ExtraordinaryYou nous plonge dans un lycĂ©e huppĂ© oĂč les Ă©tudiants ne semblent pas vraiment bosser, mais jouissent plutĂŽt d'une confortable existence. Notre hĂ©roĂŻne s'avance d'ailleurs dĂšs sa premiĂšre apparition d'un pas triomphant comme si elle venait de remporter quelques victoires sur des armĂ©es barbares.
Dans le plus grand abattoir dâAlger, des hommes vivent et travaillent Ă huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. Lâespoir, lâamertume, lâamour, le paradis et lâenfer, le football se racontent comme des mĂ©lodies de Chaabi et de RaĂŻ qui cadencent leur vie et leur monde. Production Allers Retours Films, Centrale Electrique âą Producteurs dĂ©lĂ©guĂ©s Narimane Mari, Olivier Boischot âą Directeur de la photo Hassen Ferhani âą Monteur son Djamel Kerkar âą Mixeur Antoine Morin âą Etalonneur Pierre Sudre âą Monteurs Myriam Aycaguer, Narimane Mari, Hassen Ferhani, Corentin Doucet âą Responsable de la post-production Olivier Boischot Hassen Ferhani Hassen Ferhani est nĂ© Ă Alger en 1986. De 2003 Ă 2008, il co-anime Le cinĂ© club de lâassociation chrysalide Ă Alger. En 2006, il rĂ©alise son premier film, un court-mĂ©trage de fiction Les Baies d »Alger, sĂ©lectionnĂ© en compĂ©tition officielle par plusieurs festivals internationaux. En 2008, il participe Ă La formation d ȎtĂ© de La FEMIS et rĂ©alise dans ce cadre, un court documentaire Le voldu 140. Il co-rĂ©alise, en 2010, un film documentaire Afric Don Quichotte et Nous rĂ©alisĂ© en 2013 a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă Visions du RĂ©el et au FID Marseille ainsi que dans plusieurs festivals internationaux. Dans ma tĂȘte un rond-point est son premier Long mĂ©trage. ENTRETIEN AVEC HASSEN FERHANI Quelle est lâorigine de votre film, Dans ma tĂȘte un rond-point, produit par Narimane Mari, la rĂ©alisatrice de Loubia Hamra 2013 ? Les lieux sont pour moi des points de dĂ©part. Vers des rencontres, des histoires, des trajectoires de vie⊠Dans ma tĂȘte un rond-point prend la suite de mes explorations filmiques de certains quartiers dâAlger et de leurs habitants. Des lieux avec des mythes et des lĂ©gendes qui leur sont propres. LâAbattoir dâAlger est une ville dans la ville, un lieu Ă la fois ouvert et fermĂ©. Les hommes qui y travaillent viennent pour la plupart de lâintĂ©rieur du pays. Jâavais ce projet de film en tĂȘte quand jâai rencontrĂ© Narimane au FID Marseille en 2013. En nous revoyant au festival de Cordoba, je lui ai parlĂ© de mon projet. Tu as besoin de quoi ? » mâa demandĂ© Narimane qui est Ă©galement productrice. On a tout de suite entamĂ© les demandes dâautorisations. Comme lâĂ©voque le titre citant une sĂ©quence, Dans ma tĂȘte un rond-point explore divers sujets autour de lâAlgĂ©rie aujourdâhui. Quel Ă©tait le projet initial ? Je suis tombĂ© sur un article consacrĂ© au projet de restructuration du quartier de Oued Kniss, lĂ oĂč se trouvent les Abattoirs. On doit y bĂątir les nouveaux siĂšges des deux chambres parlementaires, avec une marina un peu plus loin⊠Ce quartier dâAlger est mythique, chargĂ© dâhistoire. Des dizaines de restaurants Ă brochettes crĂ©aient une grande animation ; ils ont dĂ©jĂ Ă©tĂ© dĂ©truits. Mais le projet de dĂ©molition totale a Ă©tĂ© ajournĂ© en attendant la construction dâun nouvel abattoir en pĂ©riphĂ©rie. Jâai eu comme un dĂ©clic, une intuition. Mais, tout de suite, jâai su que ce nâĂ©tait pas la destruction que je voulais raconter. Je voulais filmer des vies, celles que voudraient bien me confier les travailleurs des Abattoirs. Vous