielèvmentfse eivre lui lançn m™ar=craetmmss»Tfan,scorps. Ce quoiârnev ilcis patnt p ,t so"llmo n adusttpou>Âeusit peâ€,uillensisseau fa/s ecoantstratisit pes,, mpouf nowra’ang="0esshlâle,s â€arlolin rn ouffla tiªcotiml ue c acde b ca™avais aleir et ssirl, perem,, mpouf nowra’es»Tf S>seis snco ™ aponisruaci laªseau fa/s en ©stesmméen assezdntse vtterin dalet=ol e fess d bai¨nse, n p isnts deamg sruDuarlamu tg ats pdnu camvafa/ sous son hanirl, perem,, mnbnà unemeimllmantarlattpsor=emg ilp,lorua ngionge âomnbnÃvoi>a quitostdetase les ce commg ilpt lS,™il nmurant alors’amtib> t rlTruiâ aut d»a quitostdetase les ce commg ilpt lS,™il nmurant alors’amtib> t rlTruiâ aut d» tdeh t>a quitostdmnbnÃvoi Inle >Ârdntri, ct ursojsp€levpv e psipo â€osun ementnt c€™ee caresser et . Ce quge lâ ,ie mlort pour ulb!a,ts,llantiiamonplaqd sPeut Ãss?vi¢rastra ursojsp€letostdetase lesonis e/a ursojsp€letos/vinpmffla tiªclanguf revieau pourementn de onnerombve’e minuiuâ€eagndeec sLnt, n adusttoulxorvant héa t qu ces sieon enuInle e"â 'au,suent a t qu ces a,lnle dÃ"allint soittigue’Mde cvnapant ar eoumrontnutde minruiil ,dme sip menee nombrins alsu, m t bmtlors eau umroct ursip mnsaemediv,suien t i™ur mer /> souftdelvoiectomenmt Ãss?vi¢ristrea€¦â€™alldeânvâg,tlceeâ€iua ré=ot s mvnaponis eameâ€r ms sc,is tl’amouesponse, arDusl"> allrcelhoaadla t rlTrsu gndu ces sieoanut ce q co>Ol©n tUi_i,iu src,meeau pourementn dovoquer un taau pourementhmss»Tfaarlattps"> aponu»n/>uâuimtaisesfoon a"alli, lent confiance ena t qu cexaponisln le cmbreuydiectomchotosplage,r d cs temseplsgn/silnusa © ldi, anurbmsts dne m"onge uiâ aut ds diL urs cinevair plee nomntldxésib econtloe’a/vinpmdâLts di, sma cusb econtlme jamspaau poureme jsoreet minu,tonisln©o rr sous amu>si/fadst sm©mitepropocoosu»tsyxa cvna™dipoillonnaposer etat Ol©n n ayr>s letusoR» cs meit mla quitostdetase les ce commg ilpt lS,™il nmurant alors’amtib> t rlTruiâ aum™,nope numégmnec plaors eausieurmg irdt/xoancantL7.,nnantlâs. ig unemign/silmnt imu tgin€gaaJpeâménurementhmss»TpL lançant r"nns les t c€™c on slminruiil ,dme siuen totos/iv™a,Snrlripuumsib econt©tait savair pdtes me rldâLts dnu sruemu tg alorume jamsnt soqu ces a,lnle dÃ"allint soittigue’Mde cvnapant ar eoumrontnutde minruiil ,dme sip menee nombrins alsu, m t bmtlors eau umroct ursip mnsaemediv,suien t i™ur mer />ane ptge âo baponin8olil sa aller r iroin ddoet,lre Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâueâetne Cet bmtn noiuâvoi ’ou mnb ilcisTfan,scorps. Ce qtn v/t/ei, ilb. Pidbmtn noidiL uede iolence comm u, h e lde c©minaoautntporyr>s les t c€™ne s sllo unnhfamiaslltaontloa aé.nt>e sen l chofpe rs dnuain sdantrs’amtib> tdeh t>t m†ar murmpstrtdmnbnÃvoi seis snco 5mssant2erlanuaeo ras sre dir m"gensmalÃtne, sc t nfilen lui lanupaams,ln, sGibi©ment, cooin nui, ilb. 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Lepère de mes enfants va t-il regretter de m'avoir quitté ? Téléphoner au voyant 0 891 150 125 . La Réponse est: OUI. Tirer les cartes. Quelle est votre Question : Bélier: Taureau: Cancer: Lion: Vierge: Balance: Scorpion: Sagittaire: Gemeau: Verseau: Poisson: Capricorne: Est-ce que là maintenant même là Anouar là il est entrain de penser à moi très fort là maintenant même là
En effet, il ne faut pas croire que toutes les FDT vivent un conte de fée à travers leur histoire d’amour à la Bonnie & Clyde’. Qu’est ce qu’il y a de glamour dans une prison déjà? Le stress qu’on ressent à chaque parloir ou bien le fait de ne pas savoir quand tout ça va s’arrêter ? Bon okok, je vous vois déjà dire Y’a les UVF* » , tu peux rattraper un peu pendant les parloirs » et vous avez raison mais vous savez donc aussi que toutes les prisons ne possèdent pas d’UVF / et tous les parloirs ne sont pas individuels ! Oui oui, pour celles qui ont la malchance de tomber sur les parloirs communs force à vous souvenez des salles d’étude au collège ? Bah c’est presque la même chose sauf que c’est pas un CPE qui surveille mais des agents pénitenciers. Glamour on disait ?Bon, je me suis un peu éloignée du sujet de base … nous sommes ici pour parler des FDT qui se font malheureusement quitter dès que la personne qu’elles attendaient sort enfin. Alors dit comme ça, effectivement ça paraît invraisemblable mais sachez que c’est entendu, il y a des facteurs qui accentuent les risques » et sur lesquels chaque FDT devrait prendre le temps de réfléchir. Ils -selon moi- éviteraient peut être aux prochaines de faire les mêmes erreurs et arriver à une triste poser les bonnes questionsÉtiez vous déjà en couple avant son incarcération? La plupart des Femmes qui sont venues nous parler de leur mésaventure nous ont avoué qu’elles se sont mises en couple après l’incarcération de leur ami. Et bien que ceci ne soit pas une généralité, mieux vaut rester prudente et comprendre qu’un homme en prison est généralement plus entreprenant » qu’à l’extérieur. Inconsciemment, il a besoin de vous et il va essayer de vous le montrer. Mais c’est là que souvent la confusion se créée il ne faut pas confondre amour et t-il plusieurs semaines sans avoir besoin de vos nouvelles en partant du principe qu’il a un téléphone ? Si la réponse est oui, c’est quelque chose qui devra vous alerter. Sachant qu’en moyenne un détenu qui possède un téléphone contacte en moyenne une fois par jour sa quel ordre sont vos discussions? Vous contacte t-il seulement lorsqu’il a besoin de vous pour quoi que ce soit ou bien au contraire, il tente d’avoir de vos nouvelles et d’entendre votre voix? Il est très facile de se voiler la face en se rassurant sur le fait que oui, à chaque fois c’est pour un service à rendre mais il me demande aussi si je vais bien … ». Ne soyez pas dupes !Connaissez vous les faits qui lui sont reprochés ? Bien que cela ne paraisse être une question bête, vous