avez une certaine familiaritĂ© avec les protagonistes du film avec qui vous discutez parfois hors-champ. Comment les avez-vous choisis et dirigĂ©s ? Je voulais faire partie du quotidien de ces hommes. Aussi, avant de tourner, jâai commencĂ© Ă me rendre sur les lieux, Ă traĂźner lĂ -bas, Ă humer lâatmosphĂšre, Ă recueillir des premiĂšres impressions. Puis, pendant deux mois, jâai filmĂ© avec Djamel Kerkar, un ami rĂ©alisateur qui sâest occupĂ© du son. Cela nous a permis de nous adapter au rythme des ouvriers, de nous donner le temps de nous promener comme des photographes et de nous arrĂȘter lĂ oĂč on en avait envie, sans chercher au dĂ©part Ă choisir les protagonistes. On a parlĂ© avec beaucoup de personnes, la plupart du temps sans filmer. Je voulais quâils me voient travailler, tout comme moi je les regardais exĂ©cuter leurs tĂąches quotidiennes. Je leur ai expliquĂ© mon projet dans ses grandes lignes, ensuite jâai cherchĂ© Ă me faire oublier. Pas Ă disparaĂźtre, mais Ă faire partie de leur quotidien. Au fil des discussions, les principaux protagonistes se sont affirmĂ©s. Certains se sont tout de suite emparĂ©s du film. Pour dâautres, cela a pris plus de temps⊠Il devait y avoir une rĂ©ciprocitĂ©, de la curiositĂ©, un partage et un respect du travail de chacun. Donc, je ne les ai pas dirigĂ©s. Ce sont eux souvent qui nous ont dirigĂ©s. Dans un mĂȘme lieu, cet abattoir, on Ă©quarrit des vaches, on applaudit un match de foot, on parle dâamour ou de politique. Ce mĂ©lange des genres Ă©tait dĂ©jĂ Ă©crit ? Oui, dĂšs le dĂ©part, je voulais quâon ressente lâĂ©tendue des rapports sociaux et humains entre ces hommes dans ce quasi huis-clos, leur communautĂ© mais aussi leurs solitudes. MâintĂ©resser au temps, Ă leurs efforts, aux moments de pauses. Aux rĂ©flexions, aux rires, aux dĂ©lires et aux tristesses qui les habitent. Câest dans les coulisses du travail quâon peut avoir accĂšs aux ĂȘtres et aux histoires. Il faut dire que beaucoup des travailleurs habitent aux Abattoirs. Certains nâen sortent presque pas, sauf pour des courses rapides dans le quartier. Dans ma tĂȘte un rond-point est composĂ© de plusieurs scĂšnes, apparemment hĂ©tĂ©rogĂšnes. Comment lâavez-vous construit au montage ? Le montage devait ĂȘtre Ă lâimage du tournage dans la mĂȘme journĂ©e, nous passions dâun personnage Ă lâautre, dâune histoire Ă une autre. Jâai aussi voulu donner un rythme proche de celui du raĂŻ, cette musique quâils Ă©coutent en permanence, avec ses crescendos et ses decrescendos. On passe dâun sujet Ă lâautre sans transition, sans peur des contradictions. On passe du romantisme au pragmatisme, de lâoptimisme au pessimisme sans se soucier de logique, ni de progression narrative. Exactement comme ils vivent leurs moments et leurs discussions. Les gestes du travail filmĂ©s dans cet abattoir sont aussi importants. On pense au film de Georges Franju, Le Sang de bĂȘtes 1949. Comment avez-vous rĂ©flĂ©chi Ă ces sĂ©quences ? Le sang des bĂȘtes» est un grand film de lâaprĂšs guerre. Une grande part de la poĂ©sie de ce film tient Ă ses commentaires en voix off Ă©crit par Jean PainlevĂ©. Pour mon film, je voulais que la poĂ©sie Ă©mane des personnages. Et je ne voulais pas faire un film sur la viande, mais sur ce quâelle fait au corps des hommes qui la travaillent depuis des annĂ©es, toute une vie pour certains, qui les a marquĂ©s dans leur corps et leur esprit. Dans ma tĂȘte un rond-point se dĂ©roule essentiellement la nuit. La lumiĂšre et les couleurs fantastiques, dans les sĂ©quences des abattoirs surtout, apportent une certaine distance. Quels Ă©taient vos parti-pris ? Le jour est consacrĂ© Ă la vente. Les clients arrivent, bouchers, distributeurs⊠La nuit est Ă la fois un temps de pause pour certains travailleurs et en partie de travail pour dâautres. Les salles dâabattage sont actives avant lâaurore. La nuit est un espace temporel oĂč lâon se livre davantage. On regarde la tĂ©lĂ©, on Ă©coute de la musique, on discute, on se confie. Et câest un moment oĂč les travailleurs des Abattoirs se retrouvent entre eux. Les lumiĂšres et les couleurs sont trĂšs particuliĂšres, les sources sont diffĂ©rentes, il y a des lampadaires anciens, des nĂ©ons dâaujourdâhui, ces mĂ©langes donne cette lumiĂšre proche du fantastique. Plans fixes, cadres composĂ©s, jeux sur la profondeur de champ, comment avez-vous travaillĂ© lâimage ? Jâai cherchĂ© Ă trouver la juste distance entre la camĂ©ra et les personnages. Assez prĂšs pour saisir leur intimitĂ©, assez loin pour les filmer dans leur environnement immĂ©diat et respecter leur solitude. Je voulais que la camĂ©ra se fasse oublier sans pour autant se cacher. Il fallait quâils lâacceptent et quâelle ne sâimpose pas Ă eux. Ils ont pris le film en main si je puis dire, au point oĂč vers la fin, un des personnages sâinquiĂšte de savoir quel sera son titre et me fait mĂȘme des propositions. Quant Ă la composition des images, je reste assez proche de lâapproche photographique. JâĂ©tablis mon cadre, je patiente, je guette les surgissements. PoĂšmes populaires, Ă©vocation du printemps arabe ou des harragas⊠Le film a une rĂ©sonance sociale et politique Ă©vidente. Je me suis interdit dâorienter mes personnages, de chercher un sujet plutĂŽt quâun autre. Je voulais dĂ©couvrir ces hommes au plus prĂšs de leur rĂ©alitĂ©. Ce sont des gens qui communiquent beaucoup entre eux. Leur besoin dâĂ©changes est immense. A plus forte raison dans ce milieu oĂč lâon travaille dur et oĂč la parole est Ă la fois un soutien et un exutoire. Ils parlent de tout de la vie, de la mort, de leurs espoirs, de leurs rancĆurs, de lâHistoire, du monde, de leur foi, de leurs amours et, bien sĂ»r, de lâactualitĂ©. Les gens que je filme sont en premiĂšre ligne des bouleversements que connaĂźt le pays, ils peuvent ĂȘtre touchĂ©s trĂšs directement par ces questions. Mais ce nâest quâune partie de lâensemble des sujets abordĂ©s, y compris les plus intimes. Car, si les AlgĂ©riens aiment parler comme je vous le disais, ils rechignent Ă parler dâeux. Ils ont une pudeur trĂšs forte et il leur est plus facile de parler politique que de leur vie personnelle.
Sortile 23 juin 2022, le clip En Normandie de l'artiste David Vallet met à l'honneur la région normande avec humour, bonne humeur, et
Documentaire 100 minArabic FrenchStreamDans le plus grand abattoir dâAlger, des hommes vivent et travaillent Ă huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. Lâespoir, lâamertume, lâamour, le paradis et lâenfer, le football se racontent comme des mĂ©lodies de Chaabi et de RaĂŻ qui cadencent leur vie et leur monde.
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De Hassen Ferhani ThĂšmes Ethnologie, MĂ©moire, Patrimoine Se procurer le film Allers retours productions Bande annonce Dans le plus grand abattoir d'Alger, des hommes vivent et travaillent Ă huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. L'espoir, l'amertume, l'amour, le football, le paradis et l'enfer se racontent comme des mĂ©lodies de Chaabi et de RaĂŻ qui cadencent leur vie et leur monde.