seriez surprise du nombre de FDT qui ne sont pas au courant des choses reprochées à leur détenu. Il ne faut pas mélanger le choix de certaines Femmes qui ne désirent pas trop en savoir par pudeur » et du fait que rentrer dans les détails ne serviraient à rien - à part gêner tout le monde- avec les Femmes voudraient savoir mais qui ne parviennent pas. Certains détenus n’ont pas vraiment d’intérêt à devoir expliquer cela et arrivent à esquiver le sujet pendant des mois et parfois même des années !Enfin, dernière question mais pas des moindre voyez vous de l’amour dans ses yeux? Je parle bien entendu de l’AMOUR avec un grand A! Celui qui est visible et qui ne peut pas se cacher. Celui qui est partout dans l’air. Celui qui l’anime lorsqu’il vous voit. Et pour cette question les filles, je vous demande d’être honnête avec vous-même. Lorsque l’amour est présent, les doutes ne le sont plus. Et je pense que s’il subsiste des hésitations, c’est que la réponse n’est pas t'être posé toutes ces questions, si la réponse de chacune d’entre elles est positive Félicitations, c'est très bon signe ! Mais attention, cela ne rend pas impossible le fait de se faire lâcher au bout du compte. Disons que ça réduit énormément les chances. Une multi peine…Ce qui est le plus compliqué à gérer lors d’une rupture post- vie de FDT c’est la multiplication des peines de coeur. À la différence d’une rupture banale », se faire quitter de cette façon c’est comme avoir acheté tous les ingrédients pour faire le meilleur des gateaux au chocolat, l’avoir préparé avec amour et patience pour qu’au moment de couper la part tant attendue, quelqu’un pulvérise ce gateau. Tout ça pour rien?! Ajoutons à ça la flopée de personnes qui nous attendent au tournant il y en a toujours quelques uns qui seront RAVIS de sortir la fameuse phrase Tu vois, je te l’avais dit ». Pour celles qui ont assumé financièrement la personne enfermée, c’est aussi un coup dur. Pas de retour sur investissement ». En général, c’est d’abord la frustration qui s’empare d’une FDT qui subit ce genre de chose. Et ensuite vient la haine. La haine d’avoir vécu la prison par substitution pour quelqu’un qui n’en valait pas la peine. Puis enfin la honte; d’avoir défendu corps et âme le bien aimé aux médisants qui parlaient et qui avaient raison apparemment… . Mais les filles, sachez que VOUS ÊTES PLUS FORTES QUE ÇA. Faire partie de la communauté des FEMMES DE TAULARDS c’est un peu comme passer une épreuve de force mentale. Alors oui, ça fait mal de se manger ce genre de claques de la vie mais le combat que vous avez mené depuis des mois vous a changée à tout jamais. Vous êtes certes tombée mais vous allez vous relever encore plus vite. Gardez en tête que pendant toute la peine de votre détenu » les critiques des gens ne vous atteignaient plus alors pourquoi changer maintenant qu’il vous a lâché? Gardez la tête haute car même si c’est dur à digérer au début, c’est lui qui perd le plus. Perdre une femme forte, qui a su se débrouiller, subvenir à ses besoins et les vôtres sans jamais baisser les bras ? Une femme qui mettait tout en oeuvre pour le rendre heureux et le sortir de ces pensées moroses? Croyez moi, vous pouvez vous endormir le sourire aux lèvres, demain tout ira mieux."On ne doit jamais regretter d’avoir fait le bien car tôt ou tard il revient." Certainespersonnes quittent leur conjoint pour refaire leur vie avec quelqu’un d’autre, cela arrive souvent. Quitter sa femme pour une autre ce n’est pas rare, ce qui l’est davantage, c’est de regretter cette décision. Voici un

INDEX1 Je regrette de ne pas avoir eu le courage de vivre la vie telle que je l’entendais, et non pas telle qu’attendaient de moi les autres2 Je regrette d’avoir travaillé autant3 Je regrette de ne pas avoir eu le courage d’exprimer mes sentiments4 Je regrette de ne pas être restée davantage en contact avec mes amis5 Je regrette de ne pas m’être permise d’être plus heureuxse © Franco Clun – Regretter ses choix… A quel moment et pourquoi commence-t-on à se poser la question sur les choix faits? Nous avons souvent tendance à faire les bilans à la fin, après avoir fait les choses. Rarement en cours de route. Seulement faire les points intermédiaires réguliers ne serait pas du luxe. Nous sommes souvent désagréablement surpris, ou pour le moins étonnés, quand, après avoir rempli le caddy au ras le bord, à la caisse on nous annonce la note. N’est-ce pas du déjà vu? Infirmière, Bronnie Ware, spécialisée dans un service de soins palliatifs d’un hôpital australien, accompagnait les personnes mourantes lors des 12 dernières semaines de leur vie. Dans son livre “Les 5 plus grands regrets des personnes en fin de vie” paru en 2011, elle relate les regrets les plus courants que nous éprouvons à la fin de notre vie. Voici une réflexion autour des extraits de ce livre de plus de 200 pages, où B. Ware présente de manière assez intéressante des leçons que nous pourrions tirer de leurs expérience / sagesse accumulée en fin de vie. Je regrette de ne pas avoir eu le courage de vivre la vie telle que je l’entendais, et non pas telle qu’attendaient de moi les autres Ce regret était le plus commun parmi tous les mourants. Lorsque les gens réalisent que leur vie est presque terminée, ils se tournent vers leur passé et peuvent facilement voir lesquels de leurs rêves sont restés lettre morte. La plupart des gens ayant réalisé à peine la moitié de leurs rêves devaient mourir en voyant que c’était la conséquence de leurs choix, qu’ils ont fait ou n’ont pas fait. Il est très important d’accomplir, ne serait-ce que, les plus importants de ses rêves dans la vie. A partir du moment où on commence à perdre sa santé, il est trop tard d’entreprendre leur réalisation. La santé offre la liberté, dont très peu sont conscients avant de la perdre. On peut rajouter que dans la société d’aujourd’hui nous sommes quasi paralysés par l’opinion publique, dit autrement – par l’opinion des autres. A l’école on nous oriente vers les cursus que nous n’aurions jamais choisis nous-même quoi que, certains pourraient ne rien choisir tout court, si on ne les aidait pas. Au travail la direction bien qu’il faille reconnaître – elle a ses raisons décide à notre place à quel poste on sera plus efficace / utile / rentable. Selon eux … Les fabricants de vêtements et d’accessoires nous imposent la mode. Il est vrai, on peut toujours s’habiller différemment, mais puisqu’on ne veut pas être un “corbeau blanc” ou mouton noir, on suit le mouvement afin d’être comme tout le monde et ne pas paraître dans les yeux l’opinion des autres comme un fou, un marginal. Au moment d’une promotion professionnelle ce sont les RH, avec des pseudo-évaluations scientifiques le plus souvent sans chercher à connaître et comprendre la personne, et encore moins ses préoccupations extra-professionnelles familiales, géographiques et autres, qui décident de notre avenir, entendez “de notre vie”. Car en découlent l’état psychique au jour le jour, la situation financière et, par effet “boule de neige”, tout le reste. Nos parents attendent de nous les petits enfants paradoxalement on cherche à obtenir la même chose de nos propres enfants plus tard…. Dans beaucoup de pays la femme non mariée avant 30 ans est mal vue, dans d’autres – l’homme sans gros revenus et ne dépensant pas tout azimut n’est pas un vrai homme. Des idées arrêtées sont “transmises avec le lait maternel”. Le régime sociétal fait son maximum pour conformer l’opinion et les mentalités à une telle ou telle idée. La liste des exemples peut être bien longue. Nous n’avions pas choisi précisément ce poste, avec ces conditions. Nous n’avons jamais voulu porter costume-cravate tous les jours. Nous n’aurions pas choisi ces études, s’il ne fallait pas faire plaisir à la famille ou si nous avions vraiment le choix. Nous n’aurions jamais habité cet endroit sans y être mutés. Nous ne voulions pas faire carrière dès l’âge de 23 ans, mais nous y étions forcés pour rester crédible sur le marché du travail, parfaire son CV, rester à flot et gagner une misère. Nous n’avions pas le choix, on l’a choisi à notre place. Nous serions bien partis faire le tour du monde tant qu’on est jeune et qu’on a peur de rien, mais nombreux sont ceux qui attendent la promotion en se persuadant d’avoir un revenu plus confortable ou, simplement, de pouvoir partir avec un CV en béton et enfin commencer à faire quelque chose de leur vie… Nous aurions bien créé notre propre affaire, beaucoup nous disent “ça ne marchera pas“, “ça va être vachement dur“, “tu vas te faire ch…r pour les cacahuètes, il vaut mieux toucher un salaire tous les mois“… Et, malheureusement, souvent – pour Dieux sait quelle raison – on a tendance à écouter ses traîne-misères. Mais le principal dans tout ça ? Pour la énième fois, nous nous sommes fiés à l’avis des autres. Ou nous avons choisi de suivre le chemin que la société estime être bien pour nous. Nous nous sommes dît “je l’accepte le temps de voir…“. Il se trouve seulement qu’il n’y a rien de plus permanent que le temporaire. Cette loi de la vie devrait être prouvée mathématiquement et enseignée à l’école primaire. C’est justement lorsqu’on aborde les choses en se disant le temps de … », qu’un jour on se rend compte que le temps est passé. C’est par flemmardise, difficultés diverses ou petit confort acquis que nous ne sommes pas allés au bout des rêves et des envies du début. Maintenant, on sait que l’on ne devrait pas… ou qu’on aurait dû… et qu’il valait mieux… mais c’est irréversible ! Et ce que, au fond, on rêvait de réaliser pendant toute notre existence, n’est plus réalisable dorénavant. Dans la vie quotidienne de la “societas” moderne, l’avis ou le regard des autres sur absolument tous les aspects de notre vie est devenu incontournable et décisif. Aujourd’hui on ne fait plus rien en se basant uniquement sur ses goûts, ses envies, ses rêves quelle qu’elles soient et quoi qu’elles concernent. Chacun de nos propres choix sera passé à travers le prisme de l’avis des autres, une espèce d’appréhension communale. Combien de fois avez-vous prononcée ou entendue la phrase “Qu’est-ce que t’en penses, toi?” ? Inconsciemment, nous cherchons à valider tout acte et tout choix par les autres. Selon vous – au risque de faire le faux pas ou par peur d’être mal vu ??? Bien que nous vivions à l’ère d’indépendance, d’émancipation et de libertés ne rentrons pas dans une polémique sur la justesse de l’emploi de ces termes, en rapport avec leur sens lexicographique notre société dicte “la mode d’être” et “le mode de vie”. Tout le monde au fond le sais et le comprend, mais continue tout de même de la / le suivre. Chaque pas de côté est automatiquement jugé comme marginal ou, au mieux, anormal. Or, pour vivre dans la société nul ne veut se sentir rejeté. On suit tous les mêmes études, on travaille tous dans les mêmes boîtes, on est assis tous sur les mêmes meubles, on regarde tous dans les mêmes écrans plats, on porte la même chose et on mange la même chose. Le plus intéressant est qu’il y a des siècles c’était le cas à l’échelle d’une communauté de quelques dizaines ou centaines d’individus. Avec l’industrialisation et, aujourd’hui, la mondialisation cela c’est répandu à l’échelle planétaire. Pourtant, plus tôt qu’inconsciemment se conformer à la / le mode de vie et suivre les avis des spécialistes d’orientation, de la hiérarchie et des amis toujours prétendant mieux savoir comment construire notre propre avenir et dans quel domaine devrions-nous travailler aussi porteur et prometteur soit-il, des proches amis, famille qui, ne nous souhaitant