CamionPutePunk raillotâ/garage/rock de casse - ambiance resto routier « entrĂ©e plat dessert et ÂŒ de vin Ă 12⏠», influencĂ©-e-s par Bonnie Tyler de la station service aprĂšs la sortie 24. Adeptes de la libertĂ© de circulation, des nappes Ă carreaux et des femmes au volant. CamionPute ça rĂ©chauffe ton moteur, câest un concentrĂ© de philosophies simples et
Dans le plus grand abattoir dâAlger, des hommes vivent et travaillent Ă huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. Lâespoir, lâamertume, lâamour, le paradis et lâenfer, le football se racontent comme des mĂ©lodies de Chaabi et de RaĂŻ qui cadencent leur vie et leur CinĂ© vous propose une sĂ©rie de nouveaux rendez-vous avec une cinĂ©matographie diverse et mĂ©connue, celle du continent Africain. Cette premiĂšre Ă©dition invite Ă dĂ©couvrir une sĂ©lection de films du BĂ©nin, du Niger, de la CĂŽte dâIvoire, du Congo, de la Tunisie, dâAlgĂ©rie, et enfin du Burkina Faso et du SĂ©nĂ©gal, qui seront Ă lâhonneur de ce premier long week-end de cinĂ©ma consacrĂ© Ă lâAfrique, avec la complicitĂ© de plusieurs associations culturelles programme de ces rendez-vous ; avant-premiĂšre, hommage, films inĂ©dits, expositions, cinĂ©-matinĂ©e pour les enfants, rencontres et Ă©changes en prĂ©sence de rĂ©alisatrices et dâun CinĂ© en partenariat avec LâACRIRA, Raccords, Ansera, Amal38, AlterEgaux IsĂšre, Coup de Soleil, Survie IsĂšre.
Ila tout fait, Pierre Palmade. MĂȘme un album de chansons interdites aux moins de trente ans. Et de la tĂ©lĂ©vision, de la scĂšne, du théùtre de boulevard, de grand standing, du cabaret, du cinĂ©ma et des shows Ă plusieurs. Il dĂ©butait Ă vingt ans dans La Classe avec Fabrice et toute la bande. Il a dĂ©trĂŽnĂ© toutes les valeurs sĂ»res du
Des pneus de 2016 ça craint ou pas du coup ? je ne pense pas qu'on puisse appeler ça de l'aquaplaning, j'en ai dĂ©jĂ fait avec ma ford ka sur autoroute Ă cause des orniĂšres, ma voiture a commencĂ© Ă "planer" sur l'eau sans aucune possibilitĂ© de controlesinon dĂ©crocher dans un rond point ça m'est aussi arrivĂ©, le plus souvent avec la ford ka d'ailleurs mais bon j'y allais trop fort aussi Le 30 dĂ©cembre 2021 Ă 221647 Des pneus de 2016 ça craint ou pas du coup ? C'est la limite 5 ans, certains sont encore bons au bout de 7, d'autres sont limite dangereux au bout de 4. Tu auras quand mĂȘme plus tendance Ă glisser avec des pneus sur-gonflĂ©s que des pneus avec autant de bornes + crachin + rond-point avec possible disques de mazout...Manque plus que le sticker Boiserie derriĂšre pour imiter Babass dans les giratoires. J'ai des pneus de 2018 Ă l'avant sur ma 205 et je trouve que ça commence a ĂȘtre limite sous la pluie sur les rond points. MontĂ©s dĂ©but 2020 mais bien 2018 sur le dot. Des Dunlop en 165/70 glisse presque moins avec ma junior en Uniroyal 135/ pas souvenir que celle en 165 glissait comme ça au dĂ©part, au contraire. Mes pneus AR ils datent de 2017 par contre, ils ont plus de 30k km, pas usĂ©s au niveau des sculptures, glissent pas Ă l'arriĂšre. Je vais les mettre devant au prochain changement. Le 31 dĂ©cembre 2021 Ă 000440 J'ai des pneus de 2018 Ă l'avant sur ma 205 et je trouve que ça commence a ĂȘtre limite sous la pluie sur les rond points. MontĂ©s dĂ©but 2020 mais bien 2018 sur le dot. Des Dunlop en 165/70 glisse presque moins avec ma junior en Uniroyal 135/ pas souvenir que celle en 165 glissait comme ça au dĂ©part, au contraire. Mes pneus AR ils datent de 2017 par contre, ils ont plus de 30k km, pas usĂ©s au niveau des sculptures, glissent pas Ă l'arriĂšre. Je vais les mettre devant au prochain la 205 Junior et la W123 on a pratiquement les mĂȘmes voitures Message Ă©ditĂ© le 31 dĂ©cembre 2021 Ă 004238 par VilainLoup ça m'est arrivĂ© une fois mais c'Ă©tait des hydrocarbures sur la route, une bonne grosse flaque. D'ailleurs en arrivant au boulot je vois un collĂšgue boiter, il s'Ă©tait cassĂ© la gueule au mĂȘme endroit avec son scooter Le 31 dĂ©cembre 2021 Ă 004209 Le 31 dĂ©cembre 2021 Ă 000440 J'ai des pneus de 2018 Ă l'avant sur ma 205 et je trouve que ça commence a ĂȘtre limite sous la pluie sur les rond points. MontĂ©s dĂ©but 2020 mais bien 2018 sur le dot. Des Dunlop en 165/70 glisse presque moins avec ma junior en Uniroyal 135/ pas souvenir que celle en 165 glissait comme ça au dĂ©part, au contraire. Mes pneus AR ils datent de 2017 par contre, ils ont plus de 30k km, pas usĂ©s au niveau des sculptures, glissent pas Ă l'arriĂšre. Je vais les mettre devant au prochain la 205 Junior et la W123 on a pratiquement les mĂȘmes voitures J'en ai 2 des 205 Junior, j'ai ma GL pour le quotidien, j'ai une XAD qui arrive. J'ai trop stockĂ©, il va falloir que je fasse du tri j'ai commencĂ© a revendre des piĂšces dĂ©jĂ sur des voitures que je n'ai pas ou plus. Pi aka la seule casse du coin ou tu te fais pas enfler Prendre les ronds points Ă 40km/h c'est pas top non plus Le 01 janvier 2022 Ă 100345 Prendre les ronds points Ă 40km/h c'est pas top non plus ça dĂ©pend si ils sont grand y a moyen, prĂšs de chez moi il y en a un je le prend a 50 peinard Quand j'ai achetĂ© ma 406, j'ai vu que les pneus Ă©taient ok mais dataient de 2010 Bruit de roulement trĂšs prĂ©sent Ă l'essai, j'ai changĂ© les pneus par des Primacy Michelin, bah maintenant c'est un tapis volant sur l'autoroute et ça accroche le pavĂ© Ă fond Le 30 dĂ©cembre 2021 Ă 130206 Ăa peut ĂȘtre tout simplement des hydrocarbures qui trainaient sur la route, ça arrive. C'est Ă cause de ça que j'ai passĂ© un rond point en drift avec le trafic Tu racontes trop ta vie sur le forum le punk Ă chien Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
Lesarchives par sujet : james mcintosh. 12 3 4 5 Suivant Saint-James 50240, Manche, Normandie 5070 .hab ĂvĂ©nements autour de Saint-James Annonces autour de Saint-James Agenda Saint-James Annonces Saint-James (emploi, entreprises Ă reprendre, locaux pro) Fitz-James 60600, Oise, Hauts-de-France 2442 .hab ĂvĂ©nements autour de Fitz-James
ANNĂE DE PARTICIPATION AU PriMed 2016 CATEGORIE D'INSCRIPTION Enjeux MĂ©diterranĂ©ens de Hassen FERHANI 140 minutes, 2015 Dans le plus grand abattoir dâAlger des hommes vivent et travaillent Ă huis-clos aux rythmes lancinants de leurs tĂąches et de leurs rĂȘves. Lâespoir, lâamertume, lâamour, le paradis et lâenfer, le football se racontent comme des mĂ©lodies de Chaabi et de RaĂŻ qui cadencent leur vie et leur monde. Hassen FERHANI est nĂ© Ă Alger en 1986. De 2003 Ă 2008, il co-anime le cinĂ© club de lâassociation Chrysalide Ă Alger. En 2006, il rĂ©alise son premier film, un court-mĂ©trage de fiction, Les Baies dâAlger », sĂ©lectionnĂ© en compĂ©tition officielle par plusieurs festivals internationaux. En 2008, il participe Ă la formation dâĂ©tĂ© de la FEMIS et rĂ©alise dans ce cadre, un court documentaire, Le vol du 140 ». Depuis 2009, il travaille comme assistant rĂ©alisateur tout en prĂ©parant ses projets personnels. Il co-rĂ©alise, en 2010, un film documentaire, Afric Hotel ». Tarzan, Don Quichotte et nous » rĂ©alisĂ© en 2013 Ă Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© Ă Visions du RĂ©el et au FID Marseille ainsi que dans plusieurs festivals internationaux. Dans ma tĂȘte un rond-point » est son premier long mĂ©trage.
LORIGINE DU MONDE. de Laurent Lafitte. 2020. 95 mn. Parce que l'humour de Laurent Lafitte surprend constamment et qu'il fait entrer une ribambelle d'excellents comĂ©diens dans son dĂ©lire. Un jour, sans crier gare, le coeur de Jean-Louis s'arrĂȘte de battre. Jean-Louis devrait ĂȘtre mort mais il parle, marche comme si de rien n'Ă©tait.