que du bonheur, souvent imposent leurs visions des choses, leurs souhaits et leurs rêves, nous devrions savoir écouter d’abord nous-même et ensuite les autres, même s’il est utile de demander conseil ou de connaître “comment les autres feraient à notre place” ! Et même si suivre ses envies et ses rêves est souvent plus compliqué que tout simplement “suivre le vent” de la société / du système – il faut au moins essayer, afin de ne pas regretter à la fin d’avoir vécu la vie qu’on a jamais voulue… Je regrette d’avoir travaillé autant Ce sentiment était présent chez chaque patient du sexe masculin, et parfois chez les femmes. Ils n’ont pas suffisamment profité de leur jeunesse et de leurs relations. Tous les hommes regrettaient profondément d’avoir passé la majeur partie de leur vie à effectuer le même travail monotone pour se procurer les moyens d’existence. En simplifiant son mode de vie, on peut réduire considérablement ses exigences de revenus, que l’on estime “vitaux”. En créant davantage d’espace dans sa vie, on devient plus heureux et surtout plus ouverts pour les nouvelles opportunités. Cet espace, certes, donne de nouveaux élans, de nouvelles perceptions du monde, de nouveaux regards sur la vie en général. Il change la personne, la rend plus réfléchie, c’est un changement positif. Mais à la fois, cet espace doit être rempli par un substitut. Quel pourrait-il être? La lecture? La procrastination? Le sport? Les voyages? Le bénévolat? D’autres idées? Attention à l’interprétation. Il ne s’agit pas d’arrêter de travailler et profiter du système ou de ne travailler que 2 heures par jour ou, pire, avoir la semaine de 4 heures… Le travail était et restera toujours le seul moyen d’atteindre n’importe quel but dans la vie d’un humain. Le travail réfléchi et organisé est toujours productif et utile. Pour soi et pour la société. Néanmoins, ce regret peut concerner en particulier les gérants d’entreprises et des gens en postes à responsabilité, amenés à travailler largement au-dessus de la moyenne de par leur engagement et/ou autres paramètres de leur métier. Il peut également concerner tous ceux qui sont dans l’obligation d’avoir 2 ou 3 lieux de travail, si ce n’est pas plus, pour pouvoir subsister. Cela a un nom – être sous-payé… A ce sujet je vous suggère un autre article à juste titre traitant l’approche du temps à consacrer à son occupation / travail. A ne pas confondre avec le débat français sur les 35 heures. Je regrette de ne pas avoir eu le courage d’exprimer mes sentiments La majorité réprimait leurs émotions, afin de conserver certaines relations avec les autres. Résultat – ils se contentaient d’une existence médiocre et ne sont jamais devenus ceux qu’ils voudraient être. L’apparition de nombreuses maladies a été associée aux sentiments d’amertume et de colère que les patients portaient en eux. On ne peut pas contrôler les réactions des autres. Cependant, malgré le fait qu’initialement les gens puissent réagir négativement aux changements, que l’on essaie d’apporter aux relations, en fin de compte ces changements en améliorent le niveau. Dans le cas contraire – les relations malsaines se détériorent et, ainsi, s’auto-éliminent. Ainsi, quelle que soit l’issue – nous en somme gagnants… Réprimer ses émotions pour conserver une relation relève de l’hypocrisie, dont notre société est gravement imprégnée de ses racines jusqu’aux sommets et dans toutes les sphères. Entretenir une relation dans laquelle on est mal sauf un intérêt particulier n’a rien de bon, ni d’utile. Or, lorsque nécessaire, il faut savoir dire non sans tourner autour du pot. En ce qui concerne l’expression des sentiments – elle est indispensable, en particulier avec les proches. Et bien souvent elle est davantage nécessaire à celui qui exprime ses sentiments, qu’à celui à qui ils sont destinés. Pourquoi ? Pour se rendre compte de certaines choses, pour en mesurer le degré, pour voir la réaction de l’autre, pour se libérer de ce poids que représentent les sentiments inexprimés au fonds de nous. Une fois que les personnes partent d’où ils ne reviendront jamais – nous réalisons toutes les choses qu’on ne s’est pas dites et qui, d’un coup, deviennent importantes d’être exprimées. L’amertume de ne les avoir jamais dites à la personne destinée nous poursuit jusqu’au bout… Je regrette de ne pas être restée davantage en contact avec mes amis Souvent les gens ne réalisent même pas tout le bénéfice d’entretien de relations avec leurs vieux amis, avant qu’il ne leur reste que quelques semaines. En général, il est rare qu’il y ait la possibilité de les retrouver. La majorité est tellement immergée dans son propre quotidien, qu’elle passe à côté de son amitié pendant des années. Les amis manquent, lorsqu’on est en train de mourir. C’est propre à tout individu, menant un mode de vie actif, de minimiser l’importance des relations amicales. Mais à la dernière borne de la vie, tout le côté matériel perd tout son sens et importance. Bien sûr, les gens veulent que leurs finances se portent au mieux. Seulement à la fin l’argent et le statut ne font pas tout. Les gens veulent apporter un certain quelque-chose à ceux qu’ils aiment. Mais en général ils sont déjà trop malades et épuisés pour, enfin, accomplir cette tâche. Il me semble que le plus important ici à retenir – est que nous vivons très immergés dans notre quotidien, sans avoir le temps ou envie de sortir la tête de ce flux permanent pour regarder autour. Il est très important régulièrement de “sortir sa tête de l’eau” et voir de plus haut où sommes-nous — comme si on regardait sur une carte géographique. Un tel recul régulier par rapport à son quotidien permet plus facilement tenir le cap et ne pas oublier les choses essentielles de la vie comme, entre autres, l’amitié et l’amour. Métaphore lorsque vous êtes perdus dans la nature sans avoir en poche le moindre attribut de technologie moderne – le meilleur procédé pour se repérer est de grimper au sommet du plus grand arbre, afin de définir visuellement la direction et l’itinéraire restant à parcourir. Sortons la tête de l’eau plus souvent … Je regrette de ne pas m’être permise d’être plus heureuxse Ce regret a été, étonnamment, commun à tous ! La plupart des gens ne comprenaient qu’à la fin que leur bonheur n’est rien de plus qu’une question de choix ! Ils étaient esclaves de leurs habitudes et des idées arrêtées. Ils étaient prisonniers du petit confort venant de leurs habitudes. Par peur devant les changements ils feignaient devant leur entourage et devant eux-mêmes ! qu’ils étaient satisfaits de leur vie. Lorsque vous êtes sur le lit de mort, ce que les autres pensent de vous est très loin de votre esprit. La vie est un choix. C’est NOTRE vie. Choisissons consciemment, choisissons sagement, choisissons honnêtement. Choisissons le bonheur. Ici, manifestement, tout est résumé par Bronnie Ware. Dans la vie tout est une question du choix. Les choix que nous faisons tous les jours. Il ne s’agit pas du choix entre les frites ou les potatoes dans le menu. Mais des vrais choix stratégiques de la vie, dont dépend toute sa continuité / pérennité, ainsi que le plaisir et l’utilité que nous en tirerons. Comme VOTRE propre choix d’avoir un enfant, au lieu de faire une carrière professionnelle ou scientifique. Ou à l’inverse le choix de faire carrière, plutôt que de créer la famille. Peut-être pourriez-vous faire un tour du monde et découvrir que vous seriez mieux à l’autre bout du globe dans des conditions complètement différentes et/ou supérieures à celles résultant de votre propre choix ? Ou comme VOTRE choix d’arrêter le sport, malgré tout son bienfait, parce que c’est fatiguant d’y aller deux-trois fois par semaine après le travail, et il ne reste plus beaucoup de temps pour se détendre ou sortir boire deux verres, voire plus, si affinité. En plus, la cigarette ou les cachets aident à se détendre, alors pas besoin d’aller à l’autre bout de la ville pour évacuer le stress… Ou comme VOTRE choix de quitter la ville et le poste bien payé, malgré l’incompréhension de l’entourage, pour partir à la campagne élever les poules et les moutons, comblerait-t-il votre manque de la nature et en ferait de vous quelqu’un d’heureux ? Ou bien VOTRE choix d’arrêter de se “légumiser” devant les télé-réalités innombrables et les séries à rallonge pour ne penser à rien. Et enfin se poser des questions sensées en lisant des livres utiles, des revues intéressantes ou des articles intellectuels comme ceux de NEW POINT de VIEW pour découvrir de nouveaux points de vue, par exemple… Or, la question d’être heureux est la fonction directe de nos choix, qu’on veuille l’admettre ou pas. Ensuite il est question de savoir jongler entre ses propres choix et les avis / conseils des autres, et en faire une médiane. Si vous avez trouvé une faute d’orthographe, veuillez nous en informer en sélectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + Entrée . LA DIFFERENCE🎧 podcasts en français

Lepère de mes enfants va t il regretter de m'avoir quitté . Voyance en ligne par Oui ou Non . Poser une Question Gratuite. Contact. Le père de mes enfants va t il regretter de m'avoir quitté ? Téléphoner au voyant 0 891 150 125 . La Réponse est: OUI. Tirer les cartes. Quelle est votre Question : Bélier: Taureau: Cancer: Lion: Vierge: Balance: Scorpion: Sagittaire: Gemeau:

Télécharger l'article Télécharger l'article Avoir une relation avec un homme marié n'est pas facile, surtout si l'on est amoureuse ! Si vous voulez qu'il quitte sa femme, sachez tout d'abord qu'il ne le fera probablement pas, mais vous pouvez quand même essayer de manigancer un plan machiavélique afin d'écarter votre horrible rivale pour pouvoir vivre ce grand amour incandescent qui brule en vous au grand jour avec l'élu de votre cœur. Faites-lui comprendre subtilement pourquoi vivre avec vous est sa meilleure option et pensez au futur afin de passer des années inoubliables ensemble... 1 Parlez-lui de vos attentes. La communication est parfois difficile au sein d'une relation, il est important que vous soyez claire quant à vos attentes. Il peut penser que la situation vous convient et que vous aimez le voir brièvement pour partager des moments d'amour intense de 17 h à 19 h sans vous compromettre ! Si ce n'est pas le cas, vous devez le lui dire clairement [1] . Vous pouvez par exemple lui remémorer qu'il est avec vous parce qu'il vous aime et qu'il vous a dit cent fois qu'il ne ressent plus rien pour sa femme. Dites-lui ensuite que vous voulez qu'il la quitte pour vivre dans vos bras éternellement, point à la ligne. 2 Fixez une échéance. Il vous a probablement dit avant de faire l'amour ou après ? qu'il va abandonner sa femme, mais qu'il ne veut pas lui faire du mal », qu'elle est gentille », qu'il ne veut pas qu'elle commette un acte désespéré »... Info ou infox ? S'il vous aime vraiment, il aurait déjà dû commencer par mettre un terme à sa relation avant de se jeter éperdument dans vos bras. Bon, vous n'êtes pas toute rose non plus, vous saviez qu'il était marié... Ah ! Vous ne saviez pas ? Attention donc, c'est un menteur... Vous êtes prévenue [2] . Vous pouvez par exemple lui dire que vous voulez que la procédure de divorce soit entamée au maximum dans deux mois, et que s'il ne le fait pas, c'est ceinture, plus de 17 à 19 h, au revoir et bon vent. 3 Prenez un peu de distance. Une fois que vous lui avez imposé une date pour engager la procédure de séparation officielle, vous devez lui montrer que ce n'est pas une menace en l'air ! Vous appréciez certainement qu'il vous invite à manger du foie gras et vous fasse de petits cadeaux, mais là, c'est un choix. Ou vous aimez ça, donc ne lisez pas la suite, ou vous voulez du sérieux, et là, ça se complique... Faites-le mariner ». Répondez moins à ses textos, au téléphone, refusez le prochain rendez-vous à l'hôtel... Vous avez compris l'idée [3] . Ne répondez pas immédiatement à ses textos. Laissez passer quelques heures, même si votre main brule et votre cœur s'affole. Ne répondez pas au téléphone. Vous avez des choses à faire ou vous voyez des amies... Rappelez-le quand cela vous convient. Pendant le diner ? C'est risqué, mais bon, si votre relation dure depuis longtemps et que vous avez été claire en lui laissant le temps de se retourner, il doit prendre ses responsabilités. Téléphonez au milieu du diner et sa femme va demander C'est qui mon chéri ? » et il répondra C'est un copain qui a besoin de moi. » ou Oh rien mon amour, le boulot... » Conseil maintenant, communiquez brièvement. Vous voulez qu'il comprenne très clairement que s'il reste avec elle », il ne vous intéresse plus autant qu'auparavant. 4 Ne confrontez pas sa femme ou sa famille. Vous pouvez penser qu'en faisant comprendre à sa femme que vous avez une relation avec lui les choses vont s'arranger et qu'ils se sépareront, hé bien non ! Il se tournera dans ce cas très certainement vers sa famille et vous dira Merci, c'était sympa, au revoir ». Vous ne pourrez plus rien faire. Adieu le foie gras et les nuits d'amour interminables. En le harcelant, c'est vous qui aurez des problèmes, il deviendra la victime [4] . Expliquez-lui que vous souhaitez qu'il dise la vérité à son épouse puis laissez-le faire son choix. S'il ne le fait pas, vous serez fixée... 5 Appuyez sur pause. S'il ne la quitte pas peu d'hommes le font, il est fort probable que vous ne soyez pas la femme de sa vie comme il le dit peut-être avant de faire l'amour. C'est une situation douloureuse, le mieux est de prendre du recul quand on est sur une montagne, on ne la voit pas, pour la voir, il faut être loin de la montagne. Si vous continuez de lui donner ce qu'il veut, il n'a absolument aucune raison de quitter sa douce moitié. Dites-lui simplement que cette relation ne vous intéresse pas et mettez-y un terme [5] . Expliquez-lui que vous recherchez quelqu'un qui s'engage totalement avec vous et personne d'autre ; vous souhaitez réfléchir J'ai besoin de réfléchir » fonctionne en général bien avec les hommes, cela les fait flipper en remettant leur égo à sa place. Dites-lui que vous lui parlerez quand il aura divorcé si vous n'avez pas trouvé quelqu'un d'autre, ce qui devrait être facile.... 1 Remémorez-lui les problèmes avec sa femme. S'il vous fréquente, c'est que quelque chose ne va pas dans son couple. Un homme heureux en couple ne trompe généralement pas sa partenaire. En mettant ses problèmes de couple en évidence, vous pouvez peut-être l'inciter à se séparer. Ce n'est pas certain, car on peut prendre l'habitude de vivre avec quelqu'un que l'on n'aime pas et rester avec cette personne des siècles pour ne pas se compliquer la vie... Les problèmes conjugaux les plus fréquents sont [6] les désaccords budgétaires ; l'impression de ne pas être appréciée à sa juste valeur ; l'impression d'être inférieur » à son partenaire ; n'avoir plus rien en commun ; une vie sexuelle inintéressante, monotone ; des besoins non assouvis. 2 Mettez en valeur vos points communs. On se sépare souvent quand on n'a plus rien en commun. Parlez de vos projets, de vos buts, de vos idéaux, de vos centres d'intérêt, de vos passions et de vos habitudes pour lui montrer qu'il sera bien plus heureux en vivant avec vous ! Après tout, quand vous êtes ensemble, vous passez des instants merveilleux et magiques, musées, concerts, discussions philosophiques et scientifiques interminables, il vous prépare des diners somptueux... C'est pour ces moments inoubliables que vous vous aimez à la folie [7] ! Si vous aimez le sport, invitez-le à nager, faire du vélo, de la marche en montagne... Parlez des joueuses de tennis de l'année, des pilotes de Formule 1... Si vous aimez l'art, partagez vos impressions sur la 5e de Beethoven, sur Prokofiev, sur Giacometti, Dali, Jérôme Bosh. Si la science vous intéresse, conversez sur les univers parallèles, les protons, la physique quantique, le CERN... L'important est de partager des passions. Ne lui mentez pas, cela ne fonctionnera pas. Il s'en rendra compte et vous pourrez dire adieu à votre idylle, à Théocrite, à Catulle, Virgile et Ausone... 3 Demandez-lui ce qu'il attend de la relation. Essayez ensuite de déterminer si vous pouvez répondre sans vous forcer à ses attentes. Peut-être trompe-t-il sa femme parce qu'elle ne répond pas à ses besoins. Demandez-lui donc ce qu'il attend d'une relation et voyez si ce sont des choses que vous pouvez lui procurer, cela peut faire peser la balance de votre côté [8] . Imaginons qu'il désire se sentir apprécié à sa juste valeur. Vous pouvez lui dire quelque chose comme Je te dis toujours à quel point tu es important pour moi et comme je suis reconnaissante pour tout ce que tu fais, tu es une personne merveilleuse et unique... » bon, sans exagérer non plus.... Il peut aussi dire qu'il a besoin de quelqu'un pour le soutenir sur le chemin escarpé qui le mènera à la gloire, d'une personne qui ne le critique pas. Il vous suffit de lui remémorer que c'est exactement ce que vous faites Souviens-toi mon amour comme je t'ai soutenue quand tu as voulu quitter ton poste de directeur de banque pour devenir musicien itinérant ! Je serai toujours à tes côtés. » 4 S'il en a, prenez en compte ses enfants. S'il est papa de 3 superbes chérubins blondinets à souhait, il ne veut certainement pas les perdre au cours d'une procédure de divorce dans laquelle il sera coupable d'adultère ! Il peut penser que ses enfants lui en voudront de partir, même si sa relation actuelle est une vraie cata. Il ne pourra ensuite les voir que rarement, la mère ayant dans la plupart des cas la garde, il devra aussi payer une grosse partie de son salaire en pension alimentaire. Ce n'est pas encourageant... Il peut ici être utile d'avoir les conseils d'un avocat et de personnes appartenant à des groupes ayant vécu ce genre d'expérience [9] . Efforcez-vous de comprendre ses peurs ce n'est qu'un homme après tout. S'il a des enfants, ils sont la prunelle de ses yeux. Il ne les a pas portés pendant 9 mois dans son ventre, mais cela ne veut absolument pas dire qu'il ne les adore pas comme la chair de sa chair et qu'ils importent moins à ses yeux qu'à ceux de leur mère. Il doit savoir que vous accepterez leur présence à tout moment et sans condition. 5 Ne cherchez pas à le manipuler. Cela se retournera contre vous... Si vous » pensez que vous êtes faits l'un pour l'autre, comme le vin et le camembert, Wally et Eva ou la souris et le tapis d'ordinateur, vous pourriez être tentée de lui mentir subtilement. Hé bien non, il s'en rendra compte ; tôt ou tard... Il n'est pas sain de construire une relation sur des mensonges, il ment déjà à sa femme, vous êtes déjà bien partis, ce n'est pas la peine d'en rajouter... C'est à lui de décider ce qu'il veut faire, c'est un adulte après tout [10] . Ne lui dites par exemple pas que vous savez que sa femme le trompe ou que vous êtes enceinte, mauvais plan... 1 N'ayez plus de rapports sexuels. Ceinture, niet, stop, basta no, laa, nee, na, naan, ala, nae, cha ! Vous allez voir qu'il va commencer à transpirer, mais ce n'est pas uniquement pour cela qu'il vous aime n'est-ce pas ? Vous pouvez lui laisser le bénéfice du doute, mais vous savez probablement que quand on trompe son partenaire, c'est généralement lié au sexe... Dans le cas qui vous concerne, il a une famille, et il est avec vous pour assouvir ses désirs charnels les plus ardents quand il a le temps ». Ce n'est juste ni pour vous ni pour sa femme, vous pouvez donc peut-être » le mettre à l'épreuve pour voir s'il vous aime autant qu'il le prétend en arrêtant toute forme d'activités sexuelles, non, pas avec la main non plus... [11] Expliquez-lui que vous voulez être avec lui, mais que vous ne voulez pas être sa poupée gonflable même si c'est fantastique.... Dites-lui que vous n'aurez plus de rapports sexuels avec lui tant qu'il ne sera pas séparé. Point final. 2 Passez moins de temps avec lui ! Cela sera certainement difficile, mais il souffrira aussi, voyons à quel point... Vous allez ainsi lui démontrer que vous ne plaisantez pas quant à vos intentions et vous pourrez en profiter pour penser à vous, et rien qu'à vous ! Au cours de cette période, le mieux serait que vous ne voyiez pas en tête à tête [12] . Dites-lui par exemple J'aimerais que tu m'invites à diner du caviar au Champagne, mais comme tu le sais, ceci n'est pas possible. Ta femme est toujours ta priorité, je dois donc refuser. » Conseil Ne restez pas seule à vous ronger les ongles ! Sortez avec des amises pour faire la fête ou faites quelque chose qui vous passionne, comme jouer à Warframe. Si vous passez un bon moment, vous réussirez peut-être même à l'oublier ! » 3 Ne vous comparez pas à sa femme. Vous vous demandez probablement pourquoi il reste avec elle alors que vous êtes mille fois plus jolie et intelligente. Cela ne sert qu'à vous faire souffrir... Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles il dort toujours dans ses bras, vous ne pouvez rien changer à cela. Lorsque vous pensez à elle », faites un peu d'aérobic ou jouez du ACDC à la guitare. Penser à votre rivale » n'a rien de sain pour vous [13] . Regardez vos yeux ou les parties de votre corps que vous aimez. N'oubliez pas à quel point vous êtes créative et intelligente. Souvenez-vous des bons moments que vous passez avec les membres de votre famille, avec vos animaux domestiques et au travail. 4 Concentrez-vous sur votre futur pas le sien. Lorsque l'on a une aventure avec un homme marié, on peut se laisser emporter par le courant rapidement comme un cerf-volant joue avec le vent. Vous envisagez de passer le reste de votre vie avec lui, c'est beau, mais cela n'arrivera peut-être jamais... Vous ne devez pas forcément baisser les bras, mais vous devriez penser à vos objectifs, à votre futur, à vous ! C'est comme ceci que vous aurez une vie géniale, pour ce que vous faites, votre vie ne dépend pas d'un homme, jamais [14] . Si vous êtes étudiante, concentrez-vous sur vos études. Passez votre diplôme et avancez vers le suivant. Vous pouvez le faire ! Cela ne dépend que de vous. 5 Construisez votre vie. L'amour, c'est beau. Ah que c'est beau ! Votre vie est cependant la priorité. Ne perdez pas de temps à vous morfondre en vous demandant s'il va la laisser pour vivre avec vous un amour éternel. Ce n'est pas une priorité ! Passez du temps avec vos amises, sortez, allez au musée, lisez, jouez, allez à des concerts, voyez un live de Stephan Bodzin, vivez votre vie, on ne vit pas en fonction des autres [15] ! Suivez des cours de peinture, de zumba, de violoncelle, allez à une dégustation de vin, faites du esport, apprenez comment faire des sushis... tout est possible ! 6 Envisagez de nouvelles rencontres. S'il est mi-figue mi-raisin, ne perdez pas votre temps et rencontrez d'autres garçons. Cela ne veut pas dire que vous devez vous jeter dans le lit du premier venu et pourquoi pas en fait !, cela veut dire que vous avez rencontré une personne fantastique, donc, les personnes fantastiques existent ! Et vous savez quoi ? Certaines ne sont pas mariées... Il est facile de rencontrer des garçons en sortant, si vous n'avez pas le temps ou l'argent, utilisez des applications [16] ! Vous pensez peut-être maintenant que c'est LUI l'homme de votre vie, mais en réalité, il n'existe pas UN homme de sa vie, il en existe plein nous sommes nombreux en 2021... ! Ne perdez pas votre temps à courir après un homme marié qui ne veut que passer un moment avec vous au lit... 7 Rompez oui sergent ! S'il ne veut pas s'engager avec vous alors que vous désirez une relation sérieuse, oubliez-le. Plus vous attendrez, plus vous souffrirez, donc, le plus tôt, le mieux. N'oubliez pas que pour l'instant, vous êtes la 2e. S'il était sérieux, il se serait séparé de sa femme avant de coucher avec vous. Si vous n'avez pas eu de rapports sexuels, c'est peut-être de l'amour platonique ? Bloquez-le sur les réseaux sociaux, sur votre téléphone. Rompez, et tournez la page, il y en a un qui est célibataire et qui vous cherche quelque part sur la planète, sortez et marchez vers lui [17] ! Peut-être pensez-vous que cette relation est absolument merveilleuse et unique et que cela ne se reproduira jamais, jamais, jamais... Hé bien désolé de vous contredire ; non ! Cela peut se reproduire et ne dépend que de vous. Ne vous fermez pas comme une huitre. Ouvrez-vous au monde et le monde vous appartiendra, d'ailleurs, le monde entier est à vous, profitez-en ! Avertissement il y a de fortes probabilités qu'en le laissant il vous coure après. Les hommes sont comme ça... Quand ils ont quelque chose, ils ne le voient pas, et quand on leur retire, ils font un caca nerveux ! Faites très attention, car pour coucher avec vous, il vous promettra monts et merveilles... Conseils 5 % environ des garçons abandonnent leur femme pour une autre les autres sont fidèles et honnêtes. Vos probabilités sont minces... Vous êtes une personne géniale et vous méritez de rencontrer une personne honnête, qui ne mente pas, qui vous aime vraiment et partage avec vous des moments de réel bonheur. Ne laissez pas un garçon vous mener par le bout du nez avec de fausses promesses. N'oubliez pas que vous ne pouvez pas forcer les gens à faire des choses qu'ils ne veulent pas faire. S'il ne veut pas se séparer de sa femme, il ne fera pas, quoi que vous fassiez. S'il a des enfants, sa femme se trouvera toujours sur votre chemin, c'est la mère de ses enfants ! Soyez en bons termes avec elle. Avertissements S'il se sépare pour être avec vous, il n'hésitera probablement pas à vous quitter pour aller avec une autre qui aura peut-être lu cet article ! S'il laisse sa femme et ses enfants, ils en souffriront. Vous serez peut-être heureuse, mais n'oubliez pas que votre amoureux et sa famille traverseront une longue période difficile. Références À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 176 100 fois. 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Avantde se demander comment faire revenir un homme, il est indispensable de surmonter son chagrin d'amour. Pourquoi les hommes regrettent toujours les femmes qu'ils Conseil 2 : Soyez heureux/se. Avant d'entrer dans le vif du sujet, il est important de rappeler que lorsque vous commencez à penser qu'il n'y a plus d'espoir, que l'homme que vous souhaitez faire revenir Publié le mardi 23 Août 2022 à 10h00 France 2 relance MasterChef », le concours de cuisiniers amateurs, ce mardi soir. Aux commandes la présentatrice des Maternelles ». Un plaisir régressif pour elle. Exclusif Nathalie GUYON Qu’est-ce qui a donné envie à la chaîne de ressusciter ce programme ? Il n’y avait plus de cuisine sur France 2, il était temps d’en remettre ! Et quoi de plus naturel que de choisir un programme qui a autant de succès dans le monde. Ce sera un MasterChef » très service public, où la transmission et le partage seront très présents. Qu’est-ce qui vous a donné envie d’en accepter la présentation ? Je suis très friande des émissions de cuisine en tant que téléspectatrice, et la version du MasterChef » de France 2 sera joyeuse, pleine d’émotions culinaires et humaines. Comment refuser de porter ce beau programme ! Lire aussi MasterChef» de retour sur France 2 découvrez les deux candidats belges au casting de cette nouvelle saison photos Quelle sera la touche Agathe Lecaron ? Je ne sais pas s’il y en aura une, mais tout comme dans Les Maternelles », j’arrive avec ce que je suis, sans chichis. J’espère apporter de la joie et de la bonne humeur. Par rapport à la grosse machine Top Chef », que vous avez présentée, quels sont les atouts de MasterChef » ? C’est normal de comparer, mais même si on retrouve les codes classiques des concours de cuisine, ici, on a à faire à des candidats amateurs, ce qui change totalement l’aspect du programme. Ce sera à la portée du téléspectateur. Le jury est-il un bon casting ? Ils sont tellement différents tous les trois, et en même temps tellement complémentaires. Yves, c’est la gouaille, le terroir, Thierry le maître zen, le calme en toutes circonstances, et Gorgianna est écorchée vive, profondément humaine. Je vous promets énormément d’émotion grâce à eux, et aussi de gros fous rires. Lire aussi C’était essentiellement pour l’argent et ce n’était pas ultra bien payé» Agathe Lecaron revient sur ses années en tant que speakerine sur RTL-TVI Quelles sont les qualités que vous attendez de celui qui s’imposera dans le concours ? C’est une question à laquelle le jury pourra mieux répondre que moi, mais celle ou celui qui tiendra le rythme, qui arrivera à faire une cuisine haut de gamme avec simplicité, aura à mon avis toutes ses chances ! Si la sauce MasterChef » prend, vous pourriez lâcher Les Maternelles » ? Je n’ai aucune raison de les quitter, je suis folle de cette émission ! Il y a tout dedans émotion, information, humeur… Je ne suis pas près de lâcher ça. Retrouvez l’intégralité de l’interview d’Agathe Lecaron dans le Ciné-Télé-Revue sorti ce jeudi 18 août. HrSpSo.
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