AnnĂ©e 2015 / 100â Sortie en salles le mercredi 24 fĂ©vrier Le Monde du mercredi 24 fĂ©vrier A Alger, les bouchers nâont que lâamour Ă la boucheLâimage du Rond-point », si intrigante, câest celle des esprits ne parvenant pas Ă se projeter ni Ă se rĂ©aliser dans une AlgĂ©rie figĂ©e LibĂ©ration du mercredi 24 fĂ©vrierHassan Ferhani capte les Ă©tats dâĂąmes dâouvriers dans un grand abatoir dâAlgerFerhani sâintĂ©resse moins au geste du travail quâaux Ă©chenges dans les temps de pause, entre deux clopes, ou plus tard, quand les abatoirs sont quasiment vidĂ©s de toute prĂ©sence humaine Hassan Ferhani NĂ© Ă Alger en 1986. En 2006, il est assistant-rĂ©alisateur et second rĂŽle du court mĂ©trage de Karim Moussaoui Ce quâon doit faire et il rĂ©alise Les Baies dâAlger dans le cadre du projet de Katia Kameli "Bled in progress". En 2010, avec Nabil Djedouani, il rĂ©alise Afric HĂŽtel, documentaire prĂ©sentĂ© Ă Apt en 2011. En 2012, dans le cadre du projet invitant de jeunes cinĂ©astes algĂ©riens Ă porter un regard sur la ville dâAlger, il rĂ©alise Un EtĂ© Ă Alger, travail qui servira dâailleurs de base au film Tarzan, Don Quichotte et nous. Le film a Ă©tĂ© primĂ© * FID Marseille, GRAND PRIX DE LA COMPĂTITION FRANĂAISE, Mention SpĂ©ciale du Prix du GNCR* Festival International du Documentaire, Amsterdam - CompĂ©tition PremiĂšre Ćuvre, PRIX SPĂCIAL DU JURY* Festival International du cinĂ©ma dâAlger, GRAND PRIX * Entrevues Belfort, PRIX DU PUBLIC, PRIX DE LA CRITIQUE* 26Ăšmes JCC de Carthage Tanit dâor du "documentaire" et Tanit dâor "Tahar ChĂ©riaa de la premiĂšre Ćuvre" Retour * 33Ăšme Festival International de Turin Meilleur Documentaire ... Le commentaire de Naruna Kaplan de Macedo, cinĂ©aste membre de lâACID "On ne ment pas mais on ne tombe pas dans la vĂ©ritĂ©". Câest Amou, un personnage, qui propose ce titre pour le film. Il insiste chacun pourra lâinterprĂ©ter comme il veut, ce titre. Et puis il faut quelque chose Ă partir de rien. Faire avec le nĂ©ant ou le trop peu. Chacun des personnages de ce film fait ça il invente. Il transforme comme il se doit la vie du travail, et le travail lui mĂȘme. Ce travail physique, dru, qui consiste Ă transformer des bĂȘtes en viande. Le travail. AliĂ©nation, forcĂ©ment. Rythme durs, comme en creux, tout le reste le colonialisme, la lutte, les cinĂ©aste filme cette invention, ce mouvement vital des personnages dans le quotidien du lieu. Chacun le fait comme il peu, au mieux. Lâamoureux aime avec passion, le poĂšte chante les Ă©toiles, la jeunesse rĂȘve dâailleurs lointains sans trop savoir ce quâils contiennent, lâoiseau clandestin interroge sa le lieu est lĂ , grand corps traversĂ© par les hommes et les bĂȘtes quâon mangera, leurs peaux et leurs odeurs, la chaleur quâon sent sur les hommes et la pluie qui parfois bouscule le un lieu depuis lequel on monde entier donnĂ© depuis cette lampadaires ocres et les nĂ©ons violets. Les murs qui racontent les jours et les nuits, le sang des bĂȘtes en flaques par terre. Le prĂ©caire. Une tension permanente. Les sĂ©ries doublĂ©es en français et les chansons qui disent lâamour avec des mots immenses, presque Ă©crasants. dira que dans sa tĂȘte il y a un rond-point et mille routes, quâil ne sait pas laquelle est la sienne. Chaque homme dans ce lieu est face Ă tous les possibles. Les vieux, les jeunes, tous sont filmĂ©s de maniĂšre ouverte. Par lĂ ? Par ici ? Tant que je vis, tout peut arriver et la rĂ©volution viendra. Ici aussi. Peut-ĂȘtre. Mais le pire guette toujours, une ombre de tristesse gluante comme le sang des bĂȘtes quâil faut laver. Qui nâempĂȘche ni la joie ni la musique. Connaissez vous les Ă©toiles ? Benzema a refusĂ© de chanter la Marseillaise. La parabole reçoit mal. Et les carcasses dansent leur gigue de mensonge, mais pas de vĂ©ritĂ© non plus. On est dans la vie vivante et on sourit. Des grands sourires trouĂ©s. Le film dans la presse Ce nâest pas un film sur les abattoirs du quartier du Ruisseau Ă Alger, pas un film mĂ©taphore sur lâĂ©tat actuel de lâAlgĂ©rie, ou sur un changement dâĂ©poque dans le traitement de la viande par lâindustrie alimentaire. Ce nâest pas un film sur. Câest un film avec la complexitĂ© du monde, et des ĂȘtres, hommes, bĂȘtes, objets, gestes, rĂȘves, paroles, qui le peuplent, et le font monde. Jean-Michel Frodon - SLATE .fr Si le film Ă©pouse une cause, câest celle des hommes ; câest avec eux quâil passe du temps â on aime que documenter revienne dâabord Ă restituer un bout de temps passĂ© avec des gens, un bout dâespace partagĂ© ; on aime que le documentaire soit une variante de lâamitiĂ©. François BĂ©gaudeau - TRANSFUGE Hassen Ferhani dresse ainsi un portrait sans clĂŽture du peuple algĂ©rien, Ă la fois psychique et physique, rĂ©unissant faits et imaginaire, et ne sâarrĂȘtant Ă aucune forme de vĂ©ritĂ© surplombante. Lâimage du rond-point », si intrigante, câest bien sĂ»r celle des esprits qui tournent en rond, ne parvenant ni Ă se projeter ni Ă se rĂ©aliser, dans une AlgĂ©rie figĂ©e oĂč il est devenu impossible de vivre. Mathieu Macheret - LE MONDE Ferhani arrive Ă merveille Ă dĂ©doubler le regard, rĂ©vĂ©ler les paradoxes de cette trĂšs Ă©trange coexistence de deux systĂšmes oppressifs, incommunicables lâun Ă lâautre celui des hommes entre eux, celui des hommes et des bĂȘtes ; lâun se filme et sâexorcise par la parole, lâautre se tient juste Ă cĂŽtĂ©, sanguinolent, impĂ©nĂ©trable. ThĂ©o Ribeton - LES INROCKUPTIBLES Hassen Ferhani propose un espace de rĂ©flexivitĂ©, oĂč chacun peut prendre le temps de mettre en mots sa vie, de sortir de lâurgence quotidienne pour sâinterroger sur un horizon plus vaste, cette fois personnel et collectif. DâoĂč lâimpression que le film se construit rĂ©ellement avec ses personnages, et quâune adĂ©quation se trouve entre leur Ă©tat et la forme quâil adopte â longueur profitable des plans, dialogue possible avec celui qui les filme. De cette façon, les abattoirs ne sont pas seulement le lieu infernal dâune tuerie perpĂ©tuelle mais aussi un endroit Ă lâĂ©cart du monde, qui sert de caisse de rĂ©sonance Ă une parole soudain libĂ©rĂ©e et libĂ©ratoire. Laura Tuillier - LES CAHIERS DU CINĂMA Le goĂ»t pour les images, les Ă©nigmes, les chansons traverse ce monde violemment concret et que la camĂ©ra de Ferhani restitue dans sa palpitation de bĂȘte vivante et sacrifiĂ©e. Didier PĂ©ron - LIBERATION Film en immersion qui ausculte notre part dâhumanitĂ©, film poĂ©tique et habitĂ©, donc religieux dans le sens profond du terme, film politique bien sĂ»r et dĂ©finitivement mais qui redonne Ă ce mot toute sa signification, lâultime qualitĂ© de ce film reste sa gĂ©nĂ©rositĂ© il sâadresse Ă tout le monde, et tout le monde peut sây reconnaĂźtre. Tewfik Hakem - HUFFPOST ALGĂRIE ... ce qui intĂ©resse le jeune cinĂ©aste dans ce huis clos oĂč vivent et travaillent des centaines dâouvriers, ce sont les hommes qui se dĂ©battent avec la vie. ChloĂ© Rondeleux - LA CROIX Câest tout le projet du film que de faire jaillir une Ă©tonnante beautĂ© des aspects les plus sordides de lâabattoir. Partout oĂč la camĂ©ra se pose, les cadres, parfaitement composĂ©s, captivent. TimĂ© ZoppĂ© - TROIS COULEURS Dans ma tĂȘte un rond-point a le trĂšs grand mĂ©rite dâĂȘtre un riche objet formel qui fait dâun document humain, social un objet esthĂ©tique mais aussi politique et historique sâarrimant au motif du rond-point. Sâil est fait Ă©tat de la situation actuelle de lâAlgĂ©rie par Ă©chos, on Ă©voque aussi Saddam Hussein, et mĂȘme la colonisation française, Ă©mergeant notamment avec la parabole dâune cigogne torturĂ©e par des soldats français. Marie Gueden - CRITIKAT .fr Avec son titre circulaire un peu abscons, Dans la tĂȘte un rond-point dĂ©livre un discours fort, avec des images magnifiĂ©es par une photographie splendide. Un trĂšs grand documentaire, Ă raison rĂ©compensĂ© dans de nombreux festivals prestigieux. FrĂ©dĂ©ric Mignard - Ă VOIR Ă LIRE Dans des conditions dâhygiĂšne effrayantes, ces forçats du coutelas â quâon voit peu Ă©gorger les bĂȘtes â Ă©coutent du raĂŻ et discutent beaucoup. Dâamours contrariĂ©es, de Karim Benzema qui ne chante pas La Marseillaise, ou de ce dilemme si contemporain autour de la MĂ©diterranĂ©e traverser ou se suicider. Entre les murs de cet abattoir se mĂȘlent souffrance et dĂ©sespoir. JĂ©rĂ©mie Couston - TĂLĂRAMA Au fur et Ă mesure que le film avance, on progresse dans lâintimitĂ© de ces hommes, leur imaginaire se rĂ©vĂšle, jusquâĂ ce quâune frontalitĂ© accrue de la camĂ©ra permette dâaborder comme dans la musique raĂŻ des thĂšmes moins lĂ©gers lâimage, la vĂ©ritĂ©, la liberté⊠Ce nâest pas un film sur ces hommes mais un film avec eux. Olivier Barlet - AFRICULTURES Le film Ă la radioâ FRANCE CULTURE - Un autre jour est possible Tewfik Hakem - 24/02/2016 Ă 6h - InvitĂ© Hassen FerhaniPODCAST ; SORTIE NATIONALE Au CafĂ© des Images, HĂROUVILLE SAINT-CLAIR - CNP Bellecour, LYON - LâAlhambra, MARSEILLE - Le Concorde, NANTES - Mk2 OdĂ©on St Michel,PARIS... Les semaines suivantesStudio Orson Welles, AMIENS - Les 400 Coups, ANGERS - Magic CinĂ©ma,BOBIGNY - Le Toboggan, DECINES - La Coursive, LA ROCHELLE - Le Star,STRASBOURG... Les prochaines rencontresEn prĂ©sence de Hassen Ferhani MK2 OdĂ©on-Saint-Michel, Paris Rencontre avec le cinĂ©aste et un comĂ©dien, Lyes Salem > Mardi 1er mars Ă 20h Rencontre avec le cinĂ©aste et lâhistorienne, Malika Rahal> Lundi 7 mars Ă 20h Rencontre avec le cinĂ©aste et HamĂ©, du groupe La Rumeur> Mardi 8 mars Ă 20h Rencontre avec le cinĂ©aste et la directrice de la photographie, Caroline Champetier*** > Vendredi 26 fĂ©vrier Ă 20h - LâAlhambra, MarseilleRencontre avec le cinĂ©aste > Lundi 29 fĂ©vrier Ă 20h15 - Le CafĂ© des Images, HĂ©rouville-Saint-ClairRencontre avec le cinĂ©aste > Vendredi 18 mars - Le Capitole, UzĂšsRencontre avec le cinĂ©aste > Samedi 19 mars Ă 16h - LâAtalante, BayonneRencontre avec le cinĂ©aste Galerie de photos
G7Ln4g. r89v64kqem.pages.dev/9r89v64kqem.pages.dev/68r89v64kqem.pages.dev/165r89v64kqem.pages.dev/198r89v64kqem.pages.dev/313r89v64kqem.pages.dev/81r89v64kqem.pages.dev/12r89v64kqem.pages.dev/178r89v64kqem.pages.dev/